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J'aime l'intimité d'un salon privé

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Game Master
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J'aime l'intimité d'un salon privé Lun 22 Avr - 21:56

Il y a des personnes qui sont toujours un peu incommodées par tout ce monde ou qui n'apprécient juste pas les grosses soirées très bruyantes... tout ce bruit, toute cette musique et cette agitation. Et ça, Cupi-chan le comprends et c'est pour cela qu'en tant qu'organisatrice de mariage experte, elle avait pensé à faire aménager pour le sien des espaces plus calmes. Elle avait demandé à ce qu'au sein du bâtiment soit aménagé un espace où ses invités souhaitant se reposer ou bien avoir une discussion plus privée. (et quand je dis ça, c'est pas une métaphore sexuelle... quoique?!)

Et comme ce que Cupi-chan demande pour l'organisation de son mariage, elle l'obtient, il y a tout une aile du bâtiment qui ressemble à un long couloir dans lequel on peut encore entendre au loin la musique assourdissante venant du dance floor. Il y avait dans ce couloir plein de petites retenues qui donnaient sur des salons privés, des petites alcôves de tailles différentes. La plus grande pouvant réunir approximativement 12 personnes de taille normale. C'est l'un des seuls lieux qui n'est pas surveillé par la sécurité. Mais dans chaque petit salon privé se trouve un bouton permettant d'appeler soit le service pour se faire livrer à boire et à manger, soit la sécurité pour signaler un problème. Mais Law a tenu à l'intimité des invités dans cet espace privatif, en grand défenseur des libertés individuelles qu'il est, malgré le fait qu'il soit aussi le grand défenseur des lois restrictives, quel type plein de contradictions ce Law Legato !

Ambiance tamisée et beaucoup plus sobre que le côté quand même très m'a tu vu de la décoration de toutes les autres pièces, coin tranquille où discuter en privé et refaire le monde ou pour fumer sans incommoder quiconque, vous pourrez faire à peu près ce que vous voulez ici, dans le mesure où vous restez discret et ne dérangez pas les personnes occupant les salons voisins.
Eliakim
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Eliakim
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Sam 4 Mai - 23:47

- ZZZZZZZZZZZZZ PUTAIN JE ME SUIS ENDORMI PENDANT LES DISCOURS !
- Du calme, Diav !
- Non mais t’as tenu toi ?
- Le discours de la voyageuse, pas tellement. Mais celui de Law était intéressant. Sur la loi que nous formons par nos seules existences, et l’importance des liens pour nous préserver.
- J’ai rien compris à ce que tu viens de dire.
- C’est pas grave...tu es sûr que la partie baby-sitting du mariage est adaptée à Maygold ?
- Grave, elle va se faire plein d’amis et elle va boire des canons !
- J’pense pas. Elle a déjà montré des signes de turbulences durant la cérémonie, je crains le pire...mais nous sommes enfin un peu seuls.
- Ouais, d’ailleurs Milénouche, y paraît qu’il y a une aile super calme dans le coin. Du genre ambiance chambre d’amoureux, conversations entre des soupirs, et partouzes entre riches. On se prend un salon, j’ai bien envie de lancer un autre héritier dans ce mariage. Pas vraiment parce que c’est le mariage, mais comme y’a plein de connards partout autant retourner aux fondamentaux.
- Hors de question, on va encore déclencher une guerre !
- C’est bon y’aura personne je te dis ? Tu préfères la chambre des mariés ?
- Pourquoi pas ?
- Ok mais on commence par l’aile dont je te parle.


Ce que j’aime bien dans les teufs de malade comme celle-là, c’est qu’il y a toujours des endroits déserts pour buter un mec au hasard, pour choper une serveuse ou pour s’envoyer une drogue de dur dans le pif histoire de mettre le feu aux strings et à la piste de danse. Mais ça bande de tarlouzes, ça c’était avant ! Pasque maintenant je suis maqué avec la Reine des ienchs et elle est grave essentielle  , donc comme l’a dit un jour un grand philosophe, pourquoi choper un Peugeot quand tu peux conduire une Mustang ? Bah là c’est pareil. Surtout que j’ai besoin d’exercices pour me réveiller de cette cérémonie de merde, et le fait d’avoir rencontré ma frangine. Toujours aussi bonne, toujours aussi conne. Pas un mot amical, queud. Soit, je l’emmerde après tout. Les lieux qu’on traverse sont pas encore trop remplis, heureusement on est sorti dans les premiers pour laisser Maygold au coin baby-sitting, même si on l’a laissée à une nana pas mal random. Enfin niveau gardiennage de Princesses de Dreamland trop chouquettes, trop mimis, trop krakis quoi. Ma fille, tout simplement.


On arrive dans la zone, un couloir avec des salons de chaque côté. C’est intime, c’est secret, tout le contraire de vos mamans en fait. Je dis à un serveur qu’on prend un salon avec ma femme, et à peine les portes fermées je la prends par les cuisses et je l’installe sur une table histoire de la bouffer comme si c’était uniquement elle mon vin d’honneur. OH les gars, on est classe ou pas ? J’suis un grand romantique, je sais qu’un jour ça me perdra. N’est pas Mayor qui veut, on est toujours prêt pour aller sur les champs de bataille, même s’il s’agit d’un boule de Reine qui se pose parmi les plus stylés de tout Dreamland. Parlant de ça on fait ça comme de vrais mari et femme avec ma Chienne royale, et après quelques échauffements et du tirage de langues dans les règles, je la prends comme à la SPA, le lévrier et la levrette, la spéciale du Chihuahua Sutra bien connue de Canin-ville. J’vous fais pas de dessin, tout le monde a compris, mais on est là, on est dans la place et on donne de la voix et du coup de rein pour fêter le mariage comme il se doit. Si avec ce qu’on se met, ça donne pas un petit frère à Maygold, j’vois pas quoi faire de plus ! Des coups tapés contre le mur retentissent, apparemment nos voisins sont gênés par nos ébats royaux. Je fais une retraite tactique, comme tout général en zone conquise, et je sors à poil et Popol Mayor au garde-à-vous encore, dans le couloir, pour aller toquer à la porte. Oups, le couloir s’est rempli apparemment. Une bonne occasion pour parler d’amour.


- SALUT A TOUS ! JE SUIS DIAVOLO MAYOR ET JE VIENS POUR ENVOYER MON ARMÉE DE MILLIONS DE MINI DIAVOLOS DANS MA FEMME POUR AVOIR UN HÉRITIER ! QUI ME FAIT UN HIGH FIVE ? QUI ? Azy j’suis sur le troisième round, sérieux personne veut me faire un high five ? Ok je vais me faire foutre...enfin ce qu'il en reste. Sinon personne où se trouve la chambre des mariés ? C'est pour un fantasme !
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Jeu 6 Juin - 21:29

« Quels cinglés ces Mayors » et autres « Fallait forcément que des pervers viennent faire ça ici ! Y a des chiottes pour ça pourtant » retentirent dans la bouche des créatures qui virent Diavolo, connu comme le loup blanc dans la communauté des seigneurs et rois de Dreamland. L'enfant débile du pire des seigneurs et de la plus noble et sage des reines, comment ne pas connaître. Ils l'ignorèrent juste et allèrent s'installer dans le salon un peu plus loin. Ils voulaient pas trop d'ennuis ni avoir quoi que ce soit à faire avec ce cinglé ou même n'importe quel membre de sa famille. C'est donc le gros vent qu'il se prit le Diavolo. Une véritable insulte à sa personne royale ? Et que dire de Popol ?! C'est une honte, ça méritait un massacre ! Sauf que... non ! Par ce que même si la sécurité n'est pas vraiment sur-représentée en cet espace, eh bien, ils sont quand même là et bon, l'important pour eux, c'est que tout le mode s'amuse et non pas que certains s'amusent au dépend des autres. Bref, ils vont pas tarder à baisser un peu ton niveau de fun tels de véritables petits Kings Arthur en puissance pour qu'il arrive à un niveau moyen. Trop de fun tue le fun. Et en effet, Diavolo n'eut pas le temps de s'en retourner dans son salon ni même de poursuivre les autres enfoirés qui l'avaient snobés qu'il fut interpellé par une créature qui... avait quelques arguments qui avaient de quoi mettre Popol dans une forme olympique dirait-on. Elle détournait les yeux et ne le regardait pas vraiment avant de lui jeter une sorte de robe de chambre dessus en lui annonçant :


- Veuillez enfiler ceci s'il vous plaît ! Je vous demanderais de faire preuve d'un peu de décence afin de ne pas déranger les autres invités de ce mariage. Ces salons sont privés et vous pouvez en...


Elle fit une moue un peu grimaçante comme si elle savait qu'elle allait dire un truc un peu déplacé mais le dit quand même.


- Vous pouvez en jouir de la façon dont vous le souhaitez mais en quittant votre salon veuillez ne pas incommoder les autres invités et...


La créature finit par la force ses choses par regarder Diavolo qu'elle n'avait pas encore réellement identifié et s'interrompit dans son discours quand ce fit chose faite.


- Diavolo ?!


Chose étrange, elle semblait le connaître. Rien de surprenant. Il est le fils de Prime... Mais vu sa réaction, c'est comme si elle le connaissait de façon très proche, voire intime même. D'où est ce qu'il aurait pu a connaître cette créature ?  Elle a de sacrés arguments qui font qu'elle est pas forcément oubliable. Sans parler du serpent qui était perché sur son cou. Comment l'oublier ? Elle arborit un grand sourir et était même semblait même émue jusqu'aux larmes. Elle ne put se retenir de lui sauter au cou pour l'enlacer, évitant bien comme il faut tout contact avec son machin viril qui pendait un peu trop droit pour que ce soit innocent. Elle s'écarta un peu et passa ses mains sur le visage de Diavolo comme pour le regarder de plus près. Elle faisait un grand sourire.


- C'est fou ! C'est fou ce que tu ressemble à ta mère ! Tu as le même regard. Je ne t'ai pas vu depuis si longtemps. Tu as tellement grandi ! C'est le cas de le dire.


Dit-elle en regardant un peu amusée l'entre jambe de Diavolo. Ça devait faire étrange à Diavolo. Très étrange. En effet, il a toujours énormément été comparé à son père. Il est celui de ses frères et sœurs qui lui ressemble le plus physiquement et mentalement dans son caractère alors que l'ancien seigneur de la guerre était jeune. Mais jamais ou presque on ne l'avait comparé à sa mère ou on ne lui avait dit qu'il lui ressemblait. Mais qui c'est cette greluche là ?! Elle se frappa ensuite le front avant d'annoncer :


- Ah mais que je suis distraite ! Tu ne dois pas du tout me reconnaître. La dernière fois que je t'ai vu, tu étais encore un petit enfant. Je suis Adawia... Ta marraine, j'étais l'apprentie de ta mère.
Eliakim
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Eliakim
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Sam 8 Juin - 23:15

Je crois que j’ai pas mal refroidi l’ambiance des bigots et de peigne-culs qui sont présents dans la zone, alors que je suis toujours chaud comme la baise. Les agents de la sécu me montrent du doigt et je leur fais coucou avec Popol toujours en bon petit soldat, je les attends moi, maintenant que ma femme a été honorée je peux passer à mes gens et au petit peuple. C’est ça être un vrai souverain, c’est être toujours dans la pure générosité, être dans le don désintéressé de soi et...oh putain j’ai failli m’endormir en disant ça, encore un peu et je devenais aussi chiant que Buki ! J’ai tellement honte que j’ai envie de me mettre Popol dans de la nougatine en fusion bordel de merde !

