★ Surnom : Tyrko
★ Sexe : Homme
★ Age : 20 ans
★ Habite à : Varsovie
★ Activité : Elève
★ Phobie : Mangouste
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★ Pouvoir : Morpheus Mangouste
★ Arme : Aucune
★ Objet magique : Aucune
★ Alignement : Tyrko n’a pas vraiment d’alignement, se considérant comme neutre, du moins pour le moment.
★ Objectifs : Pour l’instant Tyrko n’a pas vraiment d’objectif claire et précis. Il vient à peine de vaincre sa phobie, et de prendre ainsi conscience de l’existence du monde de Dreamland. Dans un premier temps, le jeune polonais se contentera de découvrir tout ça, avant de choisir vraiment un objectif à accomplir.
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★ Aime : Le courage, la loyauté et l’honneur. L’alcool, et les bières en particulier, explorer.
★ N'aime pas : Les trahisons, les gens qui se plaignent trop souvent de leur vie, les champignons, et ceux qui se plaignent de quelque chose mais qui refusent d’agir.
★ Points de Puissance : A voire avec le staff
★ Points de Réputation : 1, vu qu’il vient de débarquer.
★ Classement : Inconnu
DESCRIPTIONS
Tyrko Komorovsky est un jeune adulte en pleine forme physique, mesurant 1m84 pour 74 kilogrammes. Vous l’aurez deviné, ce n’est pas quelqu’un de vraiment imposant à première vue. D’un autre côté, il ne cherche pas vraiment à l’être. Son tempérament réservé colle plutôt bien avec son physique discret, mais ses années de sport, et en particulier de boxe ont forgé un corps assez résistant, et c’est visible en extérieur durant les rares fois où il se retrouve torse nu. Des abdos bien dessiné, et, malgré l’absence de muscle pectoraux conséquent, il n’est pas difficile de deviner qu’une droite simple peut piquer si elle atteint son but. Ses jambes ne sont pas en reste. Etant un sport demandant un physique développé aussi bien sur le haut du corps que le bas, le jeune polonais a des appuis stables, et bien qu’il ne se batte que trèèèèès rarement si ce n’est jamais avec les pieds, ce n’est papas une force à prendre à la légère. Ses yeux noirs, ternes, cachent son habitude à tout analyser et à tout prendre en compte de ce qu’il se passe devant lui, ayant la sérieuse habitude de réfléchir avant d’agir. Bref, tout cet attirail physique lui sert principalement dans un but : il a l’habitude d’agir en autonomie, afin de n’avoir à compter sur personne, afin de n’avoir personne à blâmer en dehors de lui en cas d’échec. C’est donc quelqu’un de plutôt solitaire, bien qu’il n’ait pas de soucis à rejoindre un groupe s’il le faut, afin de défendre quelqu’un ou quelque chose, mais demandera toujours une certaine autonomie. Mais cette attitude masque quelque chose qu’il n’aime pas du tout être, c’est-à-dire un boulet pour les autres personnes. Il n’a aucune idée d’où lui vient cette peur, mais bien qu’elle soit forte, elle n’égale en rien sa peur d’un étrange animale, pourtant inoffensif pour l’homme, la mangouste.
Sa peau pâle démontre une rare habitude à sortir dehors, si ce n’est pour aller faire le strict minimum, bien qu’il ne rechigne jamais à aller boire un verre en ville avec quelques un de ses rares amis, étant donné que, du fait de son passé, Tyrko n’entretiens pas de relation avec un nombre important de personne.
HISTOIRE
La vie de Tyrko Komorovsky n’est pas vraiment extraordinaire. En effet, il est né dans une famille assez simple. Pas forcément riche, mais pas pauvre non plus, autant dire que le jeune homme n’a jamais vraiment manqué de rien. Sauf peut être de la présence de son père. En effet, ce dernier, en tant qu’officier dans l’armée Polonaise partait à intervalle régulier en mission aux quatre coins du globe. Afghanistan, Tchad, Irak… Autant dire que le père Komorovsky a beaucoup voyagé, durant sa carrière militaire. Mais à quel prix… De longues missions pouvant aller de 4 à 7 voire 8 mois d’absence à la maison, loin de chez lui et de sa famille. Bien entendu, son travail s’accompagnait de déménagement successif, changeant de régiment tous les deux ans. Tyrko a donc visité à peu de chose près l’entièreté de son pays, du Nord au Sud, et de l’Est à l’Ouest. Bien qu’il ne soit pas d’une grande famille noble polonaise, il a néanmoins été élevé avec des valeurs que beaucoup considérerait d’obsolète : le courage, l’honneur, et la loyauté. C’est avec ceci qu’il guide ses choix dans toute sa vie, même le plus simple et le plus basique. Chose qui lui a d’ailleurs valu quelques déboires au cours de sa vie, mais que lorsqu’il fut en âge d’affirmer ce qu’il pensait en public, sans la présence d’une quelconque aide extérieur. Bref. Bougeant tous les 2 ans de sa vie, il n’eut jamais d’amitié vraiment stable, et c’est sans aucun doute à cause de ceci qu’il a du mal à s’attacher aux gens, conscient que ce ne sera que temporaire, même ceux avec lesquels il garde un contact par téléphone peu après son départ. Ce n’est qu’à l’âge de 15 ans que son père fut muté dans un bureau, et ce, de manière stable, dans la capitale polonaise, Varsovie, ce qui n’empêchait pas son père de continuer ses missions à l’étranger, même si elle durait désormais moins longtemps. Enfant calme, débrouillard et réservé, il ne fit pas