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Un nouveau nom pour une nouvelle vie ~ Pallas, l'histoire d'un massacre. [En cours]

Pallas
Ligue B
Pallas
Pouvoir : Morpheur végétal
Messages : 183
Un nouveau nom pour une nouvelle vie ~ Pallas, l'histoire d'un massacre. [En cours] Sam 29 Aoû - 2:25

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Murciélago Galliléo

Ainsi va ce monde, je n'ai pas mon mot à dire. Elle ordonne et j’exécute.

Un nouveau nom pour une nouvelle vie ~ Pallas, l'histoire d'un massacre. [En cours] Pallas
Surnom : Il voyage a Dreamland sous le pseudonyme de Pallas, mais j'aimerais bien qu'on lui colle des surnoms au fur et a mesure qu'il avance dans son aventure si cela ne dérange pas le staff, je veux lui laisser une liberté complète dessus.
Sexe :Masculin.
Age : 22 ans.
Habite à : Rome, en Italie.
Activité : Enchaîne plusieurs petits boulots, l'actuel est agent d'entretien dans un immeuble.
Phobie : Peur des plantes : Galliléo craignait toutes les plantes exotiques ou inconnues.
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Pouvoir : Morpheur végétal : Pouvoir souvent moqué, Galliléo est capable de reproduire les effets des plantes du monde réel afin d'en bénéficier des effets à l'échelle humaine voire plus en fonction son niveau de puissance, il peut augmenter ses propres capacités ou modifier son corps de cette manière pour obtenir des nouveaux pouvoirs dévastateurs.
Arme : Aucune.
Objet magique : Masque souriant (C) : Masque pouvant transmettre les ordres du seigneur cauchemar à Galliléo. Il n'apporte aucune protection ou filtration si ce n'est le fait qu'il soit plus résistant qu'un masque ordinaire. Le seigneur est capable d'entendre ce que Galliléo entend, et peut voir ce qu'il voit.
Alignement : Chaos.
Objectifs : Servir son seigneur afin de lui rendre sa gloire d'antan.
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Aime : Son chat, l'une des filles qu'il fréquente, son boulot de misère, sortir un peu la nuit, boire et fumer, la musique, tout ce qui se rapproche à l'Italie notamment le théâtre, aller a Dreamland.
N'aime pas : La passivité, l'infidélité, aller a Dreamland, qu'on le compare, qu'on l'ignore, qu'on se moque de lui, tout ce qui s'éloigne de l'Italie, les autres voyageurs hors une.
Classement : Je vous laisse décider, j'aimerais quelque chose dans le top 800 en ligue B (moins ou plus) si vous estimez que ma fiche vaut le coup.
Descriptions



Galliléo:

On pourrait croire qu’il s’agit en réalité de monsieur tout le monde lorsque on l’aperçoit de dos, qu’il n’a rien d’extraordinaire. Du moins c’est ce que vous en pensez et ce que vous voyez. Il a l’air d’être absolument comme tout le monde dans ce bus direction  Piazza Navona. Vous espérez pouvoir y faire vos courses donc vous vous avancez jusque au fond du bus et sans même vous en rendre compte vous vous rapprochez de plus en plus de cet homme. Ainsi, vous avez une meilleure vision sur sa personne, sur sa silhouette et la carrure qu’il porte. Un dos droit et assez grand, des épaules très larges et surtout une très grande taille. Cet homme vous dépasse probablement de trois têtes, atteignant probablement les deux mètres. En réalité il mesure un mètre quatre-vingt dix-huit. Il doit probablement cette taille à une très bonne génétique, il dispose d’une paire de jambe longue et puissante, de même pour ses deux bras.


Maintenant que vous êtes bien proche de lui, vous commencez à lui trouver un petit charme. Ce géant possède une belle chevelure blonde qui vous attire immédiatement, vous pouvez même sentir son parfum venir vous chatouiller les narines. Vous voulez en savoir plus, vous sentez votre coeur battre de plus en plus fort. C’est probablement ce qu’on peut appeler un coup de foudre, le blond lui ne vous accorde qu’un très bref regard en coin. Il ne s’attarde pas beaucoup sur vous, cependant il semblerait qu’il ai remarqué votre petit jeu de regard. Vous sentez votre cœur battre un peu plus fort, puis vous tentez de calmer vos émotions dans votre coin.Vous n’avez jamais fait quelque chose dans ce genre, c’est totalement nouveau. Vous prenez une nouvelle fois ce risque et vous continuez d’observer attentivement cet homme, c’est au tour de son visage de faire l’objet de votre fine analyse. Il est de profil mais de ce que vous voyez vous le trouvez assez mignon. Des yeux bleus, aussi bleu que l’océan ce qui ne fait que renforcer son charme. Un nez d’une taille correcte qui semble s’inscrire avec harmonie sur son visage, se mêlant au reste sans pour autant y faire tâche, des lèvres charnues qui viennent également rejoindre ce mélange. Vous sentez qu’il vous attire, c’est un jolie garçon quoi doit sûrement enchaîner les conquêtes. Cette idée vous dérange légèrement mais vous la chassez très vite de votre esprit pour continuer votre minutieuse analyse.Vous n’avez jamais draguée dans des lieux publiques, mais vous êtes en train de vous dire que vous n’avez qu’une seule et unique vie ! Ainsi, vous vous rapproché de cet homme et la c’est c’est la chute.


La partie gauche du visage de cet homme est balafré. C’est une balafre assez sérieuse et vous vous demandez sûrement comme il a pu obtenir une telle cicatrice. Votre première pensée est le dégout, vous le sentez vous envahir et cela peut se lire dans votre visage. L’homme vous accorde un bref regard et étire un faible sourire, vous lui rendez brièvement son sourire. Cependant il n’est pas dupe et remarque le dégoût dans votre regard. Vous vous sentez idiote, malgré son air étrange il est devant vous à vous offrir un sourire chaleureux. Vous avez remarqué tout de même durant ce bref échange qu’il possède une dentition assez blanche mais autre chose. Malgré votre réaction qui fut gouvernée par la surprise principalement vous vous rendez compte que vous vous êtes habituée. Vous ne trouvez plus ce visage si répugnant. Vous commencez même à compatir vis à vis de cet homme et encore une fois on peut le lire dans votre regard, ce que Galliléo voit.