Une créature vient me parler en prenant des pincettes, comme si j’étais un clodo un peu. Wesh connasse, t’sais à qui tu parles ou bien ? Elle me dit d’enfiler, de jouir, etc...mais bordel si tu veux qu’on s’envoye en l’air t’as qu’à demander ! Enfin je vais d’abord demander à ma femme pour savoir si un plan à trois la botte et après on voye, mais moi de base je suis toujours partant, c’est important de faire de nouvelles rencontres, de dire merci à la vie, de chanter la vie, de dire oui à la vie, tout simplement bande de baltringues ! Je zieute un peu mieux la nana et là je remarque qu’elle porte sa féminité comme une vraie catin, oh ouuuuuais ! Des seins à tomber dans le paradis, des hanches parfaites pour naviguer dans les eaux troubles de son cul, un visage digne des meilleures maisons closes que j’ai pu connaître, grâce et beauté conjuguées ensemble, à croire que la beauté à trouver dans ses traits sa plus parfaite définition et...quoi ? J’fais pas du Diavolo ? Meeeeeeeeerde. Bon boarf, elle est méga bonne, quoi, voilà. Z’êtes contents ? Putain, pas moyen de faire un peu de polésie ici ! A croire que je dois forcément être un énorme beauf et un macho qui pense qu’au cul ! Non, ce que j’ai regardé d’abord chez elle, c’est sa beauté intérieure wesh ! Avec mon Popol dans sa beauté bien sûr ! MAIS BIEN SÛR ! Je regarde sa robe de chambre en me marrant alors que la nana m’appelle par mon prénom.


- Ouais, on a déjà cuisiné ta chatte ensemble ou c’est combien ?


Et là, j’sais pas si c’est moi ou si c’est l’alcool de la soirée, mais je reconnais la meuf. Enfin je crois la reconnaître. Méga bonne et un serpent, ça me rappelle ma jeunesse chez ma mère. TG Oedipe, Freud je t’emmerde, tiens ! Rien à voir avec la Mater, j’dis juste que ça me rappelle ça, c’est tout, je  vous vois venir bande de pervs ! La gonze me saute au cou tandis que Popol croit pouvoir repartir pour un quatrième tour de manège, mais cette fois pas avec la régulière ! La nana fait comme si on était pote de longue date, mais en sentant son parfum et surtout en voyant de près son visage plein de larmes d’émotion et tout, je crois que je la remets. Le même regard que ma mère ? Elle doit venir du royaume de la médecine, mais j’sais pas pourquoi j’ai du mal à me souvenir de tout ça. J’veux dire, du royaume de ma mère, la médecine, tout ça quoi. Comme si je faisais un blocage en fait. Et là de la voir, je me sens libéré d’un poids, et lourd d’un tout autre poids. Celui de la différence avec mon frère et ma sœur, j’crois bien.


- Tu veux dire que je suis un sorcier ? Adawia...je t’appelais Ada, ou Adada avant ? Je dois me souvenir de toi, c’est ça ? Écoutez, je sais bien qu’on parle de moi dans tout Dreamland et que je suis une rock star pour pas mal de pucelles de ton genre, mais le coup de la méga bonne fée bien roulée, pour me faire faire encore des photographies compromettantes et me foutre dans la merde, je connais, j’ai déjà donné ! Je sais qu’en tant que Seigneur de la Guerre je suis suivi, donc t’épuise pas, je t’ai cramée. Pas besoin de me faire le coup de la famille, tu veux qu’on tire un coup, tu veux de la thune ou tu veux un poste ? Ou tu veux juste qu’on soit vu ensemble pour ta gloire personnelle. Vas-y balance, comment tu veux m’utiliser ? Parce que jamais personne ne me parle de ma mère, alors j’vois pas comment une random comme toi, même si t’es bien roulée, peut causer d’elle en mode normal ! D’ailleurs j’ai bien envie de te buter sur-le-champ, connasse !


Je la regarde super mal, et dans le doute on va dire que c’est encore une greluche qui espère une promotion canapé. Ouais parce que je bloque, je remets pas le prénom qu’elle m’a dit, même si sa tronche, son sourire et sa douceur me parlent de fou. Mais bon, on m’a tellement niqué sur ce genre de trucs, comme « tiens c’est un pote de ton père » et tu t’aperçois qu’on vient te tabasser ou essayer de te violer avec quatre mecs de la Horde alors que tu as quatre ans. Ou alors « tu veux voir le petit frère qu’on t’a caché ? » et tu passes cinq jours enfermé dans une cave parce qu’on demande une rançon en échange de ta vie. Ou encore la fois où...ah non là c’était moi qui ai buté les gars, mes confuses. Mais voilà, le coup de la marraine je connais, et j’dois dire que j’apprécie pas du tout la manipulation ! Qu’on m’insulte, qu’on me snobe, j’ai l’habitude et j’emmerde les connards. Qu’on tente de me déstabiliser, ça fait partie du job. Mais prendre Maïa, ma brave mère, pour m’atteindre, alors là.


- Tu vas regretter d’avoir sali le nom de ma mère, spèce de salope !


Je la prends par le cou et je commence à l’étrangler, évidemment.
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Ven 14 Juin - 17:16

La créature eut une réaction de recul et un air surpris en découvrant la réaction de Diavolo. Elle tenta vainement de l’interrompre en voyant qu'il interprétait mal ce qu'elle disait. Il semblait croire qu'elle lui mentait. Elle ne parvint pas à l'interrompre par ce que bon... c'est qu'il tient le crachoir le type et elle, s'imposer comme ça, c'est pas forcément son truc non plus.Mais Diavolo n'en resta pas à la parole et passa aux actes. L'évocation du nom de sa mère pour ce qu'il pensait être une arnaque le remontait pas mal. Il s'approcha d'elle, les yeux emplis de rage avant de commencer à serrer son cou de ses mains de guerrier. D'abord surprise, elle resta sans bouger, subissant la strangulation alors que des larmes commençaient à couler de ses yeux qui prenaient peu à peu une teinte légèrement rouge. Elle se débattait à peine mais prononça quelque chose d'impossible à identifier. Était-ce des excuses ? Était-ce des suppliques ? Non, c'était un ordre. La serpent sur son épaule qui était resté jusque là à ne rien faire sortit ses crochets et mordit non pas Diavolo mais bel et bien la main de sa maîtresse. Diavolo pouvait voir que les veines du bras de la jeune femme ressortaient de façon anormale et qu'en un instant, le regard de la créature sembla animé d'une fougue toute nouvelle. Elle saisit d'une de ses mains l'un des doigts de Diavolo qu'elle bisa d'un coup avant de lui envoyer un coup de pied dans les parties, le tout sans lâcher son doigt. Diavolo lâchant son emprise, elle passa dans son dos sans lâcher son doigt, lui tordant le bras et le forçant à se mettre dans une position de soumission.

- Diavolo... TU déshonore le nom de Maïa, reine de la médecine en t'attaque à une personne innocente qui ne te veut que du bien et puis t'arrive même à déshonorer le nom de Prime seigneur de la guerre en sous-estimant ton adversaire. Je suis membre du conseil de l'ordre des médecin, l'exécutrice testamentaire et disciple de Maïa dernière reine de la médecine ! J'ai passé 20 ans en internat dans l'aile psychiatrique et laisse moi te dire que les fous, je sais les gérer ! Ce n'est pas toi qui vas me faire peur Diavolo Mayor !

Elle lui colla juste un gros coup de pied au cul avant de le lâcher histoire de l'humilier un peu tout en le regardant de haut !

- Maïa était la personne la plus exceptionnelle que j'ai rencontré ! Elle était douce et toujours prête à aider les autres ! Tellement qu'elle a même vu l'amour et la souffrance dans le regard de ton père, profondément enfoui sous sa carapace de seigneur de la guerre. Elle a vu ça alors que personne ne l'a vu ! Elle l'a soigné, elle l'a aidé à se protéger de lui-même et c'est comme ça que tu la récompense, toi le fruit de son amour ? Tu déshonore le nom de mon maître ! Et dire que j'ai tout fait pour exécuter les dernières volontés de ta mère ! Je me suis battue et j'ai débattu avec le reste du conseil des nuits durant pour leur faire entendre que comme ta mère le voulait, Tu devais hériter du royaume de la médecine ! Comme ta mère le voulait tu devais quitter l'univers toxique que ta sœur était en train de bâtir pour toi. Je n'ai jamais obtenu gain de cause car ni eux, ni les mayors ne voulaient ça et ont tout fait pour l'empêcher... Quand je vois ce que tu es devenu... Je me dis que j'aurais mieux fait de ne pas perdre mon temps !

Son ton était ferme voire empli de colère. Elle semblait comme cracher chacune de ses paroles à la tronche de Diavolo. Mais plus ça allait, plus elle semblait se calmer et en effet, ses veines qui étaient devenues comme noires semblaient reprendre une forme et une couleur normale. Il faut savoir que son familier peut sécréter toutes les drogues et tous les médicaments qu'elle veut. Elle lui a donc demandé de lui injecter une drogue de combat qui a la tendance à rendre un peu violent et colérique en même temps de développer considérablement la force de la personne. Sa respiration qui était haletante, presque fiévreuse se posa peu à peu. Elle s'approcha alors de Diavolo et fit apparaître bandages et atèles et entreprit de soigner le doigt du jeune roi canin. Elle semblait être revenue à la normale.

- Je... Je suis désolé pour ce que je t'ai dis. Je ne le pensais pas.

M'est avis que si et que la drogue a juste fait en sorte qu'elle n'ai plus d'inhibition et elle a sorti tout ce qu'elle avait sur le cœur. Mais, ça ne semblait pas être dans sa personnalité. Elle commençait à le soigner sous le regard du serpent qui trônait toujours sur son épaule avant de commencer à ajouter quelque chose d'une voix douce en passant sa main sur une cicatrice sur la main de Diavolo.

- Tu crois que je te mens quand je te dis que je suis ta marraine ? En même temps... ta sœur a tout fait pour nous séparer à la mort de ta mère. Elle a tout fait pour que tu n'ai plus de lien avec la médecine. Ça pouvait te donner beaucoup trop de pouvoir. Et ça arrangeait les autres médecins qui ne voulaient pas d'un Mayor comme roi.

