Alejandra - Le bon, la brute, et le truand.

Parlons donc de l’Amazone qu’incarne parfaitement Alejandra ! Bien, vous avez votre temps ? Parfait. Avant tout, sachez qu’Alejandra c’est une tigresse ! Une véritable amazones-se qui ne se laissera nullement marcher sur les pieds, elle n’est pas du style à laisser un énorme manque de respect envers sa personne passer inaperçu. Ainsi, elle va se faire un plaisir de vous remettre à votre place sans nécessairement faire parler ses poings.  Alejandra n’est pas ce genre de brute sans cervelle qui fonce dans le tas à la moindre insulte, faut pas la confondre avec un taureau enragé. Non, elle connaît parfaitement ses limites, elle sait maîtriser ses émotions. Donc Alejandra n’est pas du genre à se laisser dominer par la colère de la sorte, quand elle vous remet à votre place elle le fait très calmement tout en restant souriante. Le sourire est quelque chose d’assez important pour Alejandra que vous verrez souvent en train d’afficher un sourire très fière ou démontrant qu’elle respire la confiance en soi et l’assurance. C’est une jeune femme très confiante et qui se connaît parfaitement pour savoir quand s’arrêter, ou si cela est possible pour elle car elle connaît ses limites et est du genre très raisonnable. Ce n’est pas le genre de personne à foncer stupidement dans le tas sans en connaître un minimum sur son opposant.

Réfléchir avant d’agir est l’une des valeurs que son grand-père lui a inculpé plus jeunes. Alejandra respecte beaucoup de chose, et passe avant tout les autres choses les valeurs qui lui ont été enseigné par son grand-père. Le respect des autres est la première chose qu’Alejandra à apprit avec son tuteur, elle possède un très grand respect pour la vie d’autrui et les gens qui l’entourent. Elle fait rarement preuve de méchanceté volontairement avec son entourage, sur ce fait elle aime quand même envoyer des petites piques à ses camarades proches pour tenter d’installer un petit climat de convivialité. Même si cela fait souvent l’effet inverse, et s’en moque un peu tant que la personne ne démontre pas qu’elle déteste ça, et surtout Alejandra ne va pas jamais trop loin et arrête si elle voit que ses petites vannes vexent sévèrement la personne, elle est assez humaine et se met facilement à la place de la personne, elle peut éprouver facilement de la compassion pour quelqu’un.


Vu son enfance, et d’après les dires de son grand-père. Alejandra veut aider toutes les personnes qu’elle peut croiser sur son chemin en suivant l’une des phrases de son grand-père : ‘’Si tu as les moyens de faire le bien autour de toi, fait le.’’ cette phrase à pendant longtemps tourné dans la tête de Alejandra qui s’en souvient toujours comme si c’était hier. Ainsi, si elle possède les moyens d’aider et d’apporter son soutient à quelqu’un elle va le faire.  Alejandra est très enjoué et veut aider beaucoup de personnes et ne demande que très rarement des choses en échange.  Elle parle généralement sans aucune honte, et ne mâche pas ses mots en disant tout ce qui lui passe dans la tête. Mais elle sait tenir sa langue si jamais la situation l’oblige, elle n’est pas vraiment impulsive et sait réfléchir quand il le faut pour éviter d’empirer un moment critique.  
Niveau de ses passions : Elle aime bien danser, c’est son côté Brésilienne qui parle cette fois, elle fait un peu de tir en club, et surtout… frappe son sac de frappe quand elle se fait chier chez elle. Laissant parler son esprit d'amazone et ses nombreuses années à apprendre à se défendre convenablement pour pouvoir éviter de se faire descendre minablement dans un coupe-gorge. Elle conduit également une moto, qu’elle s’est tuée pour acheter avec son argent.

Physiquement parlant : La première chose qu’on remarque chez Alejandra, c’est sa chevelure ! Une belle tignasse qu’on pourrait comparer à la crinière sauvage d’un lion hirsute d’une couleur noir jais. Elle en est assez fière comme d’autres femmes possédant ce type de chevelure et en prend secrètement soin, elle veut éviter de casser l’image d'amazone que les gens voient en elle. Mais il n’est pas rare de voir Alejandra avec une nouvelle coupe de cheveux changeant chaque mois pour des choses plus exotiques, elle aime vraiment tester de nouvelle chose.  Elle possède une peau caramel dont elle prend également soin, c’est une fille qui fait attention à l’image qu’elle donne quand même. Elle se parfume souvent et s’habille de manière assez classe, et confortable pour son métier. La jeune femme possède des sourcils assez fins, et des yeux marrons assez claire venant probablement de son père. Elle possède un nez légèrement épais, mais qui participe au charme de son visage, des lèvres pulpeuses à la chaire légèrement rose.  