Finalement vous décidez de franchir le cap ! Vous commencez à discuter un peu, vous lui demandez son arrêt et la chance semble vous sourire, il se rend également au même endroit que vous. Finalement vous passez une bonne partie du voyage tout les deux, vous vous échangez vos numéros et vous repartez chacun de votre coté.

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Deux jours plus tard, pendant ces deux jours vous vous êtes échangé plusieurs messages, et Galliléo arrive chez vous. Au moment ou il passe la porte, vous pouvez distinguez son style vestimentaire. Contrairement à l’autre fois ou vous l’avez vue dans le bus. Cette fois il est habillé d’une façon très chic.

Une chemise blanche, accompagnée d’une veste brune. Un pantalon sombre, une ceinture et des chaussures également sombres. Vous tentez de lui faire une blague sur son style faisant particulièrement penser aux mafieux. Et il en fait une également, pas habitué. Il adopte un ton très sérieux. La voix de Galliléo faisait toujours sérieuse, il possédait ce timbre de voix calme et neutre qui renforçait votre attirance.

Vous continuez cette discussion sur le canapé de votre salon. Et vous commencez à boire. L’alcool faisait effet, vous le trouvez encore plus attirant. Lentement, vous vous commencer à vous serrer contre lui. Galliléo comprend que c’est un signe, petit à petit il forme une étreinte de ses deux bras autour de votre taille afin de vous serrer fortement contre lui.  Vos lèvres se touchent, et vous décidez d’aller plus loin. L’amour passionné. Vous retirez lentement la veste et la chemise de Galliléo. Et vous effleurez lentement son torse d’une douce caresse.  Un torse légèrement musclé ou ressortait bien des abdominaux tracés. Il fait de même avec vous, ses yeux vous dévorant passionnément. Vous passez donc la nuit ensemble.

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En apprenant à connaître le jeune Galliléo, vous comprenez que c’est un homme qui à l’air d’avoir souffert de solitude. Il s’ouvre pour la première fois à vous.  Vous apprenez que c’est quelqu’un d’observateur, il trouve de la beauté dans chaque chose. Il ajoute également une petite phrase de charmeur du soir sur le fait qu’il vous trouve bien jolie. Vous rigolez suite à cela, complètement sous le charme du blond. Bien qu’il a l’air de vous appréciez, il ne semble pas franchir le cap, peut-être une peur de s’attacher, ou encore le fait qu’il est été pendant longtemps dénigrer par les autres à cause de son visage, il affirme également que c’est rare de tomber sur des personnes aussi tolérante. Vous calez par la suite une petite phrase sur la beauté intérieure. Galliléo vous indique qu’il doit travailler. Vous remarquerez donc que le jeune homme est quelqu’un de ponctuel qui respecte les horaires.

Le jeune Italien, pendant qu’il se lave continue de communiquer avec vous, il travaille dans tout et qu’actuellement il s’occupe de transport.  Vous êtes surprise, votre homme est un travailleur. Galliléo indique qu’il n’a généralement pas peur. Un mensonge, puisque ce dernier avait peur des plantes. (je vais m'attarder sur la phobie de L'italien. Ce dernier pouvait quand même marcher sur du gazon ou autres, mais il n'approchaient généralement pas de fleur qu'il ne connaissait pas)  Mais vous le croyez, en réalité. Galliléo n’a pas peur de grand-chose, il est d’un air très froid et il faut vraiment arriver à percer sa carapace pour recevoir des signes d’affection et de compassion de lui. Ce que vous avez fait avec brio. Curieuse, vous lui demandez l’origine de sa cicatrice. Galliléo vous indique d’un ton très calme et neutre, presque morbide qu’il a tenté de se  mettre fin à ses jours. Un échec, puisque il est encore présent pour vous en parler.  Vous pouvez presque sentir, légèrement en l’observant qu’il avait un faible air triste. Vous vous dites qu’il est peut-être dans la perte d’un proche, ou encore dans ce cercle infernal et vicieux de la dépression, vous ne tentez donc pas d’éveiller la douleur et vous n’abordez pas le sujet de la cause de cette tentative.  Galliléo quitte donc votre appartement.

Sur le chemin, le jeune homme reçoit des regards des passants à cause de son visage. Regard qu’il ignore, à cause de ces nombreuses années à vivre de la sorte. Il a crée une sorte de protection imperméable aux insultes et à ce genre de regard. Il suivait simplement le trajet pour arriver à son chemin. Prenant tranquillement son temps, car Galliléo adorait observer les lieux. Et surtout, cette fois il prenait le temps de s’attarder sur les rares lieux verts qui l’entouraient, contrairement à avant, ou il faisait le trajet pour en rencontrer le moins possible.


Vous êtes une petite fouine, et vous décidiez d’observer donc les divers profils de Galliléo sur divers réseaux sociaux, la première image vous voyez une vielle photo de lui avant son accident. Vous voyez des photos de lui pendant un voyage en Australie, quand il était jeune, peut-être vers 10-12 ans, avec un petit pavé à la gloire de sa mère. Vous devez vous dire que comme beaucoup, Galliléo apprécie ses parents.  Vous continuez de fouiner pour trouver toutes les informations sur le jeune homme, et vous découvrez que son père. Semble doté d’une grande fortune, ce dernier vivant encore aux USA. Détail sans importance, vous continuez et vous voyez encore et encore des photos de lui voyageant avec sa mère, cette fois avec son visage actuel. Vous vous dites que Galliléo aime beaucoup voyager, c’est vrai. Vous pouvez le voir via les pages qu’il like et autres. Vous continuez de le suivre via les traces qu’il laisse sur les réseaux, et vous pouvez encore une fois voir qu’il se passionne pour le japon. Et qu’il porte un grand intérêt pour la mythologie grecque. Une véritable passion pour lui, il parle légèrement Latin d’ailleurs, vous le voyez via un autre poste un peu plus loin. Cependant le reste des ses abonnés se composent de divers grands compositeurs Italiens, auteurs et autres. C’est un homme de littérature qui apprécie fortement la culture de sa patrie.