Elle eut une petite pause en touchant encore la cicatrice.

- Tu sais comment tu as eu cette cicatrice ? Je suppose que non. Tu étais encore bébé. Un jour, Buki t'a planté une dague dans la main. J'étais encore jeune et inexpérimentée à l'époque. Et ta mère, plutôt que de te soigner, ce qui n'aurait laissé aucune trace... elle m'a laissé faire. Elle a dit qu'elle me faisait confiance pour te protéger. Et qu'elle ne serait pas toujours là pour toi et qu'à ce moment là... ce serait à moi de t'aider et qu'il fallait que je m’entraîne pour ça.

Elle fondit en larme en repensant à ça. C'était pas vraiment une preuve qu'elle disait vrai par ce qu'après tout... Diavolo n'avait pas vécu ça et elle aurait très bien pu tout inventer. Mais sur le coup, si Diavolo était un tant soit peu empathique, il pouvait sentir que la conversation la touchait vraiment et que si elle était menteuse et manipulatrice, alors elle était très douée par ce qu'elle avait l'air sincère. Elle sanglotait en finissant de soigner le doigt de Diavolo.

- Je... Je suis désolé Diavolo, je n'ai pas tenu ma promesse à ta mère, je ne suis pas arrivée à te protéger !
Eliakim
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Ven 14 Juin - 18:30

Woh woh wohhhhhh ça , ça s’appelle une belle déculottée, et je m’y connais ! La meuf se fait piquer par son serpent et c’est moi qui prend ? Ah elle l’a fait exprès pour se booster, j’ai méga-compris c’est bon ! Ouaaaaaaaais bon il est possible que j’aye un peu déconné avec elle mais bon faut dire aussi, j’ai connu masse de relous qui voulaient mon cul tatoué Mayor, alors j’vous dis pas je suis devenu méfiant. On peut dire que la dénommée Adawia me met la misère en terme de rapidité d’exécution, et j’étais pas forcément dans l’esprit combat, donc je me fais défoncer comme un bleu sur un point de départ hyper con. Doigt, bras, couilles prise de soumission, c’est une base pour se faire entendre, et là encore je sais quoi je parle, d’habitude c’est moi qui soumet, hein Milena ? Non j’déconne, elle adore l’andromaque ! Bah voilà, la nana est pas jouasse et me balance son CV après m’avoir défoncé les bijoux de famille qui valent pourtant de l’or. WOOOOH et les petits frères et les petites sœurs de Maygold alors ? On pense à eux ? J’crois pas non ! Mais quelle connasse ! Je fais le malin mais elle me met en PLS tout en me gueulant dessus, et j’suis pas certain qu’en étant nu se soit bon pour mon image cette histoire .


Avec tout ça, la nana me semble sincère. J’veux dire, le portrait qu’elle fait de ma daronne et du paternel, en plus de son implication à elle dans l’histoire, je crois que j’arrive un peu à la remettre en faisant du tri dans ma mémoire. C’est pas que je suis con ou quoi, c’est juste qu’en tant que Prince héritier de Prime Mayor, dès la naissance on m’a présenté un nombre incalculable de connards, des noms à retenir, des histoires, des désirs, des passés, des familles, des anecdotes dont j’me fous pas mal. Ma sœur n’avait aucun problème pour ça, mais moi les gens que tu dois connaître par coeur juste parce qu’ils te sucent ou te filent d’la ressource, j’ai jamais pu. Par contre je connais chaque membre de mon Fight Club, du premier clodo au vrai combattant confirmé dont c’est le métier. Me demandez pas pourquoi, je sais juste que je suis comme ça, et que je ne suis sans doute pas fait pour régner, puisque la nana en parle.


Me voilà au sol comme une merde chiée par un clebs, et la meuf prend quand même le temps de me soigner. Lol. Comment j’peux la tabasser ou me foutre de sa gueule après ce qu’elle vient de dire ? Pas tellement parce qu’elle m’a touché ou parce que j’éprouve de la compassion, mais elle me fait penser à moi quand je parle de mon enfance. Elle vit dans le passé, elle y croit et elle le regrette même un peu. Elle a du respect envers des gens que j’ai connus, elle porte mes géniteurs en grande estime, un peu comme moi, juste. C’est vraiment le seul truc qui fait que j’peux oser lui montrer un visage que je ne montre pas à tout le monde, par prudence, histoire de se protéger. Pasque vous le savez peut-être pas, mais la naissance royale c’est encore pire qu’une MST aux yeux des autres. Et des miens aussi ouais...Tout le monde veut te niquer et te dépuceler, alors que tu sais déjà depuis que tu es bébé que le monde entier cherchera toujours à te tuer. C’est comme ça, c’est ça, l’héritage des Mayors, et le moindre petit connard qui se marre de mon attitude ne comprend juste que dalle à ce que peut être ma vie. C’est pas que je me plains, ce sont les autres qui veulent me sucer ou me buter parce que je m’appelle Mayor que je plains. Ces gens qui n’ont aucun but dans la vie, si ce n’est me rappeler que je suis un Mayor, pas tous les moyens.


- Si, vous le pensiez. Vous étiez sincère. Vous êtes juste redevenue trop gentille pour parler avec un Mayor, c’est tout.


Elle est pas mal marrante cette nana en fait. Je me mets en tailleur tandis qu’elle me soigne, et je l’observe plus attentivement. Non, je ne la mate pas, elle a des seins magnifiques et des hanches à vouloir renverser le monde pour les prendre sauvagement, mais je ne la mate pas, j’sais pas pourquoi. Peut-être parce que ma femme pleine de mon foutre est dans un salon privé juste à côté, sans doute oui. Elle touche une de mes nombreuses cicatrices, une dont je n’ai aucun souvenir d’ailleurs, je viens de m’en rendre compte. Je ne compte plus depuis que je suis gamin, Sento me laissait pour mort parce que ça l’énervait que je sache compter, il croyait que je faisais de la sorcellerie et quand j’essayais de lui dire que je pouvais lui apprendre à le faire, ça le vexait encore plus et il me fouettait jusqu’à ce que je tombe dans la plus totale inconscience pour quelques jours. Ouais, c’est ça, le nom des Mayors, bande de merdes. Donc la cicatrice qu’elle touche, c’est elle qui l’a soignée ? Bah dis donc, elle devait sacrément avoir la confiance de la Mater celle-là...Adawia, c’est ça ? Pourquoi ça ne me dit rien putain ? J’arrive vraiment pas à la remettre. Peut-être qu’elle a raison, peut-être que Buki m’a enfoncé dans un rôle et a comprimé mes souvenirs pour que j’omette volontairement la médecine de ma vie...en tout cas faut avouer que ça lui ressemble bien.


Adawia donc, elle se met à chialer en parlant de la Mater. Bah dis donc, elle vit vraiment dans le passé tiens, ça me fait marrer, on dirait moi à l’adolescence, quand j’arrêtais pas de chialer pendant mes semaines d’entraînement à la dure. Ma mère devait quand même être une sacrée nana pour déchaîner autant les émotions comme ça, j’suis pas sûr que des gens pleurent après ma mort avec autant d’intensité, et en même temps, ça ressemble beaucoup à ma mère, oui, ça ne m’étonne pas. Bon, j’pense pas qu’elle soit une menteuse ou une arnaqueuse, ou alors elle est très douée. Mais elle a ce regard des gens qui ont aimé ma mère, cette douceur dans la façon d’amener le truc ...ouais ça me convainc pas mal, enfin disons que j’ai plutôt envie d’être convaincu, je crois. Envie de savoir que ma mère m’a légué un truc, même une robe ou un collier, quelque chose qui pourrait faire que je sois enfin digne d’elle, j’sais pas trop.


- Me protéger ? J’ai survécu aux bastonnades et aux fausses mises à mort de Sento, j’ai évité les assassinats de ma conne de sœur, j’ai tenu des batailles dantesques et j’ai parcouru des armées éventrées. J’ai chassé avec la Horde et j’ai pillé, violé, tué une partie de Dreamland pour montrer aux pillards que j’étais pas une couille molle et que je valais autant de respect que l’un d’entre eux. Ma mère m’a protégé, comme tu as dû le faire, parce que sans elle, ni sans vos bénédictions, je serais devenu réellement fou. J’ai toujours su ce que je faisais, j’ai toujours su que ce n’était pas tout à fait mon monde mais...les médecins ne perdent jamais espoir quand il s’agit d’une guérison, ou d’une rémission. J’ai toujours espéré ça. L’espoir a été insufflé par ma mère et ceux et celles qui se sont occupés de moi enfant. On n’oublie pas les premières douceurs, et les premiers contacts humains, c’est tout.


Je la fixe dans les yeux. Certains n’ont pas l’habitude, mais avec Buki on aimait bien causer à la manière des grands rois de Dreamland. Petits on refaisait les grands discours ou les avant-batailles, pour s’impressionner, pour faire plus vrai que nature, et je dois dire que si ma frangine était incroyable, j’étais pas si mal non plus. Jusqu’à ce que je grandisse et qu’elle ne voye mon potentiel en tant que chef de guerre, bien sûr. Ouais j’sais pas comment dire, mais n’oubliez pas que je suis le fils de Prime Mayor tas d’cons, je sais utiliser les mots comme des armes, et je sais m’imposer autant que n’importe quel merdeux avec une couronne dans le monde des rêves.


- Par contre, je sais aussi que je me détruis sans arrêt, je fais du mal aux autres et mon instabilité chronique n’est supportée que par ma femme, à peine par ma fille. Je suis un sacré salopard, un enfoiré de grande envergure, ou, comme dirait la frangine, un mauvais présage qui sent la révolution imminente. Alors, t’as l’air sympa et j’ai été con, mais je dois décliner ton héritage. J’en veux plus, des héritages. C’est pas pour moi. Je détruis ou je salis tout ce que je touche, et ça changera pas. Ton royaume doit bien se porter, avec toi pour essayer de lui chercher un seigneur, mais j’suis pas le bon candidat pour le poste. La lignée ne fait pas tout, et ce qu’on m’a brisé, on l’a fait pour éviter justement que j’accepte ce que tu viens me proposer. Tout est baisé depuis le début, meuf, pasque Buki a dix coups d’avance sur tout le monde. Désolé.


