DescriptionsAlekseï est tout le temps bien habillé, il l’a toujours été, il le tient certainement de son père qui lui aussi s’habillait toujours avec classe. Il est également toujours très propre, que ça soit une barbe bien taillée, ses cheveux soignés et bien brossé et même sa peau qui malgré son âge, reste très douce et bien hydraté.
C’est le genre de personne à toujours remettre ses lunettes en place même quand elles ont bougé d’un millimètre, c’est ce qu’on appelle un maniaque ! Que ça soit ses lunettes ou une simple tâche de sang, il a toujours détesté ce genre de détail qui lui gâchait la vie. Et c’est marrant car en plus il a fait l’armée, là-bas une tâche de terre ou de sang c’est commun et tout à fait normal, donc quelle idée de se lancer dans un traquenard pareil pour un maniaque. A chaque entrainement ou autre, il passait plus de temps à se laver de droite à gauche que de réellement faire ce qu’il fallait faire, heureusement avec l’âge il s’est assagit et reste parfois indifférant face à une tâche, mais quand quelque chose est asymétrique ou pas droit, ça a tendance à le titiller fortement.
Outre son problème de manie, il reste quelqu’un de très calme en surface, il a toujours l’air posé et souriant même face à la mort, comme si celle-ci ne l’effrayait pas ou comme s’il était (trop) habitué à la confronter. Mais l’expression « le calme avant la tempête » résume très bien Alekseï, si par malheur quelqu’un serait amené à l’énerver jusqu’à ce qu’il n’arrive plus à le cacher, ce qui serait en soit un exploit, Alekseï deviendrait complètement fou, un vrai psychopathe, prêt à massacré le type qui aurait niqué sa couverture. Mais pas d’inquiétudes, ce jour n’est pas encore arrivé dans Dreamland, et espérons qu’avec ses ambitions que celui-ci n’arrive jamais.
Et ne vous méprenez-pas hein, malgré la guerre, son tempérament de fou furieux, son lien si particulier avec la faucheuse, Alek’ est doté d’un sens de l’humour, et pas dégueu en plus. Il est très second degré et aime énormément le sarcasme. Il saura reconnaître quelqu’un qui rigole avec lui et quelqu’un qui rigole de lui.
En résumé, Alekseï est en apparence et réellement un bon vivant, posé, en forme pour son âge, mais qui cache énormément son jeu, qui lui est effrayant, glauque et profondément mauvais.
HistoireTout commença le
1er mai 1975, Alekseï Abdoulov vint au monde, fils d’Andreï Abdoulov et de Léna Legorov, mariés depuis 15 ans au moment de l’accouchement. Malheureusement, quand une vie démarre, une autre s’éteint, et c’est qui arriva dans l’hôpital « European Medical Center » à Moscou à 00h09, Alekseï poussa ses premiers crus tandis que sa mère fit un dernier souffle avant de périr dû à l’accouchement qui s’était mal déroulé.
Son père abattu par le décès de sa compagne, manquant d’énormément d’amour à recevoir mais aussi à donner, tomba dans l’alcool, un péché mignon qu’il eut dans son adolescence mais qu’il reprit pour noyer son chagrin.
Comme vous pouvez vous en doutez, un enfant éduqué par un père quasiment autant absent que sa défunte mère, ne peut pas bien tourner normalement, mais c’est alors qu’une personne surgit dans la vie de notre pauvre Alekseï afin de le sauver.
20 septembre 1987, 10h02, Moscou, temps de récréation.
Alors qu’Alekseï s’occupait en jonglant avec deux petits cailloux dans son coin, deux garçons du même âge que lui vint afin de l’embêter. Alek’ arborait peu souvent un sourire, en plus d’un cocard que son père lui donna en guise de punition, cela ne lui donnait pas une fière allure, ces deux garçons étaient donc là pour se moquer de lui. Alekseï ayant déjà beaucoup d’ennuis à la maison et beaucoup de colère en lui, n’accepta pas les moqueries des deux jeunes garçons, donc il prit l’un des deux cailloux et le jeta sur le visage du plus grand des deux, il toucha l’arcade et ouvrit celle-ci, immobilisant celui-ci.