Sous ses vêtements, la jeune possède une musculature bien tracée sans pour autant être gonflée comme un ballon. Résultat de ses nombreuses années de pratique… et niveau vestimentaire, à cause de sa phobie Alejandra se baladai très légèrement pour éviter d’avoir trop chaud. Mais maintenant elle s’habille de manière très diverse et varié sans pour autant rentrer dans la tenue provocante. Sur Dreamland, elle apparaît avec des vêtements aléatoires qui ne semble pas disparaître à l’utilisation de ses pouvoirs.

« Grand mère, elle est ou la télé… ? » Dans l’appart insalubre ou vivait Alejandra , Les meubles manquaient, les murs tombaient en lambeaux. Et la petite y vivaient avec sa grande sœur et sa grand-mère. Comme beaucoup dans les Favelas de Rio, la vie était difficile et surtout dangereuse. Le seul moyen de se faire de l’argent facile résignait dans les taches illégales et mortelles.  Alejandra enfant travaillait dans un piètre restaurant. Exploitée par ses employeurs, elle était misérablement payer pour des heures de travail acharnée. La grand-mère de Alejandra travaillait également malgré son âge avancé. Elle s’occupait de plantation beaucoup plus loin de la ville et devait faire un long trajet éprouvant chaque jours. Quant à la sœur de Alejandra : Clarissa. Elle affirmait avoir trouvée un travail comme livreuse, mais ce n’était que des mensonges. Elle faisait la strip teaseuse dans un bar a mauvaise réputation. Alejandra ne savait rien de sa sœur et de ses parents. Elle connaissait plus sa grand-mère que sa sœur, par exemple : elle savait que son grand-père habitait à l’autre bout de la ville de fortune et qu’ils s’étaient séparé.

Les deux enfants s’étaient retrouvé ici suite à disparition de leur mère qui ne pouvait plus endurer cela. C’était trop dur pour elle, et élever deux enfants coutait beaucoup d’argents. Ce qu’elle ne pouvait pas ramener. Elle abandonnée lâchement sa tâche de mère en remettant ses deux petites filles à sa mère, sans jamais donner de nouvelle. Alejandra trop jeune pour comprendre, âgé de six ans à cette époque n’avait pas vraiment l’air de réaliser. Mais sa sœur Clarissa souffrait terriblement de cette abandon qu’elle voyait comme une trahison. Les mots doux de grand-mère pouvait apaiser le cœur de Alejandra, mais pas de Clarissa.  La plus petite, qui se tuait à la tache pour essayer de servir deux tyrans dans un restaurant se devait d’endurer les souffrances et coups qu’elle recevait pour mauvais travail, bien qu’ils étaient rares. Mais les mots étaient tout de même assez blessant pour elle.

Pour son jeune âge, elle avait parfaitement comprit que l’argent avait une importance grande et capitale dans ce monde. Mais après avoir utilisé bien comme il faut Alejandra, ses employeurs décidèrent de le jeter dehors comme une vielle chaussette sans lui accorder plus de sous. Les trois femmes ramenaient de l’argent, et c’était juste pour payer le loyer. Alejandra à la porte ça devenait de plus en plus compliqué les fins de mois. Clarissa se retrouvait dans l’obligation d’aller plus loin, elle vendait son propre corps pour obtenir de l’argent. Quant à Alejandra. Elle devait travailler au champ avec sa grand-mère. L’origine de sa phobie de la chaleur vient de la, un moment ou elle devait partir travailler plus pour pouvoir avoir une légère augmentation, Alejandra en faisant le chemin du retour retrouva sa grand-mère étendue au sol. Elle avait fait un malaise à cause du soleil qui tapait fort ces derniers temps. Malheureusement, ce fut trop tard, pendant son évanouissement elle avait fait une mauvaise chute et s’était fortement tapée le crane sur le goudron.  Alejandra s'est longtemps tenue responsable de la mort de sa grand-mère, ce jour la elle voulait partir un peu plus tard en faisant un caprice d'enfant à cause de la chaleur un peu plus forte que d'habitude, mais finalement forcé elle décida d'emprunter un chemin autre que celui de sa grand-mère pour passer par les coins les moins exposé à la forte chaleur du soleil.