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Galiléo arrive finalement à son boulot. Saluant brièvement ses collègues. Pourtant ça fait deux mois qu’il pratique ce métier et qu’il connaît ces derniers. Cette fois, vous êtes dans la tête d’un de ses collègues. Vous observez le jeune homme avancer vers son coin pour gérer les nouvelles affaires.  Deux mois qu’il vous connaît, mais continue de vous traiter comme des inconnus. Galliléo est assez distant, mais ce montre beaucoup moins avec les femmes qui veulent le séduire. Pour cause cela est assez rare. L’air qu’il prend en vous regardant avec sa tronche à moitié salopé vous énerve légèrement Vous pensez que l’air qu’il prend en vous parlant, est un air supérieure. Simplement que Galliléo n’est pas du genre à communiquer aussi facilement, ou alors il faut que vous faisiez quelque chose de particulier pour lui. Ou bien le prendre dans un moment de faiblesse. Galliléo n’est donc pas du genre à tisser des liens aussi facilement. Mais quand il arrive à en créer un avec quelqu’un, il tisse quelque chose de vraiment fort. Des liens puissants et un respect très profond se fondent par la suite entre les deux. Voilà pourquoi l’amitié de Galliléo est quelque chose qui se mérite, et est appréciée par les rares qui la détienne.

Le jeune homme fouille sur lui, et cherche son téléphone.

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Revenons sur sa conquête. Vous voyez le téléphone de Galliléo sonner, le nom d’un homme s’affiche. Par politesse, vous décidez de répondre. Un homme avec une voix grave parle en Anglais, vous ne comprenez rien. Mais heureusement ce dernier parle Italien, il indique qu’il est le père de Galliléo et rigole en entendant la voix d’une femme au téléphone.  Il indique que c’est difficile de joindre son fils, et il a eu une fausse joie en pensant que ce dernier avait finalement décroché. Vous vous excusez. Mais, par contre, vous vous dites que votre futur compagnon doit avoir une relation compliquée avec son père. C’est le cas, il vous explique même que Galliléo avait soudainement coupé tous les contacts avec lui. Cela vous intrigue, mais vous respectez l’intimité de votre partenaire.

Après une journée de travail pour le jeune homme, il revient chez vous pour récupérer son appareil.

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Voyageuse depuis peu que vous êtes, cela fait bientôt trois mois que vous entreteniez cette relation. Alors un soir, l’idée d’aller observer votre chéri dans ses songes traverse votre esprit. Ainsi, dans le royaume des rêves. Vous vous retrouvez au beau milieu d’une immense forêt bien dense dont en sortir semble impossible. Votre premier réflexe et de commencer l’exploration de cette dernière, vous avancez mais vous ne trouvez aucun signe de votre Italien bien aimé.Votre marche devient de plus en plus longue et toujours aucun ombre de Galliléo, cependant l’odeur du sang vient chatouiller vos narines.

Intriguée, vous vous avancez pour finalement découvrir l’horreur. Un véritable massacre, un village de créature vient d’être détruit et ses habitants massacrés jusqu’aux derniers. Vous avez bon coeur et vous ne pouvez pas laisser un tel crime impuni ! Vous tentez de sauver ce qu’il reste, mais rien aucun survivant. La colère commence à vous envahir, et enfin quelqu’un montre le bout de son nez. Un voyageur. Un grand homme habillé d’un très chic costume s’avance. Sa carrure est imposante mais vous ne vous défilez pas, vous n’arrêtez pas de penser aux nombreuses vies qu’il a bien pu prendre et cela continue de causer du remous en vous.

Portant un étrange masque souriant, la présence de sang sur ce dernier confirme que c’est bel et bien le responsable de ce massacre. Vous lui demandez la raison, cependant il reste muet comme une carpe continuant d’avancer vers vous avec un air impassible. La peur s’empare de vous, vous commencez à agir bêtement et vous l’attaquez en invoquant des lames dans sa direction. Il esquive sans trop de problème et se rapproche de vous. Vous pouvez le voir avec ses vêtements qui se soulèvent lors de ses déplacements, il n’a rien d’humain. La peau de ce tueur est légèrement verdâtre et semble parsemée de nervure comme une feuille. Vous essayez de fuir, cependant c’est trop tard. Sa main est déjà autour de son votre gorge, vous sentez sa poigne puissance est infaillible. Vous tentez de répliquer, mais tout cela semble vain, dans vos tentatives l’un de vous coups parvient à fissurer le masque de cet homme et vous constatez avec effroi qu’il s’agit de Galliléo. Vous reconnaissez son visage, sa chevelure blonde, cependant vous remarquez que ses yeux sont différents, son regard semble vide comme s’il n’était pas lui même. Vous commencez à l’implorer, en vain il ne semble même pas vous reconnaître. Votre vie de voyageur se terminera dans quelques secondes, mais avant vous pouvez entendre le rire moqueur d’une voix féminine derrière Galliléo, juste avant qu’il ne vous brise la nuque.

A dreamland:

Histoire


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En 1989 Les parents du jeune Galliléo se rencontrent, et passent beaucoup de temps ensembles. La mère de Galliléo était une touriste Australienne qui est tombé sous le charme d'un jeune et riche homme Italien la couvrant de la cadeau jour et nuit jusqu'à lentement tomber sous son charme. Innocente et naïve à l’époque, la mère Murcielago ne se doutait pas qu’elle allait épouser un homme influent dans le monde du crime en Italie, vous savez ? Ce genre d'homme des ombres, le père de Murcielago était réfléchit et dur, il faisait tout pour effacer les preuves le reliant au monde du crime.  Puis plusieurs années plus tard, Galliléo voit le jour à Rome.