Je regarde Adawia avec sincérité, un peu désolé, l’air morne et résolu. J’ai accepté mon sort de Prince depuis pas mal de temps. Buki m’a placardé en me mariant, je l’ai accepté, surtout que Miléna est un bon coup au pieu. Mais je connais mes limites, et je sais aussi que je peux détruire ce qui est beau dans un temps record. Un trône, c’est pas pour Diavolo.
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Mer 19 Juin - 0:41

La marraine la bonne fée de Diavolo, ou la fée essentielle devrais-je dire écoutait les réponses de Diavolo alors qu'elle séchait ses larmes. Elle semblait avoir l'émotion facile. A se demander comment elle fait pour être médecin, étant donné que ces derniers sont plutôt du genre cyniques à se blinder pour ne pas subir de plein fouet la cruauté de leur travail. Eh bien c’est justement pour ça que Maïa l'avait prise pour apprentie. Elle n'était pas du tout la plus douée des jeunes médecins du royaume mais elle était sans nul doute la plus empathique, la plus conciliante et la plus douce que le royaume ai jamais vu naître. Elle préférait voir quelqu'un qui pleurait à chaque mort qu'il n'avait pas pu sauver que quelqu'un se réfugiant dans un cynisme moribond ou dans des drogues. D'ailleurs, il faut dire qu'elle était assez douée pour les soins étant donné que Diavolo semblait déjà ne plus du tout sentir son doigt. Juste avec quelques manipulations, elle lui avait remis son doigt déplacé en place, le tout sans la moindre douleur et avait bandé le tout pour être certain que ça ne bouge pas trop pour ne pas réveiller la lésion crée un peu plus tôt. Après, il y a aussi que Diavolo a une capacité de régénération assez surprenante, certainement dû à ses origines. Peut-être que ses capacités de soins potentiellement héritées de sa mère avaient été refoulées au point de lui apporté une capacité de régénération hors du commun ? Adawia se calma bien vite en séchant ses larmes à peu près aussi vite que ces dernières n'étaient venues. Les traits de son visage se raffermirent et elle commença à arborer un air plutôt déterminé.


- Non !


Elle regarda Driavolo dans les yeux alors qu'elle lui lança ce non négatif de toute sa force de conviction. Et cette fois, ce n'était pas la drogue qui parlait. C'était bien elle.


- Comme tu viens de le dire, un médecin ne perd jamais espoir en la guérison d'un patient. Tant que tu ne seras pas mort, je n'arrêterai pas de croire en toi ! Je sais ce que Buki t'a fait, je sais quelle éducation elle t'a donné, je suis le Dream-mag. Je n'ai pas pu être là pour toi mais j'ai toujours continué de m'intéresser à toi. Tu es mon filleule ! Tu es mon roi légitime et tu ne me pousseras jamais à penser le contraire. Tu sais ce qui différencie un bon d'un mauvais médecin ? Un mauvais médecin est un médecin qui ne se remet jamais en question, qui est persuadé d'être le meilleur ! Un médecin qui est persuadé qu'il peut tout guérir. Et justement ! Toi tu es persuadé que tu ne vaut rien, que tu n'es capable de n'apporter que le mal et la douleur ! C'est ce qui me pousse à croire que tu as tout ce qu'il faut pour soigner les autres. Je sais que l'essence de ta mère coule en toi, enfouie sous une épaisse couche d'éducation à la Mayor mais je sais qu'elle est là, elle n'attend qu'à se réveiller ! Ça fait partie de toi Diavolo, tout autant que tu es un Mayor et c'est pour ça que tu soufre autant Diavolo, c'est par ce que la façon dont tu agis ce n'est pas toi... pas complètement ! Et même ton père, quand il était jeune et agissait comme ça, il n'était pas heureux. Il me l'a dit lui-même. Il se noyait dans l'euphorie grisante des guerres et des batailles, un sentiment de puissance pour se sentir vivant et oublier qu'il avait tué ses propres frères. Tu pense que sa dernière volonté a été qu'il n'y ai pas de guerre de succession pour rien ? Ton propre père n'a jamais aimé ce qu'il était. Ce n’est pas en reproduisant son schémas que tu te trouveras, que tu trouveras ton bonheur ! Tu dois chercher au fond de toi et trouver la synthèse des deux mondes si tu veux être toi pleinement Diavolo. Mais ce n'est pas en te fermant à une part de toi que tu t'accomplira en tant que personne.


Elle le regardait dans les yeux en lui serrant la main avant de lui faire un énorme calin. Haaaaaan c'est donc ça d'avoir une marraine. C'est si doux ! Et je parle de ses énormes seins qui se pressent contre le torse de Diavolo. Elle, elle doit avoir un élevage d’œuf c’est certain !


- Je te le dis Diavolo ! Je crois en toi ! Autorise-toi à croire en toi. Je peux t'aider dans ce chemin mais si tu ne t'aide pas toi-même... je ne peux rien faire pour toi. Je ne peux aider un patient qui refuse les traitements.
- DIAVOLO !


Ouch ! Je crois que mémère s'est réveillée ! Et je crois bien que ça va barder pour ton cul !


- C'est qui cette pouffiasse ?!


Ça va vraiment barder pour ton cul !
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Mer 19 Juin - 12:36

La nana n’accepte pas mon choix, pour une marraine on repassera pasque la base de l’éducation, c’est d’accepter les décisions de son enfant ! Regardez je ne maîtrise absolument pas les réactions de Maygold, et donc ça les rend forcément plus libre , c’est ça être un bon père, c’est ça, forcément ! Elle fait ce qu’elle veut, elle a son libre arbitre et quand elle me vomit dessus je ne vais pas à son encontre, bah ouais c’est la base cousine ! Par contre quand elle parle de Buki, de ce qu’on m’a fait pour entrer ou ne pas renter dans le moule formaté par ma sœur, je sens quand même que je suis en train de passer à côté d’une chance qui ne se représentera pas...ou peut-être que si parce qu’en fait je sens quand même quand même qu’elle ne lâchera jamais l’affaire, en fait. Donc je commence à hésiter. C’est peut-être une mauvaise blague, mais dans le doute, pourquoi ne pas la suivre histoire de voir si elle dit vrai, juste pour voir ? Elle parle de mes deux parents et de moi comme si elle nous comprenait, ça me saoule un peu mais je dois reconnaître qu’elle a parfois raison dans toute la merde qu’elle peut balancer. Le fait que le daron soit dans le mal, un peu comme moi, l’idée que je peux changer...j’sais pas y’a quelque chose de motivant dans son discours, qui mérite au moins que je m’y attarde encore un peu. Lui donner une chance, quoi !


Adawia me dit au revoir et j’arrive la tête la première entre ses deux énormes boobs. Je dois dire que si je suis roi un jour, je demanderai à ce que ce soit la façon dont on se salue ! Non pasque là je teste et je suis plutôt convaincu par l’aspect convivial, essentiel et doublement essentiel de l’importance d’un au revoir. C’est là que j’entends ma femme qui bien sûr déboule à ce moment, dans un timing de manga romantique où le héros crée des quiproquos qui font qu’il ne chope sa meuf qu’au dernier tome. Ça m’a tellement fait rager putain, j’ai déjà cramé deux bibliothèques à force d’être frustré par ces bouquins de merde. Donc je sens que ma petite femme est pas mal en train de sortir les griffes, de montrer les crocs et de partir en duel de chiennes. Pas que ça m’excite pas de ouf mais j’me dis que c’est pas forcément le moment quoi.


- Miléna, tiens, évidemment ! T’as bien fait attention à conserver ma précieuse semence royale entre tes non moins fameuses jambes royales ? Paaaaarfait. Euh pour les présentations...Adawia, elle dit que c’est ma marraine, une bonne fée du royaume de ma mère, enfin j’ai pas tout compris mais elle dit que je dois récupérer le Royaume de la Médecine. C’est-y pas une bonne nouvelle ça ? On a encore un nouveau royaume car je compte faire de toi ma Reine bien sûr ! Et donc Adawia, voici Miléna Cheyenne, ma femme. Elle a du chien, enfin du caractère quoi...ah ah...malaise…


Je me dégage de la paire de seins magique, je sens déjà que tout est dépeuplé une fois que ma tête quitte son magnifique décolleté mais bon, c’est vrai que j’ai ma femme qu’est pas mal roulée aussi dans le genre, qu’est un super bon coup aussi, mais bon c’est ma femme hein, voilà. Comme on dit, on aime la femme des autres uniquement parce que c’est la femme des autres. Bah là c’est pareil mais en inversé, c’est moi le mari et bon...j’essaie de mettre Adawia un peu ailleurs en la saluant et je me tourne vers Miléna, cette fois je suis sérieux, elle peut le voir. J’ai jamais été aussi sérieux, sauf quand j’ai donné les noms complets de Maygold.


- Je sais ce que tu vas dire, Miléna, mais je crois que ce serait une bonne chose que d’aller prendre ce royaume...je ne sais pas si tu m’as entendu, mais je sais qu’à un moment, je risque de péter notre mariage, et ma relation avec Maygold. Les Mayors détruisent tout , on est comme ça. Sauf qu’elle me propose de me relier à ma mère ! Ma mère a réussi à soigner mon père ! Elle avait réussi, et si j’arrive à me guérir de cet esprit de destruction, je pourrai assurer en tant que mari, en tant que père, et en tant que Roi…


Pour une des premières fois je crois qu’elle peut me voir vraiment sérieux et impliqué dans notre histoire commune, forcée par ma sœur. Je ne sais pas comment prendre sa jalousie, si même elle en ressent réellement, mais en tout cas, là j’étais sincère, envers elle, envers Maygold, envers moi. C’est la première fois que je pense à autant de monde, même que je pense à mon bien-être personnel en fait. Elle doit le sentir, c’est pas possible autrement. Une lueur d’espoir sur un champ de bataille dévasté qu’est mon corps et qui est mon esprit, elle doit forcément le sentir. Auquel cas je devrais faire ça de nouveau seul, comme j’ai toujours vécu.


- Miléna, tu imagines si on arrive à avoir une vraie famille un peu stable ? J’en ai jamais eu moi ! Je sais pas à quoi ça ressemble, ni même si...j’en ai le droit ! Mais cette nana, Adawia, comme elle était pote avec ma mère, elle souhaite que j’évolue, et moi je pense que je ne peux évoluer qu’avec toi et Maygold ! Tu m’as donné ta confiance et ta teucha pour créer une merveille, je peux pas m’arrêter comme ça ! J’ai besoin de ton soutien pour me soigner et pour revenir comme un vrai daron ! Et comme un Roi digne de toi, capable de tenir son rang...c’est pas ce que tu souhaites ?


Je la regarde comme le Roi des Chats face à un objet qui brille.
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Ven 12 Juil - 20:35

Milena attendait là, bras croisés, mettant en valeur sa voluptueuse poitrine dont la robe de chambre qu'elle avait trouvé laissait entrevoir le décolleté plongeant. Elle avait l'air pas joice à l'idée de voir son mari fricoter avec n'importe quelle gueuse. Pourquoi les Mayors sont-ils tous de tels coureurs ?! Elle vient pourtant de lui offrir son corps quoi ! Mais le type ne se démontait pas. Il annonçait que la greluche portant une tenue beaucoup trop affriolante pour être vraiment un membre de la sécurité, n'était autre que sa marraine. Elle le regarda un peu surprise en affichant une moue disant assez vaguement « tu t'fous de moi là j'espère ?! » mais ce con-là avait l'air complètement sérieux. Elle se demanda alors si elle devait le frapper maintenant ou non. Et en fait, il semblait sérieux et n'agissait pas tellement comme le Diavolo complètement troll qu'elle pouvait avoir l'habitude de voir et qui pouvait avoir, quand il le voulait, son petit charme sur elle. Mais bon... c'est pas pour autant qu'elle doit se laisser dominer. C'est une chienne mais pas une pute !

