DescriptionsAlors que tu marchais dans la rue le pas léger, tout les regards se retrouvent tournés vers toi, peut-être est-ce la réputation qui te précède, ou encore les mystérieux symboles présents dans le dos de ton kimono que tu portes fièrement, révélant ainsi ton allégeance à ceux qui te rencontre pour la première fois. Après tout, tu n'avais rien à cacher. Le sourire que tu arbores éternellement est là pour inspirer confiance, il est véritablement impossible pour toi de t'en détacher. L'air insouciant que ton visage montre fait partie de toi depuis tant d'années... Mais peut-être qu'il cache autre chose. Dissimulant ses angoisses, ses peurs derrière ce sourire.
Alors que tu marches, le vent te caresse doucement le visage, faisant également voler ton kimono... Tenue qui te correspondait totalement. On ne pouvait parler de toi sans parler de tes magnifiques kimonos, tu en possédais une ribambelle, tous aussi différent les uns que les autres, mais peu importe celui que tu portais, tu savais qu'il t'allait parfaitement. En dehors de ces vêtements traditionnels que tu aimes tant porter, tu portes aussi des tenues beaucoup plus décontracté. Il n'est pas rare de te croiser quelque part avec un petit bob, accompagné d'un t-shirt et d'un short.
Tu n'es pas quelqu'un de compliqué, l'habit ne fais pas le moine selon toi et tout le monde devrait porter ce qui lui plaît sans se soucier des détails.
Mais bon, comme tous, tu n'étais pas une personne qu'on jugeait sur le physique, mais quelqu'un qu'on découvrait au fur et à mesure qu'on le côtoyait.
Tu t'arrêtas, au passage ta route pour entrer dans un petit café, de vue, il t'avait l'air très sympathique et tu savais, tu pourrais t'y désaltérer comme il le fallait. Tu possédais aussi un instinct à toute épreuve, enfin, c'est ce que tu croyais.
C'était un café des plus banals, en trouver un qui ressemble à celui ne serait pas bien difficile, surtout dans le monde qui t'entourait. En entrant, tu te doutais qu'un petit monde puisse te reconnaître, mais bon, comme à ton habitude, tu ignoras les discussions à ton sujet qui commençaient à ressortir, pour ne profiter que de la boisson dont tu allais te délecter en ce saint lieu. Après tout, ta renommée, enfin celle de ton paternel te suivais partout où tu allais. C'étaient les aléas de la vie, bien que c'était parfois particulièrement embêtant, tu avais choisi ce mode de vie, tu te devais de l'assumer. Commandant un petit lait fraise, nectar divin, tu n'attendais plus que cette boisson arrive pour pouvoir te délecter de son jus.
Mais bon, tu savais patienter, enfin, selon la situation... Les gens qui te connaissent disent souvent que tu es quelqu'un d'énergique, certains disent même que tu es hyperactif. Pourtant, tu te trouve assez calme, enfin, comme précédemment, ce sera seulement en fonction de la situation. En tant que boule d'énergie humaine, tu savais qu'il fallait quelque chose pour te condenser, te calmer... Alors c'est pour cette raison que tu t'es initié aux sports de combat, toi aussi. Gardant un esprit froid et tranchant quand la situation le demandait, et restant joyeux et enfantin quand tu pouvais jouer.
On pourrait aussi te décrire comme quelqu'un qui était très enfantin. Quand tu n'étais pas content, tu boudais, tu ne parlais plus ou bien, tu faisais ta petite crise le plus souvent du temps. Un comportement de quelqu'un qui n'avait pas ton âge. Mais après tout, cette immaturité faisait partie de toi. Tu avais dû grandir si vite, si rapidement, être mature, froid, silencieux. Lors de ton enfance, tu n'avais pas eu le plaisir de passer par cette crise que de nombreuses autres personnes avaient eut le plaisir d'avoir.
