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Présentation de Frère Bowen { terminé }

Frère Bowen
Ligue B
Frère Bowen
Pouvoir : Invocateur de verre
Messages : 6
Présentation de Frère Bowen { terminé } Dim 20 Oct - 22:11

Dreamland

Frère Bowen

Si le problème a une solution, il ne sert à rien de s'inquiéter. Mais s'il n'en a pas, alors s'inquiéter ne change rien.

Présentation de Frère Bowen { terminé } Plop

Surnom : Le Moine
Sexe : M
Age : 32ans
Habite à : Tibet
Activité : Moine
Phobie : Miroir
_____

Pouvoir : Invocateur de verre
Arme : Un sabre (Jian) nommé : Papuruchippu – Qui signifie, pointe pourpre. D’un alliage simple, mais durable, cette magnifique lame à l’allure cérémoniale possède une fine lame argentée. Sans garde, elle repose dans son fourreau violet de la couleur caractéristique au clan du jeune homme.
Objet magique : Aucun
Alignement : Bon
Objectifs : Aider les voyageurs dans le besoin
_____

Aime : le thé
N'aime pas : Les bruits trop fort
Points de Puissance : 35 000 maximum
Points de Réputation : 35 000 maximum
Classement : N°301 de la ligue M ou N°16 de la ligue B maximum
Descriptions

Depuis ses quinze ans, Bennet mesure un mètre quatre-vingt-dix.
On peut facilement voir dans ça démarche très forte et assuré, qu’il reçut une éducation des plus droite. Laissant présumer que l’erreur ne devait pas être tolérée dans le monastère où il grandit.
Si bien qu’aujourd’hui encore, quand il emboite un pied devant l’autre avec cette facilité des plus déconcertante, les gens se demandent si le sol se transforme en patinoire devant ses pieds. Chaque mouvement est des plus minime, mais efficace et lui, bras croisé dans le dos, se tient toujours droit comme un mât. Même quand il s’assied pour prendre le thé, c’est dans l’étiquette la plus parfaite.

Comme tout le monde, il lui arrive parfois de déroger à la réalité et d’être lunatique, voire curieux. Comme un touriste en vacance ou un aventurier avide de sensation forte, il se laisse émerveiller par la beauté du monde qu’il s’amuse à découvrir. Heureux, il ne cache jamais ses émotions et juge même cette activité comme étant son pêcher mignon, être soi-même sans avoir à craindre la gêne ou l’embarras. Tel est également l’une des disciplines enseignées par les moines du mont Rumeï.
Le disciple possède également un petit rire bien trop souvent considéré comme étant moqueur ! Un partenaire idéal pour accompagner ses moments de folie passagère, un petit gloussement qu’il laisse filer d’une manière saccadée entre deux sourires. Le tout sonne comme suit : ShiShiShi.

Bien évidemment, les Moines n’auront pas inculqué que de bonnes manières en ce jeune homme. L’on remarque également leur influence au niveau de la coupe de cheveux par exemple, la nuque est toujours bien rasée. Le reste est plus long sur le dessus, mais jamais ceux-ci ne dépassent la cime des oreilles.  Son Kimono d’un blanc cassé des plus immaculé. Ajusté au corps et soutenue par un Obi pourpre, brodée de jolie petite fleur de cerisier blanche. Enfin, deux sandales de bois tressé de cordes portant la même teinte violette pour finir l’ensemble.

Il est également important de savoir que les moines ne gardent jamais leurs épées à la ceinture. Le fourreau étant lui même en métal, il porte généralement l’arme à l’épaule comme un bâton ou la transporte à la main comme une lance. Étant droitier, il  trimbale son arme du côté gauche. C’est d’ailleurs pour cette raison que même dans Dreamland, l’un de ses premiers objectifs fut de trouver une lame afin de se sentir plus en sécurité. Celle-ci le réconforte et lui rappel les longues heures d’entrainements dans le monde réel, car il pratique l’Art de l’épée comme une danse.

Pour le reste, c’est une secte de maitres d’arts martiaux. Strict de nature, les accessoires n’étaient pas permis. Chez eux, tous les élèves sont habillés de la même façon, le seul moyen de les distinguer serait par la qualité de leurs armes, ou bien par leur regard, puisqu’ils ont l’habituer de s’entrainer le visage voilé. Le sien est d’un bleu ciel assez pâle, mais également très vif. Caché derrière une paire de lunettes de vue pour traiter la Myopie.