- Tes p'tits Mayors n'auront qu'à faire de la varappe ! Ça leur fera du sport ! Eh puis oh ! Je refais pas une portée maintenant hein ! J'ai besoin de souffler. C'est toi qui a allaité Maygold peut-être ? Nan je crois pas ! Bon... C'est vrai ce qu'il dit ? Vous êtes vraiment sa marraine ?!

La créature en face d'elle acquiesça. Milena ne semblait pas très convaincue sur le coup. Elle murmura alors à l'oreille de son p'tit mari d'amour.

- T'es certain que c'est pas encore un plan foireux de ta conne de sœur ? Ça pue le piège à plein nez tout ça ! Tu sais très bien comment elle est ! Elle nous a fait marier juste pour avoir une emprise indirecte sur moi et te canaliser. Elle est bien capable d'inventer tout ça !

Mais Diavolo insista. Il commença à lui expliquer qu'il croyait en cette créature. Il y avait dans ses propos et sa façon de parler quelque chose d'exalté, de plein d'espoir qui ne ressemblait pas du tout au Diavolo qu'elle connaît. Cela surprit particulièrement la reine canine sur le coup. Quand il parlait, il semblait à la fois sincère fragile, dévoilant sa sensibilité tout en se montrant ferme et déterminé. Il semblait persuadé que c'était pour lui la meilleure chose possible. Tenter enfin de se rapprocher du royaume de sa mère qu'on a toujours tenté d'éloigner de lui. Milena s'approcha de Diavolo et posa sa main sur le torse de son mari et lui parla d'un ton presque légèrement inquiète.

- Tu es certain que c'est ce que tu veux ? Je sais que notre mariage n'est pas d'amour de base mais... je tiens à notre union comme je tiens à toi et notre fille. J'ai appris à t'aimer dans toute ta folie et tes côté destructeurs.  Je ne voudrais pas te changer. Mais si c’est ce que tu pense être le mieux pour nous, le mieux pour toi et pour notre fille... Je te suivrai mon loup. 

Elle plongea son regard dans ses yeux puis l'embrassa tendrement... Avant de le saisir par les couilles et de lui dire qu'il a plus intérêt à aller batifoler à droite et à gauche après une partie de jambes en l'air entre eux par ce que quand même... c'est un peu vexant/ et puis les excuses genre « je voulais te chercher un rafraîchissement quand je suis tombé sur la duchesse De Mesfesses qui avait le cul penché et je suis tombé dessus la bite la première » ça marchait pas. Cela cassa immédiatement le « aoooooooonh » de cutness qu'avait relâché Adawia en voyant la scène. C'était un couple assez... comment dire ? Particulier mais il semblait fonctionner dans toute son imperfection. Milenna finit par enlacer son homme tendrement. 

- Que veux-tu faire... Là... maintenant ? Je ne serais pas contre un petit verre. 

C'est alors qu'un duo de gars de la sécurité amena à Adawia un voyageur inconscient. Diavolo put reconnaître en lui, ou pas, l'un de ses ducmont, celui qu'il avait rencontré à babyland.  Il était sur une civière, le nez en sang. Adawia commença alors à l'osculter.

- Il lui est arrivé quoi ?
- Il a commencé à utiliser des mots trop compliqués pour Sento Mayor. Il lui a mis un coup de tête et voilà le résultat.
- Hmmm je vois...

Adawia fit apparaître une sorte de pommade qu'elle tartina sur le front d'Edgar et entreprit fit quelques manipulations et massages du crâne du voyageur qui finit par se réveiller au côté de la créature  qui, plus tôt, avait aidé zéphyr contre Varniak et du frère de Sento, Diavolo Mayor, ainsi que sa femme, la reine du royaume canin.
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Ven 12 Juil - 23:45

Azyyyyyyyyy làààààààà, tu vois bien que je me livre comme un ouf, je donne dans la sincérité et tout, je fais le gars honnête qu’a le coeur sur la main et la main sur la teub ! Non mais sérieusement, esse qu’ya un connard dans Dreamland qui m’a déjà vu comme ça ? J’crois pas non, fermez vos mouilles bande d’enflures ! J’dois dire que j’ai eu un moment de rêveries quand elle a parlé d’allaiter Maygold, le sang de mon sang, le fruit de mes entrailles, la fleur de mes couilles quoi, déjà parce que les seins de ma femme sont complètement essentiels, et ça c’est beau, il faut le dire, c’est beau des beaux seins ! Wesh arrêtez de mater ! Et puis de voir Maygold se nourrir de sa maman, ça m’a toujours mis la larme à l’oeil, et à Popol aussi pasque que boobs, et pis c’est tout ! Ma femme comprend aussi l’entourloupe, mais au pire ça fera qu’un coup de pute de plus de ma pute de sœur de pute de pute de pute et...merde j’ai encore buggé. Ouais bah ma frangine est une grande connasse d’envergure, ça fera juste qu’un montage foireux pour se foutre de ma gueule, j’ai l’habitude ça va je gère ! Moi au moins j’ai des amis ! Allez prends ça Buki, va jouer avec tes poupées qui ont toutes des biographiques de quat’ mille pages !


Bon là, les gars, vous envoyez les projos sur ma gonze et sur bibiche, pasque je vais avoir une classe internationale, une réplique juste trop pure, vous êtes pas prêts promis ! Je lui prends la main, les yeux fiers mais louchants un peu quand même sur son décolleté. Wesh non j’déconne, je regarde un peu en l’air, un peu dans le vague, je plisse les yeux d’un air concerné, et je lui dis comme ça, comme un beau gosse, tout simplement :


- C’est moi, et moi seul, qui désire me changer. Ce n’est pas pour toi, même si tu comptes. Ce n’est même pas pour Maygold. Si je ne commence pas par me changer moi-même, alors le faire pour vous n’a aucun sens. Je suis Diavolo Mayor, mon corps est une arme, mon esprit est une armée. AYA !


J’aime autant vous dire qu’après ça t’emballe grave ! Comme t’as l’air de savoir lire tu sais qu’on a déjà fait crac-crac mais un petit palot pour la route, ça fait toujours plaiz. Milena propose un petit verre et je dois avouer qu’entre le coït royal et la rencontre de mon destin via la marraine, j’ai bien envie de me détendre un peu. Je la prends par la taille et je promets à Adawia que je vais ramener mon gland de vainqueur dans son royaume immédiatement après le mariage. Là, des mecs posent un colis, un voyageur plutôt baraqué que je crois reconnaître, pis en fait non. Toujours accroché à la taille de ma femme, direction le bar pour aller prendre un verre de champ’  en amoureux. Je zieute le blessé qui se fait soigner par Adawia et j’esquisse un sourire.


- Tiens, ça me rappelle que mon frangin pense qu’il doit forcément y avoir un mort durant les mariages. C’est moi qui lui faisais croire ça quand on était jeune, ça animait toujours les repas, surtout quand Sento disait que c’était la tradition !
- Et ça te fait rire, Diav ?
- Bah ouais. Vu le nombre de fois où j’ai fini laissé pour mort et entre la vie et la mort à cause de lui, fallait bien que je trouve de petites vengeances. Parfois je lui envoyais des gus le défier en duels, mais à l’écrit. Le pauvre il était en PLS en cherchant ce qu’il appelait un traducteur, mais en fait juste quelqu’un sachant lire ah ah ah quel con !

- Famille de barges...
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Lun 29 Juil - 8:11

Edgar avait merdé. La force de proposition dont il avait fait preuve lui avait été renvoyé à la gueule par Sento Mayor. Tout d’abord, des taches de couleur avaient envahi sa vision avant d’être remplacées par la nuit la plus noire. Il s’était réveillé un peu plus tard, sur une civière, le nez pissant le sang. Son intervention avait fait pleurer la mariée. Il se sentait merdeux.

Force était de reconnaître qu’il n’avait pas juste pensé au bien être des mariés ou même des autres invités en proposant ses idées. Premièrement, il avait été arrogant et avait cru, du haut de sa vingtaine d’années, être capable de résoudre des conflits géopolitiques en proposant des jeux. Deuxièmement, il n’avait pas pris le temps nécessaire d’analyser les conséquences que ses actes pouvaient avoir. Il avait mal et ce n’était pas à cause de son visage fracturé. Sa seule consolation était d’avoir protégé la mariée à son corps défendant durant les événements de la chapelle. Mais il avait fini par la faire pleurer et cela avait diminué la grandeur de son acte.

La séance d’introspection d’Edgar avait duré quelques minutes. Il finit par jeter un coup d’œil autour de lui. S’il se fiait à ses souvenirs de la séance de debriefing, il devait se trouver dans la zone du mariage destinée aux salons privés, vu que c’était là que se trouvait le service de soin destiné à la sécurité. Ce qu’il voyait autour de lui confirmait son impression, il se trouvait dans une sorte d’alcôve à la lumière tamisée. Non loin de lui, il y avait la créature qui avait soigné Zéphyr lors de leur combat contre Varniak. Et personne d’autre car Diavolo et sa femme étaient partis en direction du bar pendant qu’Edgar émergeait.

— Bonjour, je vous remercie de m’avoir soigné. J’espère que je suis le premier membre de la sécurité que vous soignez.

Edgar fit une pause et rougit. Il valait mieux qu’il ne regarde pas trop en direction de la créature, elle était très… Disons que ses « vêtements » la mettaient très en valeur.

— Je me souviens de vous, vous nous avez aidé lors du combat contre King Arthur puis durant l’arrivée de Varniak. Merci également d’avoir soigné les blessures de mon camarade. Y a-t-il quelque chose que je peux faire pour vous témoigner ma gratitude ? Je vous avoue que j’ai dit de belles conneries et que me retrouver dans cet état en est la conséquence. Cela me ferait donc plaisir de rendre service à quelqu’un, histoire de faire amende honorable.

[HDJ: Je te rejoindrais un peu plus tard, Diav', j'vais d'abord laisser à mon perso finir de tirer des leçons de sa connerie Smile]
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Lun 12 Aoû - 20:13

Grâce aux soins prodigués par Adawia Edgar fut assez vite remis sur pieds. Bon, il faut dire que dans le fond ce n'était pas trop sévère. C'était même assez superficiel. Assez costaud pour sonner une personne normale d'un coup mais pas assez pour que, une fois traité par Adawia, Edgar ne soit plus apte à se battre. Il aura juste à se traîner une bandage autour de la tête jusqu'à la fin de la nuit. Une fois en état, Edgar commença à remercier la créature pour ce qu'elle venait de faire et pour ce qu'elle avait fait plus tôt. Elle lui dit que ça ne servait à rien de la remercier, que c'était pour ça qu'elle s'était engagée dans la sécurité. Elle lui avoua même qu'elle aurait pu faire parti des invités mais qu'elle avait préféré intégrer le staff pour se sentir plus utile et pouvoir éviter à certaines personnes de perdre la vie bêtement, sachant à quel point les seigneurs peuvent être cruels et désintéressés de la vie d'autrui quand il le souhaitent. Elle lui dit aussi que sa vésaventure était assez naturelle étant donné qu'essayer de raisonner avec Sento mène rarement à quelque chose de bon. La seule personne qu'il écoute à peu près c'est Buki sa sœur. Elle fut plus surprise quand le voyageur sembla se soucier plus des autres que de lui-même en demandant s'il était le seul à qui elle avait eut à prodiguer des soins.