Alejandra débloqua petit à petit une peur panique pour la chaleur. Elle ne supportait plus cette sensation de cuir petit à petit. Et faisait tout pour la diminuer. Elle sortait légèrement avec les vêtements qu’elle avait à présent. Elle faisait tout son possible pour passer dans les coins d’ombres qui lui donnerait un petit air de fraîcheur.  Associant cela à la mort de sa grand-mère.

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Alejandra vivait maintenant chez son grand-père à l’autre bout des favelas. La situation devenait alarmante pour elle, et pour sa sœur qui venait de disparaître. Elle vivait maintenant ailleurs, c’était les mots que son grand-père lui disait pour éviter de choquer la jeune enfant qu’elle était. Elle avait maintenant douze ans. Sa sœur dix-neuf.  Le grand-père de Alejandra était un ancien policier, il avait calé sa démission après avoir eu les menaces concernant sa fille, et surtout après avoir constaté qu’il y’avait énormément de corruption au sein même de la justice. Chose dont il se plaignait beaucoup en parlant avec Alejandra.

Alejandra s’était trouvée comme occupation d’écouter les récits policiers de son grand-père dans sa jeunesse. Bercée par ses histoires d’Hommes braves et justes qui n’écoutaient que leurs cœurs pour faire de ce monde, un monde juste. Elle avait développée une admiration, voir une passion pour la police. Bien que la réalité ici, dans les favelas du Brésil était très différente. La corruption était un mot qui revenait souvent dans la bouche du grand-père de la future voyageuse.  Il en discutait faiblement avec sa petite fille sans jamais trop s’attarder, en lui indiquant qu’elle devait avoir ses valeurs et ne jamais se laisse influencer ou s’éloigner de ses valeurs. Peu importe la situation, toujours rester fidèle à soi même.

Mais les histoires de corruption, elle allait assister à cela elle même.

_  ça faisait plus de trois ans que sa sœur avait disparue. Elle avait maintenant seize ans, et c’était l’âge de comprendre. Elle travaillait comme livreuse à travers la ville de fortune via son vélo.  Elle avait de quoi subvenir à ses besoins et le métier qu’exerçait son grand-père à côté pouvait compenser les manques d’argents trop important.  Alors qu’elle venait de terminer toutes les courses de la journée, en rentrant chez elle ? elle remarquait plusieurs voitures de police. Et entendait la voix d’homme à l’intérieur de la maison de son grand-père.


« C’est regrettable. Je n’ai pas vraiment été proche de mes deux petites filles, mon métier me prenait tout mon temps. Je m’inquiète pour la petite. » Dit la voix de son grand-père. Alejandra jugeait qu’il serait mieux de rester à l’extérieur pour écouter les dires des hommes sans qu’ils ne décident de mâcher leurs mots ou autres.

« Elle s’était prostituée pour gagner de l’argent j’imagine, mais elle avait tenté de fuir avec un client. Malheureusement ils n’ont pas apprécié… Condoléance Miguel. »  Grand-père Miguel restait tout de même silencieux. Il n’avait pratiquement jamais connu Clarisse, hors à sa naissance.

« Vous avez déjà des suspects ? » Demanda l’homme âgé. Les policiers hochèrent la tête. D’ailleurs, ils connaissaient le grand-père de Alejandra, qui était une ‘’légende’’ ayant demantelé un réseau de trafic d’organe, et également couché deux ripoux.  Avant de prendre sa retraite il s’était chargé d’inculper ses valeurs aux petits nouveaux. Petits nouveaux qui se tenaient devant lui à présent.

« Peut-être ce nouveau gang qui se fait appeler les Microbes. Ils ont un assez large contrôle sur le réseau du trafic d’humain, et de prostitution. » Dit l’un des officiers.

« Alors, vous attendez quoi pour faire une perquisition ? »  Demanda presque énervé Miguel, si jamais ils l’avaient fait avant. Peut-être que la sœur de Alejandra serait toujours vivante. Mais il laissait ses émotions parler, c’était perceptible dans sa voix qui tremblait légèrement sous la colère.