Histoire

Suite à une séance de méditation avec le moine supérieur Oren, Bowen se retrouvait encore une fois dans son lieu favori, une chambre close avec une fenêtre de pierre ouverte sur le monde. Il trouvait en ce lieu une sérénité incroyable, ici, il pouvait penser clairement.

Depuis toujours, ou d’aussi loin qu’il puisse ce le rappeler c’est dans ce monastère que tous ses souvenirs avaient pris forme. Il n’avait aucune idée de comment il avait fini par atterrir ici, n’as jamais connue ses parents non plus. À ses yeux, les autres frères étaient ce qui pour lui, se rapproche le plus d’une famille.

Ici, tout était basé sur l’entraide et la simplicité, avec une petite touche de spiritualité. Il n’y avait jamais de conflit entre les moines et lorsqu’un débat éclatait, ce n’était jamais rien de grave. Ils ont bien sûr réussi à atteindre cette manière de fonctionner en suivant à la lettre les enseignements du bouddha. Pour eux, une liaison au rang spirituel sera toujours plus importante qu’un lien de sang, car en réalité, nous ne sommes pas sur cette terre pour faire la guerre. Quand même, s’il devait choisir, Bowen saurait quand même trouver parmi tous ses frères, deux ou trois lurons avec qui il s’entendait mieux que le reste.

Premièrement, il y avait le frère Konya. Sensiblement de la même taille, il se démarquait de par ses cheveux plus longs, ceux-ci d’un brun très pâle, qu’il garde toujours tressé sur son crâne. D’un strict militaire, on pourrait le décrire comme étant un homme de peu de mots. Chasseur pour le temple, il est responsable de traquer le petit gibier à l’aide d’un arc et d’une fronde. Bien que d’une branche différent, sa chambre est la voisine de notre chère Bowen, ce qui rapprocha beaucoup les jeunes hommes, ayant au minimum un contact le matin et le soir, il n’est pas rare de les voir discuté de leurs journées respectives. Leur relation ne va pas plus loin. Toujours dans ses pensées, le moine en vint à se demander s’il ne s’était jamais proposé pour une séance de chasse, il devrait éventuellement s’essayer.

Ensuite, il y a Néphi, comme un cadet, celui-ci passe le plus clair de son temps dans les cuisines, ayant également le pouce vert, il ne serait pas faux de dire qu’il est souvent dans les jardins. Plus bavard, il est toujours capable de vous remonter le moral, que ce soit par une froide journée ou il se portera volontaire pour desservir de la soupe chaude à tout le monastère, ou simplement pour vous porter l’oreille dont vous avez besoin. Néphi est plus petit que les autres, bien enrobé avec de grosses joues semblables à un écureuil, il fait bien rire tout le monde.

Et finalement, frère Grévy le partenaire d’entrainement de Bowen. Ils s’entrainent chaque jour, échangeant coup d’épée ou de poing dans le but de toujours devenir meilleur dans leur discipline. Bien qu’en réalité, son caractère trop orgueilleux ne plus jamais à notre moine à lunette, il n’éprouve que du respect pour son frère d’armes. Un grand gaillard qui le dépasse d’une tête avec une peau plus foncée que celle de tout autre moine de la place. Comme s’il avait passé trop de temps au soleil.

Le reste des moines, bien que moins présent, n’était pas moins sa famille, les connaissant tous par leur prénom, il entreprenait une relation différente avec chacun d’eux et même s’il ne les côtoyait pas toujours, Bowen remettrait sa vie entre les mains de chacun d’eux.

Sortant de ses pensées suite à un bruit anodin dans la cour inférieure, Bowen revint à l’évaluation de sa journée.

Dans la séance d’aujourd’hui, ils avaient abordé la notion d’un tout, mais rapidement, le jeune moine avait décidé de s’isoler afin d’organiser ses pensées, il lui arrivait souvent de méditer en retrait, c’était plus facile pour lui de garder la concentration ainsi.

Il se revoyait plus petit, jouer dans la cour intérieure du monastère, ou même un peu plus vieux, désormais capable de grimper sur l’une des hautes tours aux désarrois des moines supérieurs.

- Shishishi.

Il se surprit à rire en revivant la scène. Curieux de nature, il avait vite démontré l’envie d’explorer le petit lopin de terre qui leur avait été octroyé, n’ayant pas le droit de sortir de l’enceinte, il s’était dégourdi les jambes de façon bien surprenante. Heureusement pour lui, il ne s’était jamais blessé, le grand Bouddha l’avait protégé jusqu’ici.