Jeune et plein de vie, le petit commence lentement à se passionner pour divers sport, surtout le karaté dans l’idée de reproduire les mouvements des personnages de dessin-animé/animé qu’il regardait à la télé. Le petit garçon avait une vie heureuse avec ses deux parents, bien que son père était un père souvent absent. Et petit à petit un climat de dispute s’installa entre le parrain de la famille et sa femme. Climat de tension qui touchait même le petit Galliléo qui pour son âge, se mit donc à comprendre ce qui ce passait. Un an de dispute, puis le divorce, En raison des soupçons sur le père de Galliléo, il n’arriva pas à obtenir  la garde de son fils ce qui pendant plusieurs années le marqua profondément. Du coté de Galli’ il alla vivre en Australie avec sa mère très jeune, lui souffrait également du vide qu’avait laissé son père. Mais sa mère tentait de combler ce vide en emmenant son fils voyager un peu partout dans le monde.

L’accident de Galliléo aura donc lieu en Australie, alors qu’il prenait une photo avec sa mère. Il eu le malheur de tomber brutalement dans une petite crevasse. Sa chute fut  amortie par des plantes urticantes. Et le pauvre tomba tête la première dedans. Quand Galliléo fut extrait par les équipes de secours, le pauvre se mit à se gratter le visage de toutes ses forces. La plante qui avait effleuré son visage était connue pour provoquer les pires démangeaisons possible au point de selon les légendes provoquer le suicide, et surtout ces démangeaisons persistaient et s’arrêtaient seulement après plusieurs semaines, voir un ou deux mois, et surtout que les douleurs peuvent resurgir sur une durée de vingt ans.  Le pauvre Galliléo se mit donc à souffrir pendant un mois à cause de cette plante.

Enfant, il associa donc les plantes inconnues et exotiques à ce phénomène et se mit a avoir une peur panique de ces dernières. Son père au courant de la situation tenta de lui rendre visite. Mais les affaires l’ayant rattrapé, il ne pouvait pas. Son empêchement créa chez le jeune Galliléo qui souffrait atrocement une haine envers son père qu’il jugeait absent. Un traitement lui fit accordé pour atténuer les douleurs si jamais elles revenaient au cours de sa vie. Traitement qu’il prenait chaque matin ou il était réveillé par des douleurs intenses pendant une grande partie de sa jeunesse. Cette phobie en premier temps l’emperchait de sortir dehors, il resta donc cloîtré chez lui, enfermé, il prenait donc des cours à domicile que son père payait pour le soutenir dans l’espoir de changer la vision qu’avait son fils de lui. Il avait également décidé de prendre en charge les frais médicaux du jeune Galliléo, et s’occupait même de lui payer un psychologue pour atténuer cette peur.  Un échec encore, le jeune homme eu beaucoup de mal à franchir le cap de quitter sa maison. Et restait énormément chez lui, quand son indépendance approcha. Il fit volontairement le choix de trouver un lieu en plein centre ville à l’abri de la nature sauvage et agressive de son imaginaire. Galliléo vivait maintenant seul, et restait coupé du reste du monde. Il avait vingt ans à cette époque et c’est pendant qu’il dormait et était à cours de médicament que les douleurs revenaient. Brûlant son visage, le jeune homme n’en pouvait plus, tous les deux jours il se confrontait à nouveau à ces douleurs et sentait son visage le brûler horriblement.

Dans sa tête, il ne pouvait plus supporter ces douleurs et tenta de mettre fin à ses jours en sautant du  troisième étage. Un échec, il chuta brutalement dans un banc d’ordure. Et son visage fut salement amoché pendant l’atterrissage bien brutal.  Apprenant la nouvelle, son père fit lui même le déplacement pour venir constater l’état de son fils, se retrouvant nez à nez avec son ancienne femme pour la première fois. Cette dernière ayant coupée tout contact avec le parrain. Galliléo ignorait encore que son père trempait dans des sales histoires. Il prit à sa charge tout les frais médicaux encore une fois, et l’opération coûteuse de reconstruction facial. Galliléo pouvait maintenant vivre normalement, du moins c’est ce qu’il pensait jusqu’à qu’il ne voit son propre visage, peu importante la reconstruction faciale. Galliléo était défiguré à vie. Sa vie était terminée à ses yeux et il entra dans une profonde dépression, malgré le soutien de son père et de sa mère. Il restait toujours dans cet état sinistre et sombre, il ne sortait même plus de chez lui et faisait tout par livraison via internet.

Petit à petit, il réussit à vaincre cette dépression à l’aide de rare camarade qu’il s’était fait sur un forum de parlotte. Et suite à une rencontre Irl qui avait eu lieu. L’état de Galliléo n’a cessé de s’améliorer et il reprit lentement sa vie en main. D'abord, il revint vivre en Italie à Rome sans prévenir son père qui continuait de l’appeler en parlant un Anglais plus ou moins correct.

Puis  Galliléo tenta d’intégrer la police Italienne. Il fut recalé aux tests psychologiques. Galliléo n’avait aucun diplôme en poche et tenta de vivre comme il le pouvait, après tout c’était quelqu’un de débrouillard et assez vif d’esprit. Il commença donc à vivre de petit boulot dans un studio miteux .Bien plus tard, il apprit que sa mère avait un cancer du sein, et sans traitement ça pourrait lui être fatal. Le père de Galliléo rancunier, refusait absolument d’apporter son soutien à la femme qui lui avait retirée son fils. Il faisait également cela pour l’endurcir, ce dernier serait destiné d’une façon ou d’une autre à prendre la tête des Murcielago.