« Je… Nous avons essayé. Vous vous souvenez de Maria ? »

« La petite policière prometteuse ? » Dit t-il donc, haussant un sourcil curieux par la nouvelle qu’il allait apprendre. Il s’attendait à ce que cela soit mauvais, voyant les visages fermes qu’affichaient les policiers.

« Elle aurait eu un avertissement d’un membre de ce fameux gang. Mais elle avait décidée de continuer son enquête. Le lendemain, son père s’est fait tiré dessus et est mort. Elle a posée sa démission il y’a un mois. »

« Merde. Ils sont beaucoup plus coriace que dans le temps, merci de m’avoir annoncé la nouvelle. Je vais me char... » Des sanglots se faisaient entendre, venant de derrière la porte. Miguel en déduisait que c’était la pauvre Alejandra qui pleurait la nouvelle. « Nous allons te laisser. Prends soin de toi, et fait attention. Le passé semble te rattraper. »  Dit l’un des officiers de police. En sortant ils présentèrent leurs condoléances à Alejandra qui rentrait à son tour pour voir son grand-père.


Miguel prit sa petite fille dans les bras, en jurant qu’il trouverait un moyen de se venger. La haine qu’éprouvait la future contrôleuse la poussait petit à petit à faire un choix sur sa future vie. Elle allait rentrer à l’académie de police, elle avait vingt ans tout rond quand elle passait les tests de sélection. Personne n’allait faire la fine bouche surtout, les gens avaient peur pour leurs familles en rejoignant ce métier. Mais pas Alejandra, elle fut également pistonnée par son grand-père qui la recommandait. Pistonnée pour les compétences qu’elle possédait réellement, remarqué par l’instructeur. Les tests psychologiques avaient été un succès également.  Alejandra était sûre de pouvoir obtenir son diplôme.

Ce qu’elle eu. Elle allait faire régner la loi dans les rues de sa ville maintenant, peu importe le moyen. Elle avait 22 ans cette fois, et était dans le bon chemin pour devenir enquêtrice au sein de la police.  Son grand-père était son guide, celui qui lui refilait des vieux conseils en lui comptant ses époques d’enquêteur également. Il y’avait un lien fort qui c’était installé entre les deux personnages qui continuaient de se rendre visite. Alejandra vie dans un appartement convenable pour ses moyens, elle n’avait pas besoin d’avoir du grand luxe pour vivre, quelque chose ou elle pourrait dormir, s’entraîner, et cuisiner rapidement lui convenait parfaitement.

23 ans, elle venait d’atteindre le poste d’enquêtrice. Une ascension rapide pour la jeune femme, maintenant qu’elle avait une certaine influence, et des droits différents elle décida d’ouvrir à nouveau le dossier concernant le décès de sa sœur en lien avec ce fameux gang. La première règle que lui avait inculpé son grand-père, elle devait éviter d’impliquer trop ses émotions. Au risque de faire des conneries.  La future contrôleuse se sentait prête, après plusieurs longs procédés, elle obtenue ainsi le droit d’ouvrir une nouvelle fois l’enquête.

Elle se rendit dans les favelas, dans un strip-club marqué dans le dossier de l’enquête. C’était ici que Clarisse avait bossée. Elle pénétrait doucement sur les lieux dans une tenue de civil sans éveiller plus de soupçon. La jeune femme s’approcha du bar du strip-club, en priant pour que le barman soit le même après toutes ces années.

« Excusez moi. » Dit t-elle gardant un timbre de voix assez doux et neutre. Le barman haussait un sourcil, en toisant donc la femme qui venait le voir. « Que puis-je pour vous mam’zelle ? » Directement, Alejandra fit glisser la photo de sa sœur sur le comptoir. « Vous auriez vu cette fille ?  Elle travaillait ici il y’a sept ans. » L’homme, levait lentement ses yeux en direction de la jeune femme, l’air comprendre. «  Non, je n’ai pas vraiment une bonne mémoire… et en sept ans j’en vois passer des têtes. Pourquoi ? » Répondit ce dernier, avec un ton presque agressif. Ce genre de ton qui alarmait l’oreille d’Alejandro. Puis, il se rapprocha lentement en murmurant doucement.