Voyant le temps filé, il était désormais temps de retourner dans les dortoirs, le soleil n’allait pas tarder à ce coucher, il devait faire de même.

Sur ça route, il passa devant la bibliothèque ou il ce rappelait avoir étudier des tas de parchemins, de vieux livres poussiéreux et les textes sacrés, puis devant la sale d’arme ou son épée était entreposé comme celle des autres disciples, attendant patiemment la prochaine période d’entrainement. En y repensant, il avait toujours apprécié passer du temps dans cette sale, à faire l’entretien des armes. Il y avait dans la froideur glacée de ses métaux, une pureté inégalée.

Puis, Bowen descendit le dernier escalier avant d’arriver devant le terrain d’entrainement au rez-de-chaussée. On voyait encore à quelques endroits les traces de pas des disciples dans l’arène de terre battue pour les entrainements sans armes, les épouvantails entaillés par les épées ou les mannequins de bois usé, sans parler du puis de pierre dans le coin gauche de la grande pièce au sol de dalle adroitement placé afin de faire une mosaïque apaisante et plus que symétrique.

Ce lieu aussi aurait facilement pu être son préféré, si ce n’était pas de la violence qui comme une vipère pouvait frapper à tout instant. Personne n’était à l’abri d’une émotion soudaine après une défaite. Pas même les moines supérieurs, mais ceux si arrivait mieux que personne à s’effacer, à refouler le tout et à tendre la main dans le pardon le plus absolu.

Finalement, c’est en jetant son dernier regard à cet endroit empli de souvenir qu’il traversa la porte qui donnait à ça chambre. Une petite pièce décorer simplement. Pourvu d’un simple tatami et d’une table basse avec un bol d’eau fraiche. Sans lumières, seule une bougie vacillait, suivant le courant d’air créé par l’ouverture de la porte, un jeu d’ombre fascinant s’offrit en spectacle au disciple, comme pour l’accueillir après une dure journée de travail.

Il était temps de retourner dormir…

Le problème, c’est que c’était bien la partie de la journée qu’il aimait le moins. Depuis tout jeune, il n’arrivait que très rarement à reprendre des forces. Chaque fois qu’il fermait les yeux, le même cauchemar recommençait. Ayant plusieurs fois médité sur la question, il savait d’où venait le problème. Depuis toujours, une légende urbaine était enseignée à la classe des bambins. La vieille croyance enseignait que les glaces n’étaient que le reflet de l’âme et que dans un moment de faiblesse, la vanité du regardant l’attaquerait. Le démon qui sommeille en chaque homme se manifesterait, il était donc interdit de posséder un tel objet ou d’en regarder un.

En réalité, ce n’était qu’une façon de garder les enfants dans un souci de leur entourage, les moines croyaient qu’un miroir n’encourageait que l’amour propre et ce n’était pas une valeur qui avait fait l’unanimité. Depuis, aucune glace n’était présente dans le monastère et comme certains voyageurs arrêtaient parfois en pèlerinage, ceux-ci qui apportaient souvent avec eux l’objet, qui effrayait les enfants.

Désormais sur son lit de paille. Bowen hésitait à fermer les yeux, même si la peur n’était qu’enfantine et puérile, il était toujours tétanisé à l’idée d’affronter sa plus grande peur.

Mais le marchand de sable ne l’épargnait jamais.

Chroniques

Comme chaque nuit,

Non plus surpris de cette scène, le moine fermait les yeux dans sa chambre, pour ce retrouver dans le temple au sommet du mont Rumeï. Il savait que c’était cet endroit, l’encens ne pouvait le tromper, une odeur de fleur de cerisier mélanger aux flagrances d’un bois de noyer. Le courant d’air absent signifiait que les grandes portes de bois de l’entrée étaient closes, empêchant toute retraite.

Il ce savait vêtue d’un kimono noir, plus besoin de regarder, il s’était vu dans cet accoutrement des dizaines et des dizaines de fois et chaque fois il perdait contre le rêve. Il était également paisiblement assis en position de méditation, comme à chaque fois son souffle lui donnait l’impression d’avoir les poumons en feu. Sans ouvrir les yeux, il savait qu’il revivait son cauchemar et c’est pourquoi, toujours clos, ceux-ci ne laissaient échapper que quelques larmes de désespoir.