Chroniques


« Pourquoi tu ne veux pas financer les soins ? » Il connaissait un peu le côté traditionnel de son père. Ainsi, le jeune Galliléo avait fait le voyage lui même pour aller rendre une petite visite dans sa villa. Entouré d’homme de main encore une fois, le jeune Galliléo se tenait devant le parrain en adoptant un air sévère avec son visage blessé.  Les yeux bleus de Galliléo se posait froidement sur l’homme qui se tenait devant lui. Un air inquisiteur émanait de lui, fixant fermement son père en attendant une réponse.

Le parrain essuyait tranquillement un verre qu’il tenait, avant de la déposer calmement sur une table proche tout en se retournant pour fixer dans les yeux son enfant. « Je ne financerais pas ces soins, point. Tu peux disposer. »  Ces mots résonnaient lentement dans la tête de Galliléo. Il alternait alors son regard entre la sortie, et son père avant de finalement perdre son sang-froid. « Pourquoi putain ? Tu veux vraiment qu’elle meurt ? » Dit t-il perdant petit à petit ses moyens devant son père qui enchaîna immédiatement, d’un timbre de voix très neutre rendant sa phrase morbide : «  Si cela peut te faire comprendre le fonctionnement des choses, alors ce sera une très bonne leçon de vie. Tu ne m’appelles jamais, tu ne me parles jamais à cause de cette femme hors pour venir m’emprunter de l’argent. Tu me prends pour une sorte d’arbre à billet ou quoi Galliléo ? C’est ça le vrai monde mon fils, puisse la chance te sourire toi et ta mère. » Ces mots se gravèrent  dans l’esprit de Galliléo, qui perdit son calme. La colère le prit brutalement et comme un fauve enragé il se jeta sur son père. Envoyant sa main droite aller l’attraper par le col de son vêtement. « Comment tu peux… ? » Le père Murcielago fit un signe de la main, ordonnant donc à ses hommes de main de laisser faire. Et avec force, il retira la main de son fils du col de sa chemise. « Oui, si il faut. Maintenant, hors de ma vue je dois régler de véritable problème. »  Sur ces mots, Galliléo assez instable par cette sinistre nouvelle essayait de forcer son père. Ce dernier fit un signe et plusieurs hommes de main se jetaient sur le futur voyageur pour tenter de le maîtriser et surtout de le mettre hors de la villa Murcielago. Il venait d’être chassé par son propre père, le seul qui avait la fortune nécessaire  pour sauver sa mère.


Le jeune Murcielago devait retourner à Rome le lendemain, et sans succès.  Il passa la nuit dans un hôtel, sans savoir comment il pourrait gérer cette situation. Cette frustration conduit lentement Galliléo vers un rêve des plus étranges.

__

« Merde, il fait sombre ici. Je suis nu ? » Dit doucement le jeune homme, remarquant alors le courant d’air qui caressait légèrement son corps. Il continua de marcher s’engouffrant petit à petit dans cette sombre zone sans savoir ou il avançait. Une petite voix pouvait se faire entendre au loin par l’Italien qui décidait donc d’avancer en suivant cette dernière. Plus il s’enfonçait dans le noir, plus la voix devenait forte et familière. Au début, elle était perceptible comme un faible et léger bourdonnement, mais en se rapprochant, il arriva à distinguer et reconnaître cette voix. C’était celle de sa mère !    La stupeur s’affichait sur le visage de Galliléo quand il remarqua au loin une silhouette humaine, féminine qu’il pourrait reconnaître entre mille. « Maman ! » Hurla t-il en déchirant ainsi le silence qui régnait en maître dans cette zone.

Il se mit immédiatement à courir vers sa mère, remarquant également une étrange silhouette dans son dos. Un monstre informe qui ressemblait à une mélasse grisâtre, bougeant de manière anormale. La créature déposait lentement ses longues griffes sur le corps de la mère de Galliléo, passant lentement ces dernières sur la poitrine de la femme. Une vision qui effraya d’abord L'italien, qui continuait alors à courir vers elle.  

La créature composée d’ombre, leva lentement la main. Et une armée de plante venait de se lever autour de Galliléo, le jeune s’arrêta. Il ne pouvait plus continuer, au risque de revivre la même expérience de ses sept ans.  Son corps tremblait légèrement, il ne savait plus quoi faire. Il était perturbé. La créature plantait légèrement ses griffes sur la poitrine de sa mère, pour continuer très lentement et délicatement à pourrir son corps.

« Je t’ordonne de la laisser tranquille ! » Dit t-il impuissant face à la situation, sa voix tremblait. Il ne pouvait pas traverser ce barrage de plante au risque de revivre la même douleur. Galliléo restait donc impuissant à regarder sa mère se faire lentement ronger par ce monstre. Une deuxième voix se fit entendre dans son dos, c’était son père qui assistait à cela sans rien faire. Il était seulement à quelques mètres de duo, mais pourtant il n’aidait pas son ancienne femme. Voir cela emplissait fortement Galliléo de colère, il fit un pas pénétrant alors dans ce barrage de plante urticante.

« AAAAAAAAAAH ! » Un hurlement de douleur survint par la suite, c’était Galliléo qui une fois que l’une des fleurs effleura son torse nu sentait ce dernier le brûler et le gratter. C’était insupportable. Il tomba au sol dans l’incapacité de bouger tandis que le venin de la plante enflait brutalement son torse. Il orienta lentement son regard vers sa mère, qui cédait petit à petit aux griffes du monstre.  Dans un élan de désespoir, le jeune Galliléo se mit à hurler avec force à sa mère de fuir. Mais elle n’entendait rien. Son corps se dégradait petit à petit au même moment ou le monstre continuait de la manipuler avec ses griffes.