« Trois, le petit avec les dread est armé. Vous devriez rebrousser chemin. »  Dit faiblement le barman, murmurant à l’oreille de l’enquêtrice.  Un faible sourire marqua les lèvres de la jeune femme, qui en se penchant tira faiblement sur sa veste pour dévoiler dans son holster une arme à feu.  

« Moi aussi, je dispose de mes propres armes. » Dit t-elle, elle fit lentement vaciller sa tête en arrière pour pouvoir observer plus facilement les petits voyous dans son dos du coin des yeux. Elle cherchait le moindre mouvement suspect, sa main prête à empoigner son arme.  « S’ils pensent qu’ils peuvent se la jouer comme ça... » Marmonna doucement la jeune femme au barman. Au moment ou l’un des voyous commençaient à sortir son arme. Une détonation retentit, une balle venait de se loger dans le bras porteur du petit voyou.  

« AAAHG ! La salope! » Hurla t-il donc, s’écroulant lourdement au sol. Alejandra se retournait lentement vers eux, braquant donc son arme sur les deux derniers personnages debout. Les civils s’étant enfuit.  « Bien, je n’hésiterais pas à utiliser la force. Soyez coopératif. » Dit t-elle, gardant toujours un ton calme.  La future voyageuse était étrangement calme, pourtant elle se trouvait sur les lieux ou sa sœur avait commencé à travailler. L’endroit qui petit à petit l’avait emmené vers sa perte.


Peu de temps après, d’autres policiers venaient faire une descente sur les lieux, trouvant de la drogue dans les bureaux du gérant. L’établissement fut vite fermée, le temps de mettre cette histoire au clair. Il y’avait ainsi, plusieurs potentiels témoins. Le gérant du club, plus les trois voyous. D’autres enquêteurs se chargeaient de l'interrogatoire par peur que Alejandra ne pète en câble en laissant ses émotions exploser.

L’enquête avançait dans le bon sens. Mais ça prenait du temps, l’un des voyous avaient craqué, et pour faire diminuer sa possible peine. Il avait balancé la planque de ses camarades, l’hypothèse émise plus tôt il y’a sept ans parlant d’un trafic d’humain, venait d’être confirmée. Ils abusaient des filles en difficulté financière, profitant du fait qu’elles seraient prête à tout pour aider leurs familles en faisant mine de leur offrir une porte de sortie, mais cela n’était qu’une couverture.

Une descente allait avoir lieu, et les forces de police était prête. L’affrontement pouvait s’avérer violent. Alejandra se proposa mais ses supérieures refusaient, par peur encore une fois qu’elle ne fasse passer sa haine avant la mission.  

Au cours de la nuit, des affrontements violents avaient eu lieu. Mais plus de peur que de mal, des blessés chez les policiers, et un mort dans le camp adverse. Plus de trente personnes avaient été arrêté, et aucune ne semblait vouloir parler. L’équipe scientifique analysant les lieux, les témoignages des victimes… Avec tout cela, en alignant toutes ces informations. La jeune femme avait remontée jusqu’à deux individus.

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Le lendemain, une nouvelle descente allait avoir lieu. Cette fois dans la planque du cerveau de ce petit gang. Malheureusement, les policiers en arrivant sur les lieux ne trouvaient personne. Hors des petits sbires qui furent arrêté. Certains avouèrent que leur patron allait bientôt traverser la frontière avec des million. Alejandra ne pouvait pas laisser filer le type qui était à l’origine du meurtre de sa petite sœur. La colère commençait à la prendre, mais elle reprit vite le contrôle. Elle était presque prête à accepter cette défaite.  

Dreamland :
« Comment pouvait t-il être au courant qu’on connaissait sa position, et qu’on allait l’chopper ? » Hurla de rage Alejandra. « Peut-être qu’il avait prédit qu’un de ses hommes parleraient…? » Répondit un second policier, c’était un type qui bossait parfois avec Alejandra : L’officier Gamerro qui venait de répondre, mais ça n’éclaircissait rien chez Alejandra qui se posait d’autres questions : Comment avait t-il eu le temps de se préparer en un seul jour. Quelqu’un l’avait informé plusieurs jours avant, c’était la seule et unique possibilité que voyait Alejandra. Mais qui avait décidé de jouer l’agent double, impossible de le savoir. La jeune femme analysait ses comparses d’un œil bien déterminé à trouver le moindre remord dans leurs yeux. Qui mentait, et pourquoi ?