vraiment de vague à l’école, mais ça lui arrivait d’intervenir pour calmer le jeu dans une bagarre ou deux, s’interposant physiquement sans broncher s’il le fallait. Sans être un prodige en cours, il se débrouillait dans à peu près toutes les matières, et opta pour des options plus littéraires quand il eut à faire un choix, au grand damne de ses parents qui auraient préféré le voire dans quelque chose de plus scientifique. A côté de ceci, il pratiquait la boxe de manière intensive même s’il n’a jamais fait de compétition, et n’a jamais eu de véritable idée de son niveau, sauf une fois alors âgé de 18 ans, après être sortit boire une bière dans un bar. Il croisa deux hommes qui semblaient dès plus agités. La nuit sombre recouvrait déjà la ville, et quelques lampadaires allumaient de manière relativement peu efficace la scène. Ecouteurs dans les oreilles, il n'entendait pas tellement ce qu’ils se disaient, mais baissa le son de sa musique en s’approchant des deux protagonistes. Plus il s’approchait, plus il entendait des insultes fuser dans tous les sens. La suite reste très confuse dans son esprit. Il se souvient de la lueur du métal luisant dans l’obscurité, puis un réflexe, venant le prendre aux tripes. Il agit, sans réfléchir aux conséquences. La suite reste très floue, mais il est écrit dans le rapport qu’il attrapa le bras armé de l’assaillant pour le passer à côté de son flanc droit, avant de venir décocher un crochet du gauche, retirant plusieurs dents à son adversaire. Le combat, qui lui parut durer une éternité, ne dura en réalité pas plus de 30 secondes. Quelques coups furent échangés, et il fut blessés à l’arcade sourcilière d’un coup de couteau, lui laissant une cicatrice durable à cet endroit. Bien qu’il eût d’autres « accrochages » au cours de sa vie, c’est le seul qu’il considère comme étant vraiment important. Désormais âgé de 20 ans et en passe de réussir ses études comme toute personne normale. Habitant seul dans un petit studio, il s’est néanmoins à rêver de plus en plus fréquemment de sa phobie, qui concerne les mangoustes.
CHRONIQUES
Première nuit : Victoire sur la phobie.
Peur. Tyrko avait peur. Cette peur qui donne envie de décamper, de partir. Enfin, dans ce cas-là, le jeune polonais voulait seulement se réveiller. Un rêve, ou plutôt, un cauchemar. C’était tout ce que ça pouvait être. Elle s’approchait en plus. En montrant les dents. Malgré la panique, Tyrko ne pouvait s’empêcher de se moquer de lui-même en silence. Lui, Tyrko Komorovsky, qui voulait tout affronter avec courage… Réduit à néant par une simple bestiole poilue. Tss. Il était désormais assis, dos à un arbre, regardant la bestiole s’approcher de lui. Il était sur qu’elle était inoffensive, en temps normal. Elle devait surement le considérer comme un intru sur son territoire. Réaction tout à fait normale de sa part. En tant que polonais, il savait très bien ce que ça faisait, de se faire envahir comme ça. Saloperie. La voilà qui grimpait sur son pied maintenant. Le petit museau de la mangouste commençait à renifler le pantalon du polak, alors que ce dernier luttait pour calmer sa respiration et réfléchir. Il regarda rapidement autour de lui, mais rien ne pourrait l’aider, à peut-être une petite branche cassé à quelques centimètres de lui. La forêt dans laquelle il était ne lui avait rien apporté d’autre. Il n’y avait que lui, et lui seul pour vaincre sa peur. Se ressaisissant doucement, alors que son rythme cardiaque commençait enfin à baisser, sans pour autant redevenir normal. La bête continuait de grimper sur ses habits, et Tyrko sentait les petites griffes de la mangouste transpercer son pantalon pour venir effleurer sa peau. Il inspira longuement, puis expira, alors que son bras droit bougeait doucement, s’arrêtant à chaque fois que la bête redressait la tête vers cette dernière. Elle n’était pas si méchante que, ça, cette mangouste. Elle était peut-être juste curieuse, après tout ? Qui ne le serait pas dans cette situation. Le polonais continua à approcher doucement sa main, centimètre par centimètre jusqu’à être juste au-dessus d’elle. Alors, d’un geste vif, il passa ses doigts autour du cou de la mangouste et l’envoya quelques mètres plus loin, sur la terre ferme. Malgré la vitesse d’exécution, elle avait eu le temps de lui griffer la main, et le voilà qui saignait. Il grogna en s’approchant de la mangouste, qui, elle aussi, était visiblement passablement énervé. Elle sauta pour tenter de s’agripper à nouveau à lui, mais ne trouva que les chaussures de Tyrko sur le trajet, la force du coup envoya la petite bête s’écrasa un peu plus loin contre un arbre, avant de disparaître sans demander son reste. Tyrko émit un petit rire nerveux en contemplant la scène. Alors il paniqué pour ça ? Pour une bestiole qui aussi fragile ? Puis son rire se transforma en une franche rigolade. Mais au fur et à mesure qu’il rigolait, et sans s’en rendre compte, il rapetissait, son corps se recouvrant de poil, et ce n’est que lorsqu’il toucha terre à quatre pates, qu’il arrêta de rire, subitement, avant de crier : « OH PUTAIN ! » Puis, Tyrko se réveilla.
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