L’Italien se relevait, la haine au visage. Tandis que plusieurs de ses membres gonflaient au contact des plantes. La créature voyait que Galliléo commençait à vaincre sa peur, alors d’un nouveau mouvement de main. Des ronces tranchantes vinrent se mêler aux précédents barrages. Galliléo sentait son bras se faire lacérer et être coincé entre les nombreuses épines. La douleur était de plus en plus forte, car ses plaies nouvellement ouvertes se faisaient ensuite infectée par la toxine des autres plantes, renforçant alors la douleur en y ajoutant des sensations de brûlures intenses. Le fait que Galliléo soit également nu sans aucune protection n’arrangeait rien. Il était en train de se rouler de douleur au sol, un peu partout sur son corps sa peau enflait. Parler devenait une corvée tellement difficile pour lui au même titre que marcher. Pourtant, la créature avait une emprise de plus en plus importante sur le corps de la mère de Galliléo qui ne cessait de se dégrader sous les yeux impuissants de son fils.  Ce rêve ne serait qu’un reflet de la réalité ? La peur de Galliléo le parasitant l’empêchant faire certaines tâches, travailler dans certains milieux et autres ? Sans travail, il ne pourrait pas payer les soins pour sa mère.

Lourdement, la main de Galliléo arrachait une ronce qui enchaînait son bras. Son corps gravement enflé se levait grâce à une volonté totalement nouvelle.  Il continuait, arrachant avec force toutes les plantes se trouvant sur son passage, peu importante si ses mains enflaient. Il continuait lentement d’avancer en poussant des hurlements de rage tout en déracinant toutes les plantes sur son chemin.

Alors qu’il allait extirper sa mère des griffes de cette créature, son père s’interposa. Aussi étrange que cela puisse paraître ce dernier était l’obstacle ultime ? Il prit une teinte verdâtre et petit à petit, il devint une plainte carnivore qui tentait de dévorer son fils. Galliléo ne sourcillait plus. « T’es ridicule. » Dit t-il, retrouvant un timbre de voix calme. Il se pencha légèrement en arrière, puis envoya un énorme coup de poing dans la plante carnivore qui valdingua à plusieurs mètres. Galliléo continuait d’avancer, les enflements sur sa peau s’estompaient en même temps que l’effet urticaire qui le prenait.  Chaque pas qu’il faisait, il retrouvait petit à petit une apparence normale.

« Je te vaincrais, et je sauverais ma mère. » Dit t-il, un étrange flux d’énergie verdâtre s’échappait de la plante carnivore pour aller s’écraser contre Galliléo, pénétrant les pores de sa peau jusqu’à que lui même y gagne un teint verdâtre. Il était maintenant un voyageur, s’élançant vers le monstre qui parasitait sa mère pour, d’un deuxième coup de poing le faire lâcher prise. Dès le contact entre la main de Galliléo, et le crane de la créature. Cette dernière explosa et sa mère également.

Le jeune homme, restait nu au centre sans vraiment comprendre. Petit à petit d’ailleurs l’obscurité quittait la zone pour laisser place à un énorme royaume végétal extrêmement magnifique. Maintenant qu’il ne ressentait plus aucune peur pour les plantes inconnues, il comprenait maintenant leurs beautés, le royaume brillait de mille feu tandis qu’un seul et gigantesque arbre était visible au centre abritant en son sein une sorte de silhouette. Quel était ce rêve étrange, peu importe. Il savait qu’il était dans un rêve qui n'obéissait à aucune loi logique.


« Qu’est-ce donc.. ? » Pensa à voix haute le nouveau voyageur, il s’avançait très lentement vers cet étrange arbre et en avançait il pouvait finalement remarquer que tout autour de lui était mort. L’immense et verdoyante forêt qu’il avait vu juste avant était une illusion ? Il n’en restait plus rien si ce n’est un petit îlot vert surplombé par cet arbre énorme. Tout était mort, comme éteint.

Galliléo intrigué par les lieux continuaient se rapprocher, il sentait une mystérieuse connexion avec la nature et plus particulièrement avec la chose qu’abritait l’arbre en son sein. Cette même sensation vint chatouiller son dos nu.  


«  Quelle étonnante surprise, un voyageur ça faisait terriblement longtemps.» Dit une voix féminine, par réflexe. Le jeune homme se retourna et se retrouva nez à nez avec une sorte d’hybride entre la femme et la plante. Une horreur aux yeux de Galliléo qui se mit à afficher un visage montrant son dégoût. C’était une très vieille femme, on aurait presque dit qu’elle manquait de s’effondrer en morceau sur le sol a chacune de ses respirations, elles étaient lourdes et difficiles comme sa marche qui se faisait très lente. L’Italien restait sur ses gardes. « Voyageur… ? tu racontes quoi monstre ? »  

« J’attendais ce jour depuis tellement longtemps, je commençais presque à perdre espoir… Je commençais à me faner, mais maintenant que tu es la.. Oh oui, cela va tout changer, je ne pouvais pas espérer mieux, mon voyageur.. »

« Je ne comprends rien à ce que tu débites. Explique moi donc. »  Demanda Galli d’une voix très calme.  La plante se tourna vers Galliléo, souriante cette fois à l’idée de peut-être revenir dans la course. « Je suis Minerva, ta nouvelle maîtresse. Toi Galliléo tu vas me servir de bras armé au sein de ce monde, tu es mon nouveau voyageur et en échange de cette vie à Dreamland tu vas me servir fidèlement donc agenouille toi et jure moi fidélité. »

« Pourquoi je ferais ça ? » Demanda l’Italien, sa peau était légèrement verdâtre accentuant sa nouvelle forme de voyageur. La vieille créature s’avança lentement vers Galliléo, et déposa un faible baiser sur ses lèvres. « Car… tu es mon voyageur. » Galliléo comme ensorcelé se mit lentement à s’agenouiller, ses yeux étaient maintenant d’un rose vif. Minerva rigolait a pleine voix passant sa main dans la chevelure de Galliléo avant de sourire. « Maintenant, reçoit mon présent. Ma force. » Souffla légèrement ce monstre, son corps commençait à se décomposer devenant cendre, ces cendres étaient en train de s’insérer dans le corps de Galliléo couvrant sa peau de diverses nervures.

Cette forme de vie venait de s’éteindre. Cependant la silhouette dans l’arbre commençait à se décrocher dévoilant une nouvelle créature, c’était Minerva beaucoup plus jeune. Une véritable déesse dont la beauté n’avait pas d’égale. « Tu m’as apporté assez d’énergie pour permettre cette réincarnation, je t’en remercie mon Galliléo. » Elle se rapprochait doucement de son voyageur, déposant ses douces mains sur son visage.

« Soit mien, soit mon voyageur et ainsi je pourrais t'accorder ce que tu mérites. » Dit t-elle d’un air presque enjôleur, elle contrôlait Galliléo, il ne pouvait pas refuser. « J’accepte Minerva. » Dit t-il charmé et la créature s’amusa avec le voyageur pendant le reste de la nuit.  La nuit suivante, il revint dans ce royaume contrôlé par cette créature. Elle lui avait offert un masque et commençait doucement à mettre en place son plan.


____

Plusieurs mois après la première nuit de Galliléo. Dans le monde réel, Galliléo n’a pas vraiment l’air de comprendre ce qu’il se passe. Il est donc capable de se rendre dans un monde parallèle au réel, Dreamland. Fabuleux ? Non, il ne savait pas vraiment quoi y penser et surtout quoi penser de Minerva. Elle se présentait en tant que seigneur cauchemar de la nature sauvage, celle qui envahit et reprend ses droits. Elle avait abordée son passé très brièvement, capable de se réincarner dans n’importe quelle créature de son royaume ou de sa création, elle vivait ainsi autrefois à l’époque ou son royaume était à son apogée. Elle disait qu’à cette époque les hommes vivaient encore dans des grottes et ne sortaient que très peu, son royaume était l’un des plus puissants mais il fut rayé de la carte par un cataclysme, elle n’avait pas souhaitée en dire plus. Ce qu’elle souhaitait, c’était reconquérir ses territoires afin de retrouver sa puissance d’antan. Cependant, aujourd’hui elle est bien trop faible et c’est Galliléo qui doit se charger de cela. Ainsi, depuis plusieurs mois Galliléo se rend sur les anciens territoires de Minerva et procède à un ‘’nettoyage’’. Il extermine toutes les formes de vie sur son chemin et plante les graines de Minerva afin qu’elle puisse prendre le contrôle du territoire.

___


Première zone ~ Forêt inconnue.




« Mon beau et brave, bravo. Je sens que mes graines sont en train d’envahir l’endroit, elles bougent, je peux le sentir au fond de moi.. C’est.. Oh cette sensation.. Quelle joie ! » Impassible, l’homme masqué couvert de sang regardait la destruction dont il avait œuvré. Femmes, enfants, malades, Hommes, tous étaient tombés des mains de Pallas. Pallas, ce nom désignait le titan de la guerre et de la paix. Ironique comme nom, mais c’était le pseudonyme que Minerva lui avait trouvé. C’était son voyageur, elle devait être la seule à en connaître l’identité et surtout pouvoir profiter de lui et de son visage. De cette manière, elle gardait un contrôle absolument total sur Galliléo

« Que dois-je faire maintenant maîtresse ? » Demanda Pallas, levant légèrement la tête. Il sentait que la terre était en train de remuer sous ses pieds, un faible séisme était en train de frapper le royaume. Peut-être un autre gardien, méfiant le jeune homme reculait jusqu’à voir le sol se fissurer. Il bondit en hauteur venant se nicher sur une ruine d’un bâtiment qu’il avait détruit. Le sol continuait de se fissurer et comme lors d’un accouchement infernal, un gigantesque arbre commençait à jaillir du sol.


L’arbre était identique à celui que Galliléo avait vu lors de sa première rencontre avec Minerva, était-ce une sorte de signe de domination ? Il l’ignorait, seulement il pouvait clairement voir que la nature autour était en train de réagir de manière positive ou négative, c’est comme si la forêt tentait de rejeter la domination de Minerva, en vain puisque la faune et la flore devint d’un coup totalement sauvage. Pallas observait attentivement ce mystérieux phénomène sans vraiment comprendre, les corps des anciens occupants de la forêt étaient en train de se faire absorber dans le sol servant probablement de repas à l’arbre. C’était visiblement le cas, au bout de plusieurs minutes un bourgeon vint émerger au bout de l’arbre et de ce même bourgeon une nouvelle enveloppe de Minerva se montra, nue mais pourtant identique. Pallas ne comprenait pas vraiment le fonctionnement de son seigneur, cependant il avait l’impression qu’elle était plus une entité qu’une créature à proprement parler. Pallas se disait qu’elle utilisait ces corps comme avatar pour interagir physiquement avec le monde qui l’entourait et surtout avec lui.

« Magnifique, tu as fait du bon boulot. » Annonça Minerva en décrochant sur ses lèvres charnues un sourire charmant, elle faisait signe à Pallas de se rapprocher ce qu’il fit sans sourciller. « Mes créatures sont déjà en train d’investir l’endroit, tu peux te féliciter. Comment était-ce ? Raconte moi tout le temps que mes plantes assimilent les corps. » Souffla Minerva, se tenant très proche de son voyageur.


« Assez simple, aucune de ces créatures ne savaient se battre. » Très bref comme d’habitude. Minerva comptait parler mais elle se coupa à peine ses paroles prononcées. Ses yeux violets se déposaient vers une direction particulière, fronçant très légèrement les sourcils. « Tu as laissé un survivant, corrige immédiatement cette erreur. » Le timbre de voix de Minerva venait de drastiquement changée, passant d’enjôleur à sévère. Pallas hocha légèrement la tête avant de s’incliner.