Tu étais évidemment, quelqu'un au franc-parler légendaire, depuis tout petit, tu n'avais pas ta langue dans ta poche. Lorsque quelque chose n'allait pas ou ne te plaisait pas, tu allais le dire. Mais en plus de ça, comme tu avais ton petit caractère, si on n'allait pas dans ton sens, une réaction puérile enchaînerait. Tu n'étais pas quelqu'un de naturellement arrogant, mais tu aimais jouer avec le feu, c'était dans ton caractère, tu ne pouvais t'en empêcher. Lorsque la situation t'énervait ou que tu voulais envenimer le dialogue, tu savais, inconsciemment trouver les mots qui te fallait afin de faire exploser de rage tes interlocuteurs. Tel mère tel fils, comme on pouvait dire.
Par contre, il y avait une chose sur laquelle tout le monde était d'accord te concernant, en plus de ta joie de vivre, c'était que tu possédais un mental d'acier. Tu ne flanchais jamais, quelle que soit la situation et tu détestais t'incliner en face d'une personne. Tu l'avais trop fait durant ta jeunesse, désormais, que tu avais la puissance nécessaire pour plus te le permettre. Courber l'échine était quelque chose d'impensable. Tu avais beau paraître bête devant les autres, ce qu'il fallait aussi savoir sur ton cas, c'était que tu n'oubliais pas, que tu n'oubliais jamais quand quelqu'un te faisait du mal. Il paiera plus tard, il paiera un jour, mais il paiera la monnaie de sa pièce.
Mais bon, on te connaissait aussi sur ton aptitude à aller de l'avant, certaines fois, tu pouvais laisser passer. Ne rien dire, pardonner. Après tout, tu avais toi-même été pardonné un nombre incalculable de fois. Alors bon, ce serait un peu hypocrite de ne pas en faire de même avec les autres. Tu n'étais pas extrémiste, comme pour chaque chose, tu faisais souvent du cas par cas. Écouter avant de tuer était parfois la meilleure solution pour éviter un conflit.
Enfin bon, tu as quand même de bons cotés, hein ? Comme ton insouciance, tu rêvais, flottait dans les nuages, tu semblais quelqu'un d'assez naïf, mais bon, tu n'étais pas écervelé non plus. Il y avait des limités à ne pas dépasser. Tu aimais bien donner une chance à chacun, tu estimais que peu importe l'allégeance de la personne et ses croyances, elle avait ses chances pour devenir ton ami. Qu'il soit un soldat ou même un gérant de la mafia, s'il y mettait du sien, tu pensais que les liens étaient plus puissants que les rivalités.
Concernant tes peurs, tes craintes et te plus anciens secrets, tu les cachais derrière un éternel sourire et une attitude enfantine. Tu n'aimais pas montrer tes faiblesses, exhiber tes points faibles devant tous. Tu avais horreur de ça, alors même dans les pires moments de ton existence, il n'était pas rare de te voir sourire, tu gardais tout au fond de toi, te retenant et compressant tout ce que tu pouvais ressentir jusqu'au moment ou enfin, tu serais seul. Et là, c'était littéralement une explosion, toute cette rage et cette impuissance, compressée se voit décuplée. Mais bon, tu n'avais jamais été doué pour cacher les choses, surtout à tes alliés, tes frères d'armes. Ils pourraient facilement remarquer que ton comportement était anormal... Mais bon, tu essayais quand même avec le plus grand mal de le dissimuler. Mais au fond de toi, cette facette de ta personnalité te dégoûtait le plus.
Il y avait aussi cette habitude, de te curer le nez quand tu étais en situation de stress, ce n'était non pas par arrogance, mais ce geste était fait inconsciemment lui aussi, il t'avait valu bien des douleurs quand tu étais plus jeune. Mais tu n'avais pas su corriger ce petit défaut et tu devais désormais vivre avec, pour le plus grand malheur de ceux qui discutait avec toi. Mais soit, ils s'y feront eux aussi, après tout, ils n'avaient pas le choix, c'était ta manière de vivre.
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He ! Samuel, tu as trouvé un moyen de le faire ? Il s'agissait de la seule et véritable personne que tu pouvais considérer comme un ami en ce bas monde, tu ne savais pas pourquoi, mais il était franc avec toi. Alexandre, un homme assez pauvre, mais il a réussi à obtenir une bourse afin de pouvoir étudier au même endroit que toi. Tu l'avais invité ici afin d'étudier ensemble... Et aussi pour parler d'un sujet un peu plus étrange...
Le seul moment passé avec eux t'a marqué à vie.
Tu l'enviais beaucoup, lui qui se battais pour obtenir ce qu'il voulait, toi, tu n'avais qu'à demander et ton souhait était exaucé.
| " Pour tout te dire, je n'ai pas encore réussi. " |
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Mais t'es vraiment long ! Moi, j'ai réussi en un temps record. | " Vaincre sa phobie. C'est vraiment beaucoup plus difficile à dire qu'à faire... Mais ne t'inquiètes pas, je m'en occupe ce soir. Je te rejoindrais..." |
Et oui, il t'en avait parlé, il avait brisé l'interdit. Il t'avait parlé de Dreamland, un monde où tu pourrais enfin vivre comme tu l'entendais. Sans devoir représenter les Hawkins là ou tu allais... Il fallait vraiment que tu deviennes un de ces fameux voyageurs au plus tôt !
Mais bon, ça attendra. Pour l'instant, tu devais finir d'étudier avec Alex, les cours son toujours prioritaire !
HistoireTu es né dans une famille un peu spécial, fils d'un grand cadre, tu allais hériter d'une des plus grandes entreprises de la ville. Ta mère quant à elle, était une martialiste accomplie, ayant déjà remporté plus d'une coupe dans les tournois de Karaté. Aujourd'hui, elle se battait pour son pays lors de compétitions mondiales. Être la progéniture de telles personnes n'est pas chose aisée, surtout pour toi, tu vivais chaque jour avec la comparaison, tu ne faisais qu'être comparé à ces personnes, que tout le monde croyait si parfaites. Mais les gens ne vivaient pas avec eux au quotidien, ils ne pouvaient savoir et ressentir ce que tu vivais.
Ils en avaient de la chance.
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Samuel Hawkins, 9 ans.
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Tu dois avoir de la chance ! D'avoir ces héros comme parent !Prononça un jour un de tes camarades de classe, tu ne répondis pas, tu ne devais pas étaler ta vie devant tous comme ça. Tu ne leur ferais pas ce plaisir. C'est donc avec un seul et unique sourire que tu lui offris comme réponse avant de quitter le lieu comme si rien ne s'était passer.
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C'est bon, hein ? Tu as des parents qui ont réussi et tu peux te permettre de nous prendre de haut ? Et bien laisse moi te dire que...… Paf.
Le coup de pied que tu envoyas pris pour cible le visage de celui qui ne savait rien. Ta mère te l'avait toujours interdit, usé de la technique qu'elle t'apprenait pour te battre, mais cette fois-ci, tu agis presque qu'instinctivement, tu ne pouvais plus encaisser. Tu avais passé ta vie à subir, sans rien dire, subir cette vie dont tu n'avais jamais rêvé. Cet homme qui parlait de chose qui ne le concernait pas, ils étaient tous pareils. Tu avais beau essayer de devenir ami avec eux, ils ne t'aimaient pas réellement, mais bon, tu ne perdrais pas courage. Tu savais qu'un jour, tu trouveras quelques personnes pour t'aimer toi, celui que tu étais.
Une fois que le calme et la lucidité avait reprit le contrôle de ton corps, tu partis sans dire un mot. Tu laissas ton entourage s'occuper de ce qu'ils savaient faire le plus durant leur pauvre vie, critiquer ; la rumeur ne tarda pas à parvenir jusqu'aux oreilles de ceux qui t'avaient donné la vie et tu avais reçu une belle réprimande ce jour-là.
***
Samuel Hawkins, 12 ans.
Un des rares moments où tu pouvais pleinement profiter de la présence de tes parents, les Vacances Scolaires. Amateurs de sensation forte, ils t'avaient proposés de faire de l'escalade et dans tout l'orgueil qui était le tien, tu ne pus t'empêcher d'accepter...
… Quelle erreur.
La vitesse et précipitation vont toujours ensemble, et c'est cette journée-là que tu compris pourquoi. Voulant faire au plus vite pour les impressionner, eux qui étaient si parfaits, tu voulais leur prouver que tu étais comme eux.
Mais quand tu te retournas, pour voir regarder ou en étais tes parents, fier de les avoir surpassés, tu vis quelque chose qui te marquas à jamais. Tu étais tellement haut que tu ne pouvais distinguer le sol, une seule et unique poussée suffirait à mettre fin à ta vie. Cette pensée t'horrifia, tu ne parvenais plus à faire le moindre mouvement, le dégoût s'emparait doucement de toi jusqu'à ce que la peur soit totale, et que tu finisses par vomir.
T'abaissant pour éjecter cette peur qui te contrôlait, tu finis par glisser sur ce même liquide que tu venais de rejeter...
La chute.
...Tout s'accéléra, le sol se rapprocha rapidement de toi, tu ne distinguait plus rien, tout était flou. Il n'y avait plus rien autour de toi, seulement toi, le sol... Avant que tu ne te rendes compte que tu étais encore attaché grâce au matériel de sécurité... Mais cette frayeur, cette vision resterait en toi pour l'éternité. Tu ne pourrais oublier ce que tu venais de voir.
***
Samuel Hawkins, 13 ans.
Jusqu'à ce jour, tu parvins à dissimuler ta peur assez aisément, il ne fallait pas qu'ils sachent, sinon, tout était fini pour toi.
Mais les dieux étaient contre toi et ils avaient décidé de te le montrer aujourd'hui.
Vous étiez tous à la piscine quand un de tes stupides camarades décida de lancer cette idée.
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si on sautait de là-haut ?En pointant du doigt un plongeoir... Au sommet... Non, tu ne pouvais pas revivre ça une seconde fois, il en était hors de question. Discrètement, tu tentais de partir, mais...
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Je pense que Samuel serait partant pour être le premier à faire le saut de la foi !Tremblant, rien qu'en t'imaginant en haut, tu avais mal au ventre... Non, tu ne pouvais pas vomir une nouvelle fois. Tu décidas de les quitter sans dire un mot de plus, mais vu le visage que tu avais, tu savais pertinemment qu'ils avaient deviné. Quand il s'agissait de t'épier, ils étaient tous des surdoués.
***
Samuel Hawkins, juste avant d'être un voyageur.
Tu avais réussi à vivre ta vie sans trop te soucier de ce problème, malgré le fait que certaines fois, tu ne pouvais y échapper, mais il y avait quelque chose que tu redoutais par-dessus tout... C'était le sommeil... À chaque fois que tu dormais, tu te retrouvais le plus souvent à vivre des cauchemars... Mais bon, tu ne pouvais t'y résoudre, faire de l'insomnie t'aurais bien aider dans cette vie...
Samuel Hawkins, actuellement – voyageur.
Maintenant que tu avais vaincu ta phobie, tu arrivais à étonnement bien à vivre avec ta peur de la hauteur, tu avais toujours le souvenir de ce rêve, quand il avait pris la voix de tes parents... Peut-être qu'au fond d'eux, c'était ce qu'ils pensaient...
Tout comme ce Deus, qui ignorait totalement ses voyageurs, comme si on était rien pour lui... Alors qu'au final, ce sont nous, les humains qui leur ont donné tout ce qu'il a aujourd'hui. Sa force, son prestige, rien ne vient de lui.
Finalement... Ils étaient tous pareils. Que ce soit sur Dreamland ou dans notre véritable monde. Tes parents ou ton seigneur.
Personne ne faisait réellement attention à toi.
Mais tu allais les surprendre, effectuer quelque chose que personne ne s'attendait à faire, t'élever haut-dessus d'eux.
ChroniquesTu savais que ce moment allait arriver, le moment de tomber doucement dans les bras de Morphée. Enfin soit, tu y étais habitué, ce n'étais qu'un désagréable moment à passer. Tu savais que tu allais passer un mauvais moment, mais tu ne comprenais jamais pourquoi... Étrange. Petit à petit, tes paupières commencèrent à se fermer, cramponner à ta couverture, tu appréhendais déjà ce qui pouvait se passer lors de ton passage dans le monde onirique.
C'est alors que tu finis par succomber et tomber la tête la première dans ce monde inconnu.
Royaume Céleste, Gravity of Love
Lorsque tes yeux se rouvrirent, c'est comme si tu venais de te faire téléporter, le décor étais totalement différent ! Tu te retrouvas soudainement en plein milieu d'un chemin, un labyrinthe de pierre, tu ne voyais réellement pas le fond... Où étais-tu ? Personne ne pourrait te répondre ici, tu étais seul, à une hauteur indéfinissable... Comment ferais-tu pour t'en sortir ? Cette fois-ci, il n'y aurait aide, aucun tour de passe-passe.
T'accroupissant, tu mis tes mains devant tes yeux afin de ne plus voir ce paysage, mais tu ne pouvais pas rester ici, tu allais devoir faire un choix...
Rester ici et attendre... Peut-être que quelqu'un de charitable allait te venir en aide, ou bien prendre ton destin en main, essayer de te sortir de là seul.
Mais la peur était trop forte, elle prit le dessus, ton corps s'immobilisa, tu ne pouvais plus faire le moindre mouvement. Se lever t'était désormais impossible, tu ne pouvais que rester ici, à ta place, à attendre que tout se passe.
C'est alors qu'une douce vois se fit entendre, une douce voix qui te susurrait gentillement à l'oreille... ▬ Regarde en bas mon chéri, je te rattrape bientôt ! Cette voix n'était autre que celle de sa mère, d'instinct, comme attirer par la voix, tu regardas une nouvelle fois en bas, tombant dans le piège puis vomissant tes tripes. Cette voix qui continuais de te harceler... Tu finis par comprendre que ce n'était pas ta mère, mais le vent lui-même qui te parlais.
Tu as toujours été seul après tout, tu n'as jamais demandé de l'aide à personne, pourquoi, ce serais aujourd'hui que cela changerait ?
▬
Regardez ! C'est Samuel, il s'apprête à sauter cette fois-ci !▬
Il s'est enfin décidé, allez portes tes boules !▬
Saute ! Saute ! Saute ! Saute ! Crièrent tous en cœur tes camarades, le vent avait pris leur voix et leur apparence... C'est alors que le chemin sur lequel tu étais pris soudainement la forme d'un plongeoir... Qui rétrécissait au fur et à mesure que le temps passait...
… Tu ne serais plus en mesure de tenir dessus bien longtemps !
Vint alors la chute, ce que tu redoutais le plus, tu tombais dans le vide, l'inconnu, la mort... Ce qui n'allait pas tarder à arriver... Une illusion de tes parents ne tarda pas à s'ajouter à ta descente aux enfers, se riant de ton échec. Malmenés par les vents qui te traînaient par-ci et par-là tel une frêle feuille, la voix de ceux qui t'avaient fait don de la vie résonnaient dans ton esprit dans un écho insupportable.
▬
Il ne nous mérite pas.▬
Si seulement j'avais eu un enfant plus compétent...En plus de ta chute... Ils continuaient de t'enfoncer... Non, c'en était trop... Vivre dans la honte était pire que ces vents de pacotille. Tentant en vain, d'attraper le vent comme celui était tangible, tu luttas, bougeant dans tous les sens, comme si tu te battais contre cette tempête.
▬
Non... NON !Hurla la tempête alors qu'une masse de vent commença à se rassembler autour de ton corps... Tu n'avais plus peur de cette hauteur...
| " Tout le monde tombe... Mais le plus important est de toujours se relever. " |
C'est alors que la masse d'air te stoppa dans ton élan ! Tu... Tu volais, tu contrôlais ces vents comme tu le désirais !
In... Incroyable !
Ce jour-là, tu vainquis ta peur de la hauteur... ton vertige, et rejoint les élus, les voyageurs qui parcouraient ce monde... Dreamland !