- Hmmm depuis la cérémonie... oui tu es le premier que j'ai eut à soigner. Je te remercie pour le soucis que tu te fait pour les autres. C'est une qualité rare chez vous autres les voyageurs. C'est une excellente chose qu'il y ait plus de personnes comme toi.

Elle lui adressa un sourire plein d'une bonté immense. Comme si sa gentillesse n'était qu'une médecine de plus. Elle fut également un peu surprise quand il lui demanda s'il pouvait l'aider d'une quelconque manière pour la remercier de ce qu'elle venait de faire à l'instant pour lui et plus tôt dans la nuit pour Zephyr en l'aidant à combatte le King Arthur.

- Tu n'as pas à faire quoi que ce soit. C'est mon devoir de protéger et de soigner. J'en ai fais le serment. Et puis, c'est ce que j'aime faire. Mais si tu insiste... J'aimerais que tu reste ici pour surveiller un peu l'attitude des invités qui vienne se détendre ici et les guider un peu. La position est un peu excentrée et si je dois soigner qui que ce soit, je pourrais agir plus rapidement depuis une position plus centrale.

La créature n'insista pas tellement que ça étant donné que le Voyageur était très volontaire pour aider. Et puis... qui sait peut-être qu'il souhaitait en plus rester dans un espace un peu plus calme suite à sa petite mésaventure. Il était donc à présent seul pour surveiller la zone après que Adawia lui eut donné quelques instructions genre lui donner les noms des personnes présentes dans les différents salons privés. Il put voir débarquer Deskjauke, un roi qu'il connaissait qui gueula alors qu'il nettoyait l'une des alcôves, celle occupée un peu plus tôt par Diavolo. Il râla après les malotrus qui avaient pu ainsi saloper les lieux. Mais ce n'est pas du tout l'élément le plus intéressant qui est à noter. Ooooh que non ! En effet, parmi les créatures qu'avait cité Adawia se trouvant dans les alcoves, il en connaissait une car il avait pu la rencontrer. La rencontre fut assez brève mais aussi assez marquante. En effet, c'était une créature qu'il avait rencontré lors de la nuit qu'il avait passé à Kazinopolis à chercher l'un des fragments de la sphère contre la famille. Et plus intéressant encore, il savait depuis cette nuit que cette créature fait partie de la famille. Il s'agissait de Bayclow dit l'ogre, l'un des généraux de la Horde, l'un des royaumes les plus dangereux de Dreamland. Et apparemment, il était dans le même salon privé qu'un certain « collectionneur » et que d'autres créatures qu'il ne connaissait pas du tout, notamment un certain Noda Wai. Cela attirerait peut-être l'attention de Edgar qui serait tenté d'aller écouter aux portes pour savoir ce qui se disait ? Mais ! Ça se fait pas enfin ! Me dites pas qu'il oserait faire ça ! Ce serait très mal m'enfin et pas très professionnel non plus !  Y a des coups d'boule qui se perdent s'il fait ça !
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Lun 16 Sep - 23:36

— Merci de me donner l’occasion de t’aider. Si c’est ton devoir de soigner, c’est le mien de veiller à ce qu’il n’y ait pas de problèmes et je suis vraiment heureux d’en avoir de nouveau l’occasion.

Il écouta ensuite la jeune femme alors qu’elle lui indiquait qui était présent dans les différents salons privés. Il y avait des salons privés qu’il n’était pas nécessaire de surveiller car leurs occupants étaient juste occupés à BAYSAY. Cela mit le rouge aux joues du jeune puceau et il espéra que la créature onirique ne s’en rendit pas compte.

Cependant, il y avait des créatures qu’il fallait surveiller et qui profitaient de l’intimité des lieux pour des raisons aussi obscures que leur couleur de peau. L’une d’elles était Bayclow l’ogre, l’un des généraux de la Horde.

Alors qu’il prenait congé de sa bienfaitrice et s’aventurait dans le couloir, Edgar pesait le pour et le contre. Son rôle était clairement de veiller à la tranquillité de ses invités, il avait donc le droit de s’approcher des portes et d’y écouter légèrement afin d’être certain de ne pas entendre autre chose que des éclats de voix ou des ébats amoureux. S’il entendait le fracas des armes, par exemple, il se devrait d’intervenir. Mais il n’avait, en aucun cas, le droit d’écouter une porte des conversations entre différentes créatures, aussi suspicieuses soient-elles.

Il jeta un coup d’œil à la porte de l’alcôve, et au couloir totalement vide. Maintenant que Deskjauke avait disparu, il était seul, il n’y avait personne pour le juger. Il pouvait tout simplement s’approcher de la porte et tendre l’oreille afin de vérifier s’il n’y avait pas le bruit d’un combat. Pas pour espionner ou écouter une conversation, non, juste pour s’assurer que l’ogre ne faisait pas des siennes.

Oui, voilà, Edgar allait vérifier que tout se passait bien dans l’alcôve. Il allait faire ça pour toutes les alcôves, d’ailleurs, même celles qui hébergeaient des orgies. Mais il commençait par celle-ci parce que… Bah parce qu’il fallait bien commencer par une alcôve, non ?

Il s’approcha à pas de loup de la fameuse alcôve occupée par Bayclow et approcha son oreille de la porte.

* Juste quelques secondes, pour être sûr que tout va bien. Pas plus. *

Il approcha son oreille, resta quelques secondes contre le bois, n’entendit rien de spécial puis s’en éloigna.

* Après, on parle quand même d’un général de la Horde. Une rixe peut éclater à tout moment, je devrais peut-être « surveiller » davantage… *

Edgar colla de nouveau son oreille contre la porte, utilisant ses sens animaux pour percevoir les sons qui se trouvaient à l’intérieur de la pièce. S’il tombait par méprise sur une discussion liée à la Famille ou à tout autre sujet brûlant et dangereux pour Dreamland, il aurait beaucoup de mal à décoller son oreille…

L"intimité d'un salon privé ? Si les murs n'ont pas d'oreilles, les portes n'en sont pas dépourvues...
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Ven 27 Sep - 15:23

Quel petit homme malhonnête tu fais. Tes parents profs de fac malgré leurs origines auraient honte de toi s'ils te voyaient. Shame on you ! *sonne une cloche* SHAME !! SHAAAAAAAAME !!

Hum  je me suis un peu emporté. Où en étais-je déjà ? Ah oui ! Edgar qui écoute aux portes comme un sale petit malotru. Il attrapa une conversation en plein milieu. Le contexte, il ne le saisissait pas étant donné qu'il ne comprenait la conversation qu'en son cours. Il n'avait pas forcément des voix associées à des visages ou des noms tant que les personnes ne s’apostrophaient pas. Mais il parvint tout de même à saisir une bonne bride de conversation.

- … d'elle ! Il est hors de question que je travaille avec cette voyageuse !
- Tu ne vas pas avoir le choix. Golde ne veut plus travailler avec elle non plus. Et ton tonton verra ça comme un cadeau. Elle est prometteuse.
- C'est surtout un énorme nid à emmerde !
- Je ne peux pas dire le contraire de ce que j'ai entendu dire. Personnellement je n'en voudrais pas.
- Pffeuh ! Parlons d'autre chose ! Ça me déprime tout ça !
- Oui parlons plutôt de ton chef mon chère Bayclow !  Il parait qu'il s'est trouvé un nouveau daron... Quand serons-nous présentés ?
- L'affaire n'est toujours pas dans le sac. Elle est assez difficile en affaire mais elle devrait vous faire bonne impression Hukhukhuk !
- J'ai hâte de voir ça... Et sinon... Golde est-il toujours toujours sdf après s'être fait expulsé par mon ex-belle fille ?! huhuh
- Pfouahahahahaha ! Putain quelle histoire quand même ! Il avait un fragment de sphère sous le nez et s'en est même pas rendu compte ce looser !
- Tu veux répéter ça que je te corrige noda ?
- Tu veux te battre ? Essaie pour voir ! Tu vas comprendre ta douleur !
- Calmez-vous tous les deux ! Si vous voulez je pars chercher Caramel pour vous calmer ! Je pense pas que ça lui fasse très plaisir et si ça lui fait pas plaisir... vous non plus. Un peu de tenue voyons ! Rappelez-vous en présence de qui vous vous trouvez en présence de notre plus grand client et d'un tonton.
- Ne leur en veux pas... leurs tontons n'ont aucune classe... ils les représentent bien. Huhuhu
- ...
- Mais le sujet est intéressant. Nous sommes tous concurrents en affaire mais... Nous restons une famille. Et je ne pense pas qu'il soit correcte de laisser un membre de sa famille sans toit. Bayclow... En mon nom je te le dis que si Golde trouve un royaume où s'installer, il aura mon soutien en cas de difficulté. Noda... j'espère que je pourrai avoir le même engagement de la part de ton Tonton.
- ça je peux pas vous le promettre... Il le fera que s'il y trouve un intérêt et ça je peux pas l'assurer étant donné que...


Edgar tourna alors la tête, il essayait de rester vigilant mais il était déjà trop tard il avait été pincé en train d'écouter aux potes. Son champ de vision périphérique l'avait alerté du passage d'un intru mais un brin trop tard. Il put découvrir alors qui l'avait repéré.La personne qui l'avait vu n'était autre que Dame Apes, la reine de la ruche qu'il avait pu, très succinctement rencontrer lors des événements e la sphère du soleil.

- Je vois que la garde surveille bien les salons ! En écoutant aux portes !



La créature commença alors à toiser un peu plus en profondeur le voyageur et écarquilla grand les yeux comme si elle venait de comprendre quelque chose. Et ce quelque chose, c'est justement elle qui vient de faire le rapprochement entre le fouineur et l'un des trois voyageurs qu'elle tenait pour responsable du massacre dans son royaume, quelle ne fut pas sa surprise d'apprendre qu'un était l'une des cheffes du service d'ordre du mariage. Là, l'attitude déjà pas hyper sympathique de Apes se mua en une expression de colère.

- Toi ! A chaque fois que je te croise, tu es en train de commettre un forfait de quelque nature qu'il soit !! Je ne sais pas ce qui me retient de te punir pour ton attitude misérable ! Mieux ! Et si j'entrais dans ce salon pour expliquer aux personnes qui l'occupent que tu les espionnait ?

On pouvait vraiment sentir la colère dans chacun de ses mots et une grande envie de nuire à Edgar. La reine continua dans le registre des menaces et des insultes envers le voyageur en le traitant de tous les noms et fustigeant son indignité, lui rappelant qu'elle ne lui pardonnerait jamais l'humiliation que lui, Joy et Clive lui avaient fait subir et le mal qu'ils avaient fait à son peuple, le tout sans laisser le temps à Edgar d'en placer une. C'est à peu près à ce moment que Wendy arriva dans le fond du couloir, Edgar ne put la voir. Son réflexe fut assez rapide. Elle entreprit immédiatement de faire appel à l'une des cheffes de la sécurité dont la diplomatie et le statut serait certainement d'une grande aide pour régler la situation.
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Sam 12 Oct - 14:24

Vite vite viiiite !

Ses pas raisonnaient dans le couloir alors que Blanche, à peine rhabillée de son aventure à la piscine, fonçaient en direction des salons privés. D ‘après Wendy, le problème était urgent et la voyageuse faisait ce qu’elle pouvait pour arriver sur place afin d’éviter un incident diplomatique qui impliquerait nul autre que sa propre reine. Quelle merde quand même.

Elle arriva rapidement aux côtés de Wendy, esssouflée :

« Blanche, au rapport, qu’est ce qu’il se passe ? »

Elle n’eut pas besoin d’attendre la réponse de Wendy, car ce qu’elle voyait suffisait tout simplement. Dame Apes était en train de menacer l’un des membres de la sécurité, Edgar et elle semblait sacrément en colère. Elle ignorait ce qui la mettait dans une rage pareil, mais elle n’avait pas besoin d’un incident diplomatique au mariage. S’il fallait égler ça, alors réglons-le en douceux, sans faire de vague.

« Je m’occupe du reste, merci, Wendy. Tu peux retourner à tes occupations. » Dit-elle en se recoiffant du mieux qu’elle pouvait, ses cheveux encore un peu humides de la partie de bast-ball, et s’avança vers la reine de la Ruche, tout en remettant sa robe de manière assez convenable. Même si c’était pour régler un problème, elle se devait d’être présentable face à un membre de son royaume. Une fois à distance de voix des deux personnes en conflit, elle s’éclaircit la gorge de manière assez bruyante pour qu’on l’entende et tenta de prendre une voix assez autoritaire :

« Qu’est ce qu’il se passe ici ?! »

Attirant l’attention des deux concernés, Blanche fit une simple révérence de courtoisie face à sa reine et lança un regard interrogateur à Edgar. :

« J’ai été alerté qu’il y avait du grabuge ici et j’aimerai savoir de quoi il en retourne. » Elle détourna son attention de son collègue garde pour se concentrer sur Apes. Comment lui parler ? Elle ne l’avait vraiment côtoyé qu’une fois, à Maskaria, où elle l’avait sortie d’une mauvaise situation avec le seigneur du royaume, fort heureusement, la reine avait une faveur envers elle, qu’elle pourrait utiliser pour sortir Edgar du mauvais pas dans lequel il se trouvait, même si Blanche aurait préféré l’utiliser pour elle. Enfin, pour le moment, elle pouvait toujours rester diplomate.

« Ma Reine. » commença-t-elle solennellement, « Puis-je savoir qu’elle est l’origine de tout ce grabuge ? Cupi-Chan n’apprécierait guère de savoir qu’un incident entre Seigneurs se prépare durant son mariage. » Elle essayait de prendre le plus de pincettes possible pour arranger la situation. « Je pense qu’il est dans l’intérêt de tous, autant de vous, de moi, d’Edgar et de La Ruche, que cette escarmouche s’arrête maintenant, ou du moins, se règle plus tard, Hors de tout évènement politique ne nous concernant pas. » Elle savait que la Ruche était un sujet très important pour Dame Apes, et qu'elle n'essayerait jamais de causer du tort à son royaume.

Blanche lança un regard à Edgar, autant l’éloigner de Dame Apes avant qu’elle ne prenne trop la mouche.

« Edgar, qu’est ce qui cause autant de souci ? Je peux peut-être régler cela… Sans que l’on ait à mêler quelqu’un d’autre à cette histoire. »

Ce n’était pas une situation simple. Elle ne connaissait pas assez Edgar pour savoir comment il allait réagir, mais elle ne savait pas non plus comment Dame Apes, connue pour son excentricité mais aussi son caractère imprévisible, allait réagir. Elle espérait simplement qu’elle avait fait le bon choix des mots.
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Jeu 24 Oct - 17:26

La bonne fée des riches, j'ai nommé Dame Apès était en train de passablement recouvrir Edgar de jurons et s'apprêtait presque à ouvrir la porte pour mettre les personnes qu'il espionnait devant le fait accomplis quand Blanche arriva à la rescousse pour sauver les miches du chat à plusieurs queues. Il interrompit son seigneur dans son action en arrivant et en élevant un peu la voix. Apes la reconnut immédiatement mais sa réaction fut un peu partagée entre la joie et la déception. Elle était évidemment contente de voir une voyageuse ayant hérité de son pouvoir, surtout que cette dernière s'était montrée digne de devenir l'une des cheffe de la sécurité de ce mariage. Il est évident d'annoncer que oui, sur le coup elle est assez fière de Blanche, même si bon, ils avaient aussi pris Joy Killamanjiro comme second cheffe de la sécu', preuve selon elle qu'ils prenaient un peu n'importe qui dans le fond comme cheffe en fait. Par contre, elle sembla un peu déçu du ton un peu neutre qu'elle avait pris. En effet, Blanche ne semblait pas décidée à prendre un quelconque parti dans cette situation. C'était une preuve de professionnalisme mais en même temps, merde c'est son seigneur elle devrait prendre son parti non ?! Mais bon, point positif, la présence de Blanche semblait déjà avoir fait redescendre un peu les tensions et elle qui semblait presque hystérique, elle semblait plus décidée à discuter, du moins en apparence.

- Très bien... Tu as raison. Ce n'est pas se montrer très respectueux vis à vis de Cupi-chan que de faire une scène ainsi. Essayons de régler cette situation. Isolons-nous pour en parler.

Apes désigna l'une des alcôves privée où ils s'installèrent tous les trois. Elle dardait de son regard mauvais en direction de edgar et attendit à peine qu'ils soient tous les trois installés pour directement commencer son réquisitoire.

- Je suis déçu que vous ayez pris ce genre de personne dans la garde pour ce mariage Blanche, je suis très déçue. Enfin, ça ne m'étonne pas vu que Joy est l'autre cheffe de la sécurité. Après tout, c'est sa complice dans le crime. Ce que tu ne sais peut-être pas blanche, c'est que ce voyageur fait partie du groupe qui a causé un massacre au sein même de la ruche. Tout ça pour me dérober le bracelet que nous transmettons de reine en reine car c'était un « fragment de la sphère du soleil. »

elle fit une petite pause pour regarder mauvais Edgar avant de reprendre ne parlant à Blanche en la regardant de façon beaucoup plus apaisée.

- Mais ce n'est pas ce que je lui reproche. Ce que je lui reproche est de faire encore une fois preuve de fausseté et de vice, y compris dans ce travail de garde. Je l'ai surpris en train d'écouter aux portes des autres salons privés. C'est un comportement complètement indigne d'un membre de la garde. En tant que responsable de la garde... je te conseille de te débarasser de lui ! Ce n'est pas un homme de droit, ce n'est pas une personne correcte et en le gardant, vous ne faits qu'entâcher la réputation des mariés.

Ce que demandait Apès, c'était ni plus ni moins de virer Edgar... et sur le coup, je pense que si tu lui disais non, il y a des chances qu'elle le prenne ps du tout bien. A moins que Edgar, tu ai quelque chose à dire pour ta défense ?
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Ven 1 Nov - 14:19

Zeph’ fut totalement ignoré et c’était pas plus mauvais franchement, il n’avait pas trop envie d’être mit en rapport avec … ce genre de cortège chelou dirons-nous. D’ailleurs à peine arrivé et la malédiction frappe à nouveau, le magnifique kinge Zéphyr n’attirait pas le public adéquat, refusant poliment les avances de certains tout en saluant innocemment les autres, par pitié non et …. Trop tard on lui avait déjà touché le cul au passage. Foutu patriarcat. Mais il fallait revenir à ses esprits, et à la mission qui lui était imposée, Zeph’ se ressaisit et fit le vide, écartant tout le stress. Il regarda autour de lui, personne de suspect aux alentours ni quelqu’un qui paraissait essoufflé ou qui venait de courir. Bon dieu il était camouflé ou trop rapide pour le petit obscur. C’est alors qu’il cherchait un peu dans tout les recoins sans trop paraitre pour un pervers qu’il reçu un appel de sa talkie.

- Non je ne le vois pas bon deus il est rapide ! Ah merde c’est chi… AH JE SPRINT JE SAUTE JE VOLE JE ME TÉLÉPORTE PAS MAIS J’ARRIVE AUSSI VITE QUE MES JAMBES ME LE PERMETTENT !


La machine de sprint se mit en marche, direction les quartiers privé, les chambres, le bazar à baise, tout ce que vous voulez mais là ou il arrêterait ce salaud. Arrivant bientôt au chambre, son acolyte était déjà aux trousse du forban, et il était plus malin que ce salaud de paparazzi. Zeph’ passait au travers de nombres de groupes tout en passant par des tables ou il y avait des verres et de la nourriture, souhaitant aussi prouver qu’il avait un peu de talent, celui-ci prenait sans s’arrêter et sans rien casser ni froisser, des petits apéritifs et cocktails qu’il redistribuait en courant le tout sans renverser ni déranger les invités quelle PROUESSE ! Seulement il reçu un autre appel de son talkie, terminant la petite bouchée qu’il lui restait en main en une SEULE bouchée, encore une prouesse, un vrai pro.

- Parfait j’étais sur le bon chemin du coup il ne nous aura pas comme ça le salaud je lui prépare ma spéciale il va voir à me faire sprinter partout !


Après un petit entracte ou vous vous surprenez à savourer mon post sucré salé saveur course poursuite et rebondissements, Zéphyr arrivait tel un athlète, parce que je ne sais pas si vous saviez, mais le bougre avait fait cinq années d’athlétisme dans un club nivellois (Proprement dit de Nivelles, en Belgique, décemment proche de Bruxelles prononcé Brussel), spécialisé en saut en hauteur et lancé de poids, il avait tout de même toujours d’excellentes notions de course et UNE VITESSE ÉGALE À SES DIVINS RÉFLEXES. Peut être pas à ce point-là, mais c’était sans transition qu’il passait à côté de Blanche et des gens dans la pièce, Blanche étant la seule personne qu’il reconnu en passant par cette aile des salons privés, un regard ultra déterminé marqué sur le faciès du voyageur, aussi parce qu’il en avait assez de courir. Il s’arrêta donc NET, FIGEANT LE TEMPS ET L’ESPACE AUTOUR DE LUI – Description non contractuelle.-, portant son talkie jusqu’à ses douces et pulpeuses lèvres. Il dit d’une voix sensuelle…

- Je viens d’arriver dans l’aile ouest des salons privés…. HUM ! Euh un point sur la situation du coup ?