« Veuillez pardonner mon imprudence, je m’en charge immédiatement. » Sans en dire plus, Pallas s’élançait dans la direction communiquée par Minerva cherchant donc ce fameux survivant. Après plusieurs minutes de recherche, Pallas voyait une créature. Elle ne ressemblait pas aux autres, c’était sûrement un marchand présent sur les lieux au mauvais moment, immédiatement elle reconnue son bourreau et tenta de s’enfuir. Ses plaies étaient assez profondes et saignaient de manière abandonnant, elle abandonna très rapidement l’idée d’échapper à Galliléo qui lui n’avait pas l’air de se fatiguer.


« Arrête par pitié ! Tu veux de la monnaie c’est ça ? C’est ce que veulent les types de ton genre non ?! La gloire et l’argent ! Laisse moi tranquille et je te servirais tout ça sur un plateau d’argent ! Par pitié ! » Implora le pauvre marchand, Pallas observait tout cela derrière son masque offrant un air impassible et sans pitié a celui qui monnayait sa vie.

« La gloire et l’argent ne m’intéresse pas. » Souffla brièvement le voyageur, s’avançant d’un unique grand pas vers la créature prête à lui prendre sa vie.

« Non ! Attends.. ! Je te donnerais tout ce que tu veux.. ! » Implora encore une fois la créature, mais elle se fit saisir à la gorge par son bourreau.

« Rien ne m’intéresse je te l’ai déjà dit, seulement la reconnaissance de ma maîtresse. » Sa poigne se refermait brutalement sur la gorge de la créature, lui écrasant immédiatement ce qui mit fin à ses jours.
Pallas revint aux cotés de Minerva, lui présenta le corps de sa victime qui fut aussitôt assimilé par la nature sauvage qui commençait à régner en maître.


Un peu partout on commença à parler de petit royaume végétaux qui étaient en train de tomber, diverses spéculations plus ou moins folles évoquaient le chaos et autres mais tous étaient assez loin de la vérité, la redoutable Minerva voulait récupérer son territoire.


___
Deux semaines plus tard.

« La forêt des rêves, j’ai entendu parler de ce royaume. Voulez vous que je m’y rendre ? » Demanda doucement Pallas, cela faisait plusieurs nuits que la forêt qu’il avait conquit il y’a peu étaient maintenant aux ordres de Minerva, elle y régnait en maîtresse ici commandant les plantes à sa guise, ses sujets avaient envahit les lieux et commençaient déjà à y fonder un village.  

Les sujets de Minerva étaient bien souvent ses propres créations à quoi elle pouvait donner une forme de conscience bien limitée, mais certaines pouvaient s’en démarquer en possédant leurs propres personnalités et autres. On peut y compter certains généraux, nobles, quelques marchands. Le reste se compose uniquement de monstre végétaux sans aucune intelligence. Ils participent à une sorte de cycle ou ils assimilent également certaines choses dans le but de grandir jusqu’à mourir afin de se faire assimiler par le royaume et venir gonfler les forces de Minerva qui va en produire d’autres et ainsi de suite.


« Non, c’est bien trop dangereux pour toi. Et je ne veux pas me faire remarquer, j’ai fait de toi l’archétype du voyageur killer afin de détourner l’attention. Un parfait désaxé masqué qui massacre sans discernement des petits villages pacifiques de la première zone.C’est une bonne couverture n’est-ce pas Galliléo ? »

Pallas hocha doucement la tête, observant du coin de l’oeil l’avatar de Minerva.

« J’aimerais éviter cet endroit pour le moment, il est sous la garde de quelqu’un que je ne veux pas confronter de suite. Puis j’imagine qu’il se doute déjà de mon retour, je veux éviter qu’il ne confirme ses soupçons. »


« Qui est-ce ? » Questionna Pallas, c’était la première fois qu’il entendait Minerva avouer de manière indirecte qu’elle se méfiait de quelqu’un, craignait-elle cette créature ? Galliléo ignorait encore tout de Dreamland hors les petites magouilles de Minerva il ne connaissait rien à ce monde.

«Une vieille connaissance. » Souffla tristement la créature.

__

Les semaines continuaient de défiler, dans le véritable monde Galliléo n’avait pas vraiment l’air de se rendre compte de ce qu’il faisait, peut-être à cause de la manipulation de Minerva ? Il arrivait même que les souvenirs de ses nuits soient altérer par les phéromones de Minerva et certains de ses massacres revenaient sous forme de faible flash. Cependant, afin de dissiper tout doutes vis à vis des probables ennemis de Minerva il devait se faire passer pour un simple voyageur Killer. Elle avait volontairement envoyée son voyageur aux alentours de certains villages afin de le faire remarquer. La première zone regorgeait de petit nouveau qui souvent voulaient jouer aux héros, Minerva comptait sur ça afin de gonfler la renommée de son voyageur il fallait absolument faire passer Galliléo pour un énième dangereux malade pour éloigner tout soupçon sur ses véritables activités.

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Zozo.jpg
★ Prénom ou pseudo : Yann/13 BLO sur discord.
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★ Connais tu Dreamland ? : Oui.
★ Depuis quand fais-tu du rp ?: Depuis mes 13 ans, commencé avec la première version du forum.
★ Pourquoi avoir choisi ce forum ? : Pourquoi pas ? Peut-être la nostalgie.


Dernière édition par Pallas le Mar 1 Sep - 12:48, édité 1 fois
Pallas
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Pallas
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Re: Un nouveau nom pour une nouvelle vie ~ Pallas, l'histoire d'un massacre. [En cours] Lun 31 Aoû - 17:53

Coucou, j'ai terminé ! Bonne lecture !
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Game Master
Messages : 763
Re: Un nouveau nom pour une nouvelle vie ~ Pallas, l'histoire d'un massacre. [En cours] Mer 2 Sep - 21:47

Ta fiche est validée mon chère meurtrier anonyme !

Tu commence en tant que N°789 de la Ligue B. Bonne chance pour essayer de niquer Mugen, t'en auras besoin héhé !



Oublie pas de faire ta fiche technique et de faire valider ton avatar dans le topic Liste des avatars o/
Bon rp !
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