Dans l’idée de venger son ami, l’autre garçon prit par le col Alek’ et le poussa contre le mur, celui-ci le fit si violemment qu’Alekseï poussa un cri de douleur, son dos venait de prendre un sacré coup. Mais c’est alors que vint son futur meilleur ami, Dimitri, plaquer le garçon qui empoignait alors Alekseï.
Mais une fois le garçon plaqué au sol, les professeurs vint eux aussi à la rescousse. Il prit des mesures disciplinaires afin d’éviter à nouveau de tels problèmes, les deux garçons ainsi que Dimitri s’en tira avec seulement des heures de colles et quelques tapes sur les doigts tandis qu’Alekseï prit en plus des corvées de nettoyage à l’école en plus de son père qui le corrigea un peu trop fort. Mais ce n’était pas une défaite aux yeux d’Alek’, parce que certes il termina la journée avec plus de bleus et plus d’emmerdes qu’avant, mais il se fit un ami loyal et tout aussi courageux que lui, de quoi bien foutre la merde ensemble.
De 12 à 18 ans, Alekseï fit beaucoup de sports divers et variés, il fit des études de menuiserie, plomberies, électricien et même de cuisine. Il explora tout ce qui s’offrait à lui avant de se faire à l’idée que rien ne lui convenait, qu’il lui manquait bien quelque chose, un truc spécialement fait pour quelqu’un comme lui, qui demanderait du courage et de la bravoure.
15 mai 1993, 18H40, Moscou, dans sa maison.
Alekseï était décidé, décidé à faire ce que le monde attendait de lui, ce qui lui semblait être fait pour lui depuis le début. Il prit la décision après avoir eu son bac pro plomberie de s’engager dans l’armée. Enfin, il prit surtout la décision d’abord d’aller l’annoncer à son vieux débris de père, qui finalement lui rit tout simplement au nez, un rire bien gras qui puait la vodka, de quoi bien décider Alekseï d’aller proposer à son meilleur ami Dimitri de le rejoindre à l’armée.
Sans trop d’étonnements, Dimitri accepta avec une phrase bien à lui : « Je te suivrai partout où tu iras, même si c’est pour aller te faire tuer, espèce de fou va, mais crois pas que je t'aime hein, juste on s'amuse bien ensemble ahahah ».
Et c’était tout simplement partit pour les meilleures années de leur vie.
Enfin, ça c’était avant la guerre civile du Tadjikistan en 1994, où lui et Dimitri fut envoyer en tant que Soldat terrestre russe.
Ils tueront à eux deux un nombre incalculable, il faut dire qu’ils étaient tous deux très très bon, c’était des soldats comme on en faisait que très rarement, surtout Dimitri. Mais c’est malheureusement pendant une patrouille afin de sécuriser un périmètre que l’escouade d’Alekseï et de Dimitri tomba dans une embuscade menée par des islamistes radicaux, ils étaient tous armés jusqu’au dent et fit le plus grand nombre de victime possible en se foutant de mourir.
En même pas une minute écoulée, cinq hommes perdu la vie, Dimitri était l’un de ces cinq hommes. Il prit une balle dans le cœur, il mourut très rapidement dans les bras d’Alekseï qui fit son possible pour le sortir de la rue où ils patrouillaient, laissant alors les autres soldats de son escouade derrière lui.
Après ça, Alekseï rentra au campement avec Dimitri qui était déjà mort depuis un petit temps. Il dû expliquer ce qu’il s’était passé, la voix tremblotante ainsi que le regard vide. Il se fit renvoyer pour insubordination et prit même 10 ans de prison coopération avec l’allié en temps de guerre. Une sentence très lourde qu’il dû s’encombrer alors qu’il n’avait même pas encore fait son deuil. Il rentra donc au pays purger sa longue peine de prison.