Ne désirant pas laisser le rêve prendre le dessus, il avait développé comme méthode de garder les yeux clos, le tout pour essayer de réorienter ses pensées. Tâter le sol à la recherche de son arme lors des premières nuits n’avait pas été payant non plus, il se retrouvait chaque fois désarmée et la main coupée nette. Aussitôt, un sentiment glacial l’envahissait, comme un frisson le long de ça colonne vertébrale. Cela ne pouvait s’expliquer que d’une seule façon, les regards qui se posait sur ça personne, le foudroyait telle une volée de flèches empoisonnées. Ses regards appartenaient à ceux qui s’il se rebellait, l’attaquaient.

Seulement, il savait que tout n’était qu’une question de temps. De temps avant qu’il n’ouvre les yeux et qu’il puisse de nouveau voir l’horrible scène. Encore une fois, murmurait-il, essayant de se préparer. Désarmé, il se sentait comme un enfant, sachant que de chaque côté de lui, une dizaine de soldats au visage couvert de masques blancs, étaient responsable des regards perçants. Équipé d’épées, il n’attendait qu’un moment de faiblesse ou une tentative de fuite pour attaquer. Et encore à ce jour, il n’avait encore jamais pu terrasser un seul de ses soldats. Muni d’une vitesse et d’une force de frappe si impressionnante, le moine se voyait déchiqueter avant même de pouvoir riposter.

Il essayait donc de se concentrer sur ses larmes, elle lui brulait la peau et ses yeux le chauffaient comme des tisons brulants, mais il ne voulait pas les ouvrir.

Une goute de sueur, ayant débuté son périple sur son front, se retrouvait désormais sur son nez, le taquinant, comme pour le forcer à bouger. Essuie-moi, semblait-elle lui crier avec une voix cristalline des plus moqueuse, sachant très bien que s’il l’écoutait, les gardes ce précipiterait sur lui.

Il n’y avait jamais eu qu’une option au final, il le savait.

Mais toutes les fibres de son être lui disaient de fuir, de ne pas ouvrir les yeux. Il savait sans jamais l’avoir vue que devant lui, sur l’autel de prière, au lieu d’une statue de Bouddha, se trouvait un miroir. Comment le savait-il ? Le moine n’en était pas sur, mais s’il fessait abstraction de tout, s’il laissait le vide envahir son esprit, il ne voyait qu’une malsaine vibration émaner d’un objet. Comme une goute d’eau peu déformer la surface lice d’un lac, il pouvait ressentir le miroir l’appeler par vague. Il l’imaginait fait de bois et de métal, un cadre sculpté de flamme et une vitre qui n’avais qu’un seul but, absorber son âme.

Dans le temple, une vieille croyance disait qu’un seul regard dans une réflexion de soi était suffisant pour emprisonner l’âme de ladite personne. Si bien, que Bowen avait développé une phobie chronique pour toutes formes de verre, miroir et ainsi de suite. Il lui était donc impossible d’ouvrir les yeux, de se laisser damner par ce foutu miroir démoniaque. Au temple, les appareils photo, miroir et tout autre objet similaire était interdit au visiteur, pour la simple et bonne raison que la technologie ne fit jamais bonne figure en face de la religion. Seulement, les moins ayant été coupé du reste du monde en virent à le craindre.

Tout en essayant de garder son calme, Bowen fit un rapide récapitulatif avant de passer à l’action.

Il ne devait montrer aucun signe d’agressivité, sinon les gardes masqués le lacéraient, c’était arriver une bonne centaine de fois. S’il ouvrait les yeux, le miroir aspirait son âme avant même qu’il ne pose le regard sur celui-ci. C’était comme une faille abyssale. De plus, combattre était impossible sans arme. Que faire ?

Tout en se remémorant chaque nuit passée ici, Bowen en vint à la conclusion que le rêve le portait toujours dans la même direction, il l’empêchait de s’enfuir.

Et si la réponse n’était pas de s’enfuir ?

Toujours les yeux fermés, il se leva doucement, puis attendit. Les gardes ne l’avaient pas tranché. Après tout, il n’avait rien fait de mal. Puis, un souffle chaud le fit virevolter de surprise et au moment où il ouvrit les yeux, il était de nouveau en sueur dans son lit. Le garde l’avait encore tué…

De jour, il méditait, apprenait la discipline de l’épée, la voie du Bouddhisme et en secret, ne cessait d’essayer d’imaginer de nouveau scénario pour pouvoir s’en sortir la nuit venue. Si bien, qu’il se surprit à aller dans la sale supérieure afin de prier, prier pour de l’aide afin de trouver la réponse. À cet instant, Ouki, le plus vieux moine du temple passait le balai et l’entendit mendier. Il lui donna un coup de balai derrière la tête en ruminant qu’il ne devait pas avoir peur de ses démons. Qu’il devait au contraire les accepter et avant même qu’il n’eût fini, le vieux grincheux s’était déjà déplacé dans une autre salle.

Perplexe, le jeune moine tentât tant bien que mal de déchiffrer cette façon de voir les choses, mais échoua encore et encore.

Les gardes s’étaient encore une fois rapprochés de lui, il le savait, et ce même si ses yeux étaient toujours fermés, mais quand il tendait la main, personne.

Une fois, il s’était retourné, puis avait frappé le vide. Surpris de n’y trouver que du vent, il avait ouvert les yeux pour se réveiller, croyant encore une fois s’être fait décapiter.

Le lendemain, à bout de force après une journée encore plus exigence qu’à l’habitude, Bowen ce releva, replaça son kimono noir et tout en n’ouvrant jamais les yeux, marcha jusqu’à l’endroit ou devait se trouver la statue du Bouddha. Sachant qu’il n’y avait en face de lui que cette monstruosité, il grimpa sur l’autel et plaça ses mains de chaque côté du cadre, il pouvait doucement sentir le détail dans le travail de l’artisan. Ce qui le surpris le plus, c’était la douce chaleur qui en émanait, contrairement à ça première idée, l’objet n’était pas glacial. Il le souleva de terre et au moment où il ouvrit les yeux pour affronter sa peur, il laissa le cadre tomber par terre et se réveilla de nouveau en sueur dans son lit, les gardes l’avaient attaqué au moment ou il avait lâché l’objet.

Le miroir de nouveau entre ses mains, Bowen décida de redoubler de courage, il allait ouvrir les yeux quand en réalité, il n’en avait pas vraiment besoin, il tenait l’objet entre ses mains, pourquoi devrait-il en avoir peur ? Et comme une tornade, la pièce au complet fut aspirée par l’objet démoniaque.

Quand il ouvrit les yeux cette fois, le moine à peine expulsé d’un miroir étrange avait retrouvé son kimono blanc, mais il n’était pas dans sa chambre et devant lui, une montagne de trésor en tout genre remplaçait son piètre mobilier. Sur les murs, des cristaux émanait une lueur étrange et multicolore.  

Il se trouvait dans la sale au trésor du Collectionneur. Dans le royaume de cristal de Dreamland, mais il n’y avait aucune chance qu’il puisse le découvrir. Après tout, il était le tout dernier baptiser : Voyageur.  


★ Prénom ou pseudo : Poulet
★ Age : 26
★ Comment as-tu connu le forum ? : Je suis tombé sur le manga par hasard, puis d’une page google à une autre et j’ai eu l’envie de tenter ma chance !
★ Connais tu Dreamland ? : j’ai dévoré les premiers tomes !
★ Depuis quand fais-tu du rp ?: Sur table jusqu’ici, donc mon premier forum !
★ Pourquoi avoir choisi ce forum ? : La simplicité des règles VS ce que j’ai vu ailleurs !
_____

★ Personnage sur l'avatar et l'oeuvre d'où il provient : Malheureusement aucune idée. Google !

Hazel
Créature
Hazel
Pouvoir : Pouvoir des animaux
Messages : 169
Re: Présentation de Frère Bowen { terminé } Dim 27 Oct - 21:31

Aye !

Est bien voila une fiche rondement bien mené ! Une description efficace, une histoire assez banale dans les faits mais qui résume bien le rythme de vie des moines au final. D'ailleurs j'avoue que la thématique de la croyance est rarement exploité chez les PJ donc je pense que ça peut être intéressant de voir cette confrontation idéologique avec Dreamland. J'ai bien aimé la partie chronique aussi que j'ai trouvé plutôt intéressante dans sa rédaction où l'on voit des suites d'échecs avant que le personnage arrive réellement a vaincre sa phobie !

Bref je valide ! Par contre vu que tu veux être ligue B, comme indiqué en privé, je vais pas te cacher que pour un début tu pourras pas commencer aussi haut et que la puissance et réputation demandées ne peux être aussi conséquente. Cependant, je te met tout de même 13 500 PP et 10 000 PR et tu commenceras N°1 386 de la Ligue B !

Bon jeu !
Présentation de Frère Bowen { terminé }
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