Hrp:
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Dim 10 Nov - 16:29

Edgar avait surpris en train d’écouter aux portes par l’une des créatures qui le détestaient le plus à Dreamland. Compte tenu des circonstances qui n’étaient pas des plus flatteuses, se tirer de cette situation n’allait pas être facile. Répondre n’était pas une solution car s’ils entraient dans un débat, le ton risquait de monter et d’attirer l’attention des occupants de la salle.

La situation évolua rapidement, mais pas dans le bon sens. Wendy et Blanche arrivèrent. Edgar ne connaissait pas beaucoup Blanche mais il savait d’où elle tirait ses pouvoirs. Cela sentait à plein nez le conflit d’intérêt.

L’arrivée de la voyageuse eut le mérite de calmer un peu la reine. Elle demanda au jeune homme ce qui causait tant de soucis et il n’eut pas le temps de répondre car la reine prit de nouveau la parole et leur fit signe de l’accompagner jusqu’à une alcôve. Le morpheur chat les suivit, la mine aussi sombre que son humeur.

Une fois qu’ils furent installés, la Reine dressa un portrait aussi peu flatteur que mensonger du Voyageur. Il se fit violence pour garder son calme et attendit qu’elle ait fini. Ce n’était pas facile : elle ne parlait pas de lui comme d’un être doué de conscience mais comme d’un déchet.

Il se leva et prit la parole.

— Tout d’abord, merci d’avoir accepté de ne pas faire de scène. Avant de résoudre ce quiproquo et de vous expliquer en quoi je remplissais mon rôle de garde en écoutant à cette porte, je souhaiterais revenir sur ce qui s’est passé lors du massacre de la Ruche. Joy et moi n’avons pas causé le massacre, nous avons empêché qu’il ne prenne une plus grosse ampleur. Votre garde et vous n’êtes intervenus qu’une fois les malfaiteurs mis hors d’état de nuire et nous avez traité comme des moins que rien alors que nous aurions mérité des médailles et des applaudissements. Nous vous avons expliqué la situation et vous avez décidé de tuer la Voyageuse fautive, même si Clive vous en a empêché. Et maintenant, vous remettez ce massacre sur le tapis ? Pour me faire passer pour un criminel alors que j’ai fait votre travail ?

Edgar tremblait de tous ses membres et serrait les poings. Il ferma les yeux un instant, souffla, puis les rouvrit et posa un regard neutre sur la reine.

— Mais je crois comprendre pourquoi vous détestez Joy et moi. Nous vous rappelons votre faiblesse, votre impuissance. Que des Voyageurs comme Clive peuvent faire une scène dans votre palais et sans tirer sans une égratignure. Sauf que je ne suis pas Clive et j’ai rejoint l’équipe de sécurité de ce mariage afin de vous protéger vous et tous les autres invités. Et c’est pour cette exacte même raison que j’ai écouté aux portes. Savez-vous qui se trouve dans ce salon ? Un membre de la Famille et l’un des principaux antagonistes qui a participé à la destruction d’une bonne partie de Kazinopolis. Si vous aviez les moyens d’obtenir des informations concernant leur prochaine exaction, resteriez-vous les bras croisés ? Pas moi. Pas après que des inconnus aient attaqué la mariée dans la chapelle. En parlant de ça, je suis peut-être indigne d’être un membre de la garde à vos yeux mais c’est moi qui ai pris des balles pour la protéger à ce moment-là. Moi et personne d’autre. Mais si vous voulez m’enlever le titre de garde, ne vous gênez pas. Cela ne changera rien à mon comportement et ne m’empêchera pas d’être présent si d’autres catastrophes devaient arriver. Je ne fais pas ça pour l’argent, ni pour la reconnaissance, mais par conviction.

Zéphyr passa à côté d’eux à ce moment-là. Sa sensualité, sa détermination et sa vitesse attirèrent peut-être toute l’attention.
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Mar 12 Nov - 13:22

Il ne fallait absolument pas faire de vagues. Ils étaient au milieu d'un conflit qui, s'il était anodin en apparence, pouvait bien vite dégénérer. La garde et la réputation de tous pourraient en pâtir si Apes se décidait a n'en faire qu'à sa tête. Blanche écouta attentivement les arguments des deux concernés. Il fallait trouver un moyen de tirer cette affaire au clair sans qu'il n'y ait aucun incident. Ou alors que cela n'ait que des conséquences minimes. Évidemment, tous avaient différentes versions des faits, chacun posant la faute sur l'autre. La cheffe de la garde n'avait cependant pas le temps de s'occuper de connaître les véritables intentions de ces événements. Elle se devait de régler ce soucis rapidement sans causer de vagues.


La voyageuse soupira et leva la main pour prendre la parole:


"On ne va virer personne. Si Edgar a été choisi, c'est pour ses capacités a faire régner l'ordre dans ce mariage. Si vous préférez je peux l'envoyer à la piscine, juste pour s'assurer que Caramel ne veuille pas reprendre une partie de bastball ou je ne sais quoi. Mais on ne le vire pas.  J'ignore ce qui c'est passé dans la Ruche mais pour le moment on va laisser les conflits géopolitiques de côté pour le bien de Cupi-chan et Law Legato. Je suis certaine que vous comprenez plus que tout, Dame Apes, ce qui signifie s'assurer le bien être d'un royaume. Ici, il s'agit de s'assurer du bien être du royaume des mariages et de la Justice. Si cela vous rassure, je m'assure qu'Edgar ne soit plus impliqué dans des incidents quelconques. Vous pouvez me faire confiance, n'est ce pas ? J'ai su me débrouiller ay royaumes des masques non ? "


Elle espérait que lui rappeler l'épisode fe leur rencontre pourrait convaincre la Reine de calmer ses ardeurs vis a vis d'Edgar. Elle jeta un coup d'œil au voyageur, lui intimant silencieusement de se calmer. La situation devait être injuste pour lui, elle s'en doutait, même si elle n'avait pas tous les éléments, mais pour l'instant, il ne fallait pas faire de vagues. Au pire, lui demander d'aller ailleurs assurer la garde serait une bonne idée, ca éviterai un incident, elle espérait. Elle ou Joy pourraient même le superviser pour "rassurer" la reine de la Ruche. (même si elle ne devait pas savoir qu'elle l'avait laissé avec Joy.)


Soudain, une tempête humaine passa devant eux et Blanche reconnu Zéphyr. Quelques minutes après, elle entendit sa voix dans le talkie walkie, demandant de quoi il s'agissait. La cheffe décrocha son appareil et répondit :


"Je règle un problème Zéphyr. Serais-tu disponible pour assurer la sécurité des salons privés ?"
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Re: J'aime l'intimité d'un salon privé Ven 13 Déc - 13:56

Si edgar pense que c’est en rentrant dans le lard de la reine des abeilles qu’elle entendra raison… je pense que je peux affirmer sans trop de problème qu’il se plante. Et ça se voyait dans son regard. Elle affichait une mine sombre alors qu’elle écoutait les deux voyageurs. Pour elle, les propos de sphinx n’étaient rien d’autre que de l’égocentrisme de voyageur assez typique. Encore un de ces voyageurs qui subit le syndrome du sauveur. Le mec pense que pour arrêter un membre de la famille il est bon de voir mourir des innocents. Ce genre de partisans du moindre mal. Je ne dis pas que c’est ce qu’il pensait mais du moins elle, c’est comme ça qu’elle l’entendait.  Elle répondit alors au voyageur sur un ton monotone presque terrifiant.

- Sais-tu que je considère chaque habitant de mon royaume comme un de mes enfants ? Sais-tu combien de mes enfants j’ai perdu cette nuit-là par vos actions à vous autres voyageurs ? 159 ! Tu me dis que c’est la faute de Clive ? C’est vrai que c’est un tueur reconnu. Mais c’est amusant de voir que cette nuit, ce tueur est au service des mariés, embauché par ton amie Joy… Comment veux-tu que je prenne bien ça voyageur ? Pour toi… la vie de mes 159 enfants n’est rien à côté de ce grand mal qu’est la Famille hein ?! Mais en même temps pour vous autres, nous les créature ne sommes que des simples étrangers, pour vous nous nous ressemblons tous. Nous ne faisons que passer dans vos rêves ! Tu pense faire ça pour les autres voyageur mais tu ne fais ça que pour toi, pour nourrir une soif de reconnaissance, ton ego qui a besoin de se sentir flatté, de sentir qu’il fait « le bien ».

Elle fit une légère pause dans son discours avant de reprendre.

- J’ai été faible, je n’ai pas su agir cette nuit là. Je ne te tiens pas responsable de tout voyageur. Si mes sujets sont morts, c’est avant tout par ma faute. À cause de mon manque de résolution. Mais ça n’arrivera plus.

La reine des abeilles se leva simplement de son siège. C’est au même moment qu’on vit des mots flotter dans les airs, des mots annonçant une loin que venait d’édicter Law : « quiconque tente de ruiner le mariage en sera exclu ». Elle soupira en ayant un petit sourire en lisant cela avant de regarder Blanche.

- Blanche… je ne t’en veux pas. Tu es quelqu’un de loyale et il est cruel de te faire choisir entre ta loyauté envers moi et la loyauté envers Cupi-chan… Mais je dois t’avouer que je suis déçue. Ne t’en fais pas, je vais quitter le mariage avant que je ne le « ruine ». Autant que je quitte les lieux.

Elle commença à s’en aller, jetant juste un dernier regard à edgar.

- J’espère pour toi que tu vivra aussi bien que l’instant présent le moment où tu te rendras compte que tu es plus impuissant que moi encore et que tu ne fais peut-être pas autant de bien à Dreamland que tu le pense voyageur. Va chercher des cross à la famille si tu le souhaite, ça ne me concerne pas... aussi longtemps que ça ne touche pas mon royaume. Je me moque des autres conséquences... car c'est toi et non moi qu'elle dérangeront.


Sur ces paroles, la Reines des abeilles quitta les lieux puis le mariage.

___________________________


Pendant ce temps... au même moment, Zephyr qui attendait une réponse de son coéquipier dans le talky walky entendit la voix d’une autre personne sur le canal général des talky.

«  Euh… les gars, faites attention, quelqu’un m’a volé mon talky. »

C’est au même moment que Zephyr entendit une personne exploser de rire dans son dos. Cette personne n’était autre que Caramba, le roi des blagues. Il avait joué un p’tit tour à zephyr en se faisant passer pour un mec en besoin d’aide en le faisant courir un peu partout dans le mariage.

- Pouahahahahaha ! Ah putain tu verrais ta tête !
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