Les heures défilaient lentement, et les recherches pour trouver le chef de ce petit gang étaient vaines. Si rien n’était fait d’ici max dix heures, il allait passer la frontière et ça serait trop tard. Ils ne pourraient plus rien faire pour l’arrêter.

La colère montait en Alejandra, elle qui était si proche de pouvoir coincer le responsable de la descente aux enfers de sa sœur, elle allait échouer à la dernière étape ? Son poing frappait brutalement son bureau, la frustration était trop forte. La jeune femme décida donc de rentrer chez elle pour aller se reposer, avec de l’espoir ; Les avis de recherche lancé aux informations pourraient servir.

Sur sa fidèle moto, la jeune femme se rendait tranquillement chez elle. A bout, suite à toute cette affaire. Elle décida de se reposer, la nuit lui porterait peut-être conseil. Mais, le sommeil fut difficile à trouver. Elle était tracassée par toute cette affaire, elle n’arrêtait de penser à l’homme qu’elle voulait coincer et surtout à sa sœur. Elle s’en dormait en jurant qu’elle mettrait derrière les barreaux ce salaud.



_

La justicière se retrouvait dans un lieu bien étrange, elle était habillé très chaudement alors qu’elle se trouvait dans un lieu presque atypique : Un immense et gigantesque désert. Elle avançait de manière curieuse tandis qu’elle sentait lentement son corps commencer à cuire très lentement, par réflexe elle retirait ses sapes les plus lourdes, mais rien à faire. L’angoisse monter, elle avait chaud. Beaucoup trop chaud.


Avant que la chaleur ne monte trop, elle tournait lentement sa tête afin de trouver un coin d’ombre ou s’abriter le temps que la température ne baisse. Eurêka ! Au loin un gigantesque arbre qui couvrait une assez longue distance avec ses feuilles, ainsi Alejandra se relevait doucement toute poisseuse et collante pour marcher en direction de cet arbre en cherchant un coin ou se reposer calmement.

Encore, et encore… Elle avançait, mais rien à faire c’est comme si son corps ne voulait pas s’approcher de cette ombre, et surtout que la chaleur devenait de plus en plus forte. Vous savez ? Ce genre de rêve ou vous essayer de vous approcher d’une porte, et rien à faire, c’est comme si vous faisiez du surplace. C’était le cas de Alejandra qui ne semblait pas bouger d’un iota alors que l’arbre semblait s’éloigner encore plus.
Alejandra transpirait encore plus, elle retirait doucement son t-shirt afin de tenter d’avoir moins chaud, mais en retirant son t-shirt elle remarquait qu’elle en portait un nouveau. Elle tentait encore une fois de retirer son t-shirt, mais rien à faire elle sentait encore son corps devenir de plus en plus chaud, le soleil avait l’air de se rapprocher de manière dangereuse en envoyant des rayons bien brûlants sur son corps. Alejandra transpirait beaucoup, elle sentait son corps se dessécher de manière assez rapide. Elle avait terriblement chaud.

Un râle de colère commençait à se faire entendre, tandis que son angoisse devenait de plus en plus forte. Alejandra tentait d’avancer de plus en plus rapidement en direction de ce coin d’ombre en commençant à angoisser à cause de la chaleur devenant de plus en plus dangereuse. Sa vision se troublait alors qu’elle tentait de se relever, manquant de tomber bien brutalement elle se rattrapait à la dernière seconde en avançant très lentement. Cette impression de cuir petit à petit était en train de frustrer Alejandra qui voyait de plus en plus flou. Un profond mal de tête s’installait en elle, mais elle continuait d’avancer avec l’espoir de fuir cette situation cauchemardesque.

Le soleil commençait légèrement à marquer son corps, des petites brûlures faisaient leurs apparitions sur les bras de Alejandra, qui dans un élan de conscience décida de retirer ses chaussures et arriva finalement à retirer son t-shirt.