Et en prison il en bava, il prit beaucoup de raclées par les gardiens qui avait appris qu’il avait trahit les siens, Alek’ dut manipuler et soudoyer comme il le pouvait la plupart des gardiens pour rester en vie, c’est là qu’il prit une certaine maîtrise et aisance à manipuler les gens, c’était devenu son quotidien de jouer un double-jeu.
13 décembre 2004, 8h15, Moscou, devant la « Taganka Prison ». Son père était là, sur le parking, il était propre, barbe taillé, cheveux soigné, clope à la main, attendant visiblement Alekseï de pied ferme.
Alek s’approcha de son père, le reconnaissant à peine dû au fait que celui-ci semblait si nouveau, si « neuf », il s’attendait à recevoir des insultes, une baffe peut-être, mais rien de tout ça, il reçut un câlin. Un câlin sérieux, après tout ce qu’il avait fait à Alek, tout ce qu’il trouva de bien à faire, c’était un câlin, après plus de dix ans sans s’être vu, il n’était même pas venu au procès putain.
Alekseï ne pouvait pas accepter ça, il ne l’accepta d’ailleurs pas, il repoussa immédiatement son vieux père pour ensuite lui mettre un sérieux coup de boule, le faisant alors tomber à terre. Il partit directement ensuite, sans rien dire en laissant son père se relever seul.
Les 10 années qui ont suivies étaient devenues moins lourdes à gérer, Alekseï trouva un travail qui était dans ses cordes, il apprit le jardinage afin de compléter son arbre de compétence et fit tout pour canaliser sa rage et surtout son traumatisme, car il n’avait toujours pas fait le deuil.
5 avril 2019, 14h37, Yasnaïa Poliana, chez lui. Son téléphone portable sonne, sa chanson retentissait, « Another one bites the dust » de Queen, et effectivement, quelqu’un venait de mordre la poussière, c’était son père. La femme qui s’occupait quotidiennement de lui venait de lui annoncer en pleurs qu’il mourut de son cancer du côlon, il le combattait depuis déjà 4 ans, mais malheureusement ça n’a pas suffi. Déconcerté par la nouvelle, partagé entre de la joie, tristesse, colère et culpabilité, Alekseï rigola nerveusement au téléphone pour ensuite raccrocher.
Il se remémora alors ce fameux câlin il y’a dix ans de cela, quand son père essayait certainement de reprendre contact avec lui, il se disait alors que la vie était bien faite quand même, que son père qui était mort dans la solitude la plus totale, rendait le destin plus juste.
Il ne vint même pas à l’enterrement de son défunt père.
Suite à cela, Alek fit énormément de cauchemars durant plusieurs mois, rongé par les remords, car il aurait pu selon lui se réconcilier avec son paternel, il aurait pu le soutenir malgré ce qu’il s’était passé durant son enfance, il aurait pu aller à l'enterrement, il avait désormais une vision plus adulte de sa vie et surtout de son père. En plus de ça, il repensa énormément à son défunt meilleur ami, qu’il avait aussi abandonné selon lui.
Chroniques26 juillet 2019, 03H22, Yasnaïa Poliana dans son lit. Ou plutôt à Dreamland, Armacity.
Durant un beau soir de pleine lune sans nuages, Alekseï se baladait avec un inconnu en se tenant la main, il ne savait pas pourquoi il était avec cet inconnu arborant un grand chapeau ombrant son visage, mais cette personne le rassurait énormément, il dégageait une certaine aura bienveillante, puis il ne s’était pas vraiment posé la question, il s’en foutait de qui était cette personne.
Bref, alors qu’ils se baladaient en pleine rue, ils décidèrent de prendre un raccourci en empruntant une petite ruelle, jusque là aucuns soucis.
Jusqu’à ce qu’ils arrivent presqu’au bout de cette fameuse ruelle, deux personnes cagoulées se présenta brusquement et de façon menaçante face à eux, arme à feux en main.
- Ok les tarlouzes, mains en l’air ou sinon on vous zigouille direct !
- Ouais carrément, tout pareil alors faites pas les malins !
Suite à ça, nos deux compagnons ne firent pas les héros et mit les mains en l’air, Alekseï tremblait à mort, celui-ci étant fortement phobique des armes à feux. Par chance la personne qui l’accompagnait prit sa main en l’air afin de le rassurer, ça avait l’air de plutôt bien fonctionner, malheureusement les deux agresseurs n’avaient pas finit leur agression.
- C’est bien, maintenant allez contre le mur ou je vous transforme en éponge !
- Ouais bordel, en éponge ! Encore une fois, nos deux protagonistes se montrèrent coopératif et donc se mit contre le mur, mains toujours en l’air.
Une fois contre le mur, les deux bandits fouillèrent Alek’ et l’inconnu, il cherchait définitivement quelque chose, des biens surement. Malheureusement ils n’avaient tous les
rien du tout sur eux, les crapules venaient de perdre leur temps.
- PUTAIN !! Ils ont rien fait chier bordel, vous êtes souvent pétés de thunes vous les homos en général.
- Ouais putain, il est où votre fric les cons ?
- Ta gueule toi aussi j’en peux plus de t’entendre.
- T’es sérieux Jeff c’est pas cool.. ?
- MAIS DIS PAS MON PRENOM ESPECE DE GROS DEBILE
- Ah m..
Alors que les deux agresseurs se disputaient, l’inconnu prit l’opportunité de sauver la peau d’Alek et la sienne par la même occasion. En un instant, il se retourna en foutant un gros crochet du droit à l’un des cagoulés, le fameux Jeff, le mettant à terre, il lui fit d’ailleurs lâcher son arme.
Mais malgré ça l’autre cagoulé était toujours là et en pleine forme, il mit un coup de crosse dans la tête à l’inconnu, le mettant lui aussi à terre, puis dirigea son arme face à lui.
Pendant ce temps Alekseï était tétanisé rien qu’à l’idée d’entendre un tir, lui rappelant alors la guerre, en particulier celle du Tadjikistan là où son meilleur ami décéda, c’est là où il eut le déclic, l’inconnu allait mourir s’il ne faisait rien, et ça il ne pouvait pas se le permettre, il avait déjà une personne qui lui était chère à cause de son incompétence, même si là elle ne lui était pas chère, il avait le sentiment qu’il ne pouvait quand même pas la laisser mourir.
Heureusement le bandit au sol ne bougeait pas et l’autre bandit paniquait visiblement autant qu’Alekseï, c’était certainement la première fois qu’il menaçait quelqu’un, Alek’ avait alors une chance d’agir avant que le pire arrive.
Il prit alors son courage à deux mains et courut vers l’arme du bandit à terre, une AK-74, une arme qu’il connaissait particulièrement bien, il l’a pris et menaça l’agresseur qui menaçait quant à lui l’inconnu.
- Lâche ton arme mon gars, je veux pas tirer et je pense pas que toi aussi tu le veuilles.
- P..p..putain je vais tuer ton pote si tu continues, bouge pas et dépose ton arme connard !!
- Ca peut bien se finir, on a pas vu ton visage, et celui de ton pote aussi, fais pas le con s’il-te-plaît.
Malheureusement ce genre de discours ne fonctionnent que dans les films joyeux, ici ce n'est pas un film joyeux, menacer quelqu’un de paniqué tenant une arme n’était pas une bonne idée, le bandit ne se laissa pas faire, il était décidément têtu et voulait certainement faire ses preuves face à son camarade qui l’infantilisait certainement Alors il prit les devants et tira sur l’inconnu avant d’essayer de se retourner vers Alekseï afin de tirer sur lui également.
Alors que les trois premiers tirs retentissaient, Alekseï vit défiler dans sa tête le meurtre de son meilleur ami, il venait encore une fois de louper l’occasion de sauver quelqu’un à cause de son incompétence. C’était la fois de trop, il devait agir, il allait le faire, et il le fit.
Il pressa la gâchette et tira tout un chargeur sur le bandit avant que celui-ci eut le temps de viser Alekseï.
Plusieurs secondes qui semblaient être des minutes s’écoula. Le corps du bandit s’écroula, signant sa fin de vie. Alekseï quant à lui restait bouche bée, pas par le fait qu’il venait de retirer la vie à quelqu’un, car ça il l’avait déjà fait et ça ne lui faisait rien, mais plutôt bouche bée par le fait qu’il ait réussi à tirer, lui qui détestait tant le bruit, et bien il s’en sortait vachement bien au final, même un peu trop, tellement qu’il en oubliait presque l’inconnu qui lui avait permis de se sauver.
Mais malheureusement le bonheur s’arrêta très vite pour notre vieux Alek’, en effet, l’inconnu était littéralement occupé à mourir, il s’était bien fait cribler de balles, c’était effectivement devenu une éponge.
Par chance, l’inconnu était encore vivant, assez pour prononcer ses dernières paroles, comme si tout ceci était scripté, comme dans un film qu’on viendrait d’imaginer, la scène était vraiment clichée. Alekseï se précipita vers l’inconnu, Alek savait qu’avec de telles blessures l’inconnu n’allait pas s’en sortir, alors il lui demande simplement pourquoi il avait fait ça, c’est là que l’inconnu qui portait alors un chapeau ombrant une grande partie de son visage, le retira, c’est ainsi qu’Alek découvrit un visage qui lui était fort familier, celui de Dimitri, l’inconnu dit en même temps ses dernières paroles avant de s’éteindre.
- J’ai toujours veiller toi, tu me rends fier tu sais, je t’aime Alekseï.
Ce n’était pas Dimitri, car étrangement après ces fameuses paroles prononcés, Alek qui voyait le visage de Dimitri, vit un tout autre visage ensuite, comme si son esprit avait tout manigancer, mais dans quel but ? Alek ne le découvrit que plus tard en allant enterrer l’inconnu plus loin dans la ville, il découvrit alors qu’il n’était bel et bien pas dans un rêve, ou plutôt dans un rêve bien plus que conscient, il ressentait la douleur, la fatigue, la colère, bien trop de sentiments réels pour un rêve.
Mais c’est qu’à son réveil qu’il se rendit compte que c’était bien plus qu’un rêve conscient, c’était un autre monde, il ne saurait l’expliquer, mais il existait bien un monde des rêves.
Et pour confirmer tout ça, le lendemain avant de s’endormir, Alekseï pensa à la ville où il était la nuit passée, et ça fonctionna ! Il était encore là, au même endroit, dans la même ruelle, mais cette fois-ci, le corps du bandit avait disparu, le monde était donc bel et bien vivant. Il s’empressa de visiter la ville et de se renseigner auprès des gens, ils étaient tous vivants, actif, ce n’était pas simplement le fruit de son imagination. Il posa milles et une question, mais il se rendit vite compte que les personnes avec qui il parlait en général n’était pas comme lui, quand il parlait du vrai monde, les gens ne comprenaient pas.
Enfin, après plusieurs mois de recherches afin de découvrir le monde qui l’entourait, il put découvrir certaines facettes de Dreamland, dont le fait qu’il possédait un pouvoir, il pu alors faire des pactes avec plusieurs armes et ensuite s’en accommoder. Il découvrit l’ordre et le chaos, la politique des royaumes en général, et surtout il entendit parler de la famille, une mafia dreamlandesque, il vit l’opportunité de se faire un nom et surtout d’avoir beaucoup de contacts et d’informations là-bas, il ne lui restait qu’à savoir comment rentrer dedans, sa pokerface était prête à servir, en attendant il lui restait qu’à s’entrainer avec ses armes et choper des informations, que ça soit par le crime de créature ou bien de voyageur, ou juste en monnayant tout ça.
- HRP:
HRP : Il se peut que certaines informations sur son passé soient éronnées ( Sur l'armée par exemple, les dates devraient correspondre mais ne sait on jamais que je me sois trompé ) j'ai essayé d'être le plus réaliste possible avec ce que j'ai pu trouver, si vous savez me corriger là dessus n'hésitez pas, je m'excuse d'avance au cas où !