Plus Alejandra s’enfonçait dans le désert chaud de Saharia, plus elle sentait les effets de la chaleur sur son corps, elle sentait son estomac lui faire terriblement mal. Au point ou elle commençait légèrement à vaciller à cause de son crane qui était exposé facilement au soleil, elle avait de la fièvre, son rythme cardiaque s'emballait, sa peau devient rouge et sèche et très douloureuse, chacun de ses pas étaient terriblement difficile surtout dans son état. Elle était presque comme un vulgaire zombie qui avançait en oubliant même son but, des hurlements inaudibles sortaient de sa bouche. Mais les oreilles les plus fines pouvaient entendre des appels à l’aide envers sa grande sœur. Les effets des fortes températures sur son cerveau commençaient donc à faire délirer Alejandra, qui voyait au loin une silhouette humaine avançant un peu plus loin. C’était une femme de petite taille qui semblait très familière à Alejandra. « Gr...Grand-mère… repo..repose toi. » Dit doucement Alejandra, les mots devenaient de plus en plus difficile à articuler.


C’était sa grand-mère qui avait vécue la même situation que Alejandra, immédiatement la policière écarquillait les yeux, et tentait de hurler. « Gr...Grand mè-mère ! » Dit t-elle très difficilement, elle tentait d’avancer un peu plus rapidement vers elle, mais rien à faire son corps était limité affaiblit par les fortes chaleurs qui régnaient dans la zone. Les brûlures se propageaient un peu partout sur son corps, et devenaient surtout de plus en plus massives regroupant une grande partie de son corps et de sa nuque. Difficilement, à cause de sa vision elle voyait lentement sa grand-mère commencer à vaciller de manière très dangereuse. Elle ne voulait pas vivre la même situation deux fois, peut-être que l’adrénaline commençait à commander son corps, car elle avançait de manière très déterminé en essayant de se redresser pour rejoindre sa grand-mère, elle glissa en dévalant une large dune et fini par se rapprocher de son parent.


« Mamie... » Dit doucement Alejandra qui était tombé et avait dévalé une énorme pente jusqu’aux pieds de sa grand-mère. Sa vision retrouvait stabilisée, et elle se retrouvait finalement devant un grand type qui se penchait assez faiblement afin de regarder la jeune femme a ses pieds.

« H’mpf… ? Une rêveuse ? » L’homme ne semblait pas vraiment être dérangé par la chaleur, et se penchait afin de mieux analyser le visage de Alejandra. Il se bloqua sur place immédiatement en la reconnaissant, c’était un officier qui travaillait avec elle.

« Alejandra ? » Dit doucement l’officier, c’était un terrible hasard. Alejandra retrouvait petit à petit ses esprits, et relevait la tête vers l’homme qui se trouvait devant lui… puis derrière lui en voyant un homme. Elle balbutia doucement des mots. « Gamerro… » Le voyageur se tenait devant elle, puis il regarda légèrement en arrière pour comprendre pourquoi sa partenaire tirait cette tête… et il soupira.

« Ah… mince… Ce n’est qu’une reveuse Julio, je doute qu’elle puisse s’en souvenir. » Dit donc Gamerro, Julio l’homme qui venait de quitter le pays était derrière l’officier. Alejandra venait immédiatement d’assimiler, c’était lui le traître. Le pourri qui avait vendu la mèche


Julio avançait lentement en direction de Alejandra tout en souriant. « Peu importe, je vais faire comme avec ses collègues. Je vais la traumatiser au point ou elle abandonnera l’idée de me retrouver. » Julio transformait lentement son bras gauche en lame qu’il plantait bien brutalement dans la main de Alejandra.


« Ton partenaire, ou devrais-je dire ton partenaire m’a parlé légèrement de toi. Tu es la sœur de cette pute que j’ai recueillis sept ans avant non ? » Dit t-il en remuant bien brutalement sa lame dans la main de la jeune femme. Il regardait d’un air assez lugubre Alejandra dans les yeux essayant de l’effrayé. Gamerro restait à côté et regardait la scène d’un air assez stable.

« Je me souviens un peu d’elle… une belle fille, mais très naïve. Elle m’appartenait, elle nous a ramené beaucoup d’argent quand même. Mais elle pensait que partir avec la moitié de la somme avec… ce type… serait aussi facile. » Julio retirait brutalement sa lame de la main d’Alejandra qui poussait un hurlement de douleur terrifiant, Gamerro détournait un peu le regard. «  Je n’ai eu aucune pitié a presser la détente, je l’ai pourtant regardé dans les yeux. Et c’était tellement plaisant de descendre cette pute qui avait osée me défier, sache le. J’ai des hommes un peu partout, je suis le maître. Et si tu veux continuer à me suivre, je n’hésiterais pas à faire de ta vie un enfer. » Julio pour clore parfaitement son monologue allait enfoncer brutalement sa lame dans la poitrine de Alejandra, quand soudain un halo lumineux se formait autour d’eux. Repoussant brutalement Gamerro et Julio loin d’elle.


Alejandra se redressait brutalement tandis qu’elle serrait les dents, elle avait contenue ses émotions et sa rage pendant toute l’enquête et tout venait de sortir d’un seul coup. Elle élançait un regard déterminé à Julio.


« Tu nous fait quoi ? Tu pense que tu peux vraiment m’arrêter ? Je suis loin du pays ! » Hurla t-il. Mais il ne savait pas que la jeune femme venait de changer, elle n’était plus une rêveuse, mais une voyageuse. Elle venait de convertir sa frustration et sa peur en colère, colère qu’elle dirigeait actuellement vers le responsable de tout ça, elle ne voulait pas laisser sa colère l’handicaper alors qu’elle était proche des personnes responsables de tout cela, elle ne pouvait pas laisser sa peur laisser des criminels s’enfuir… Alejandra tentait doucement de s’approcher de Gamerro et de Julio se redressant de plus en plus dans sa démarche. Des émanations de chaleur se dégageait doucement du corps d’Alejandra qui se sentait comme une bombe instable.

« Julio… Je crois qu’elle vient de se changer en voyageuse ! » Dit Gamerro qui écartait légèrement les bras, il était prêt à se battre et envoyait immédiatement divers projectiles vers Alejandra. Il venait de comprendre le danger de cette situation, comme elle était voyageuse elle risquerait de se souvenir de cette nuit… et par conséquent que le pourri c’était lui. Alors que les projectiles s’approchaient de Alejandra, une importante vague de chaleur éclatait faisant fondre ces derniers avant qu’ils ne touchent leur cible. Alejandra atteignait des niveaux de chaleur que personne ne pouvait soupçonner, le sable sous ses pieds commençaient à se vitrifier.


« Mince… j’avais oublié cette puissance quand on libérait son pouvoir pour la première fois… Il faudrait s’tirer Julio ! » Hurlait Gamerro, mais les chaleurs que dégageait Alejandra rendait la zone terriblement chaude et les deux voyageurs commençaient à sentir les effets de cette dernière sur leurs organismes, ils avaient du mal à respirer et commençait à transpirer bien brutalement.

Alejandra qui retrouvait ses forces avançaient de manière dangereuse vers Gamerro qui était beaucoup plus proche,ce dernier envoyait divers projectiles vers Alejandra, mais tous commençaient à fondre avant d’atteindre leur cible. D’une rare violence, Alejandra attrapa par la gorge Gamerro avec son corps terriblement chaud, le ripoux hurlait de douleur en sentant sa peau fondre en contact avec le corps d’Alejandra, il hurlait de douleur en se débattant de manière monstrueuse.


Julio voyait ça, il ne pouvait rien faire contre ça du moins pour le moment. Il n’était qu’un morpheur lame. Lâchement il décida de prendre la fuite en tentant de sortir du champ de chaleur que créait Alejandra.

« On l’aurait coincé… si tu n’avais pas parlé ! » Hurlait Alejandra, la chaleur que dégageait son corps commençait à faire vaciller Gamerro qui était sur le point de tomber inconscient, Alejandra qui rentrait dans une colère extrêmement continuait de serrer la gorge du voyageur, elle voulait qu’il souffre. Mais cela ne rentrerait pas en corrélation avec les valeurs qu’elle avait apprise de son grand-père.


Ainsi, elle envoyait brutalement au sol un peu plus loin Gamerro tout en le fixant avec un regard terriblement mauvais. « Écoute moi bien, demain dès ton réveil. Je me rendrais chez toi et ensemble… nous irons voir le boss pour que tu parle. Et si tu tente de t’enfuir, je m’assurais de rendre tes rêves horribles. Compris ? »

Pas encore pleinement remit, Gamerro hocha légèrement la tête avant de disparaître comme Alejandra. Elle venait de découvrir un monde totalement nouveau pour elle. Dans la journée il eu du nouveau dans cette affaire, Gamerro venait d’avouer sa faute en faisant plonger deux complices à lui. Alejandra jurait que cette affaire ne s’arrêterait pas et qu’elle trouverait un moyen n’importe pour faire plonger Julio.


—

Les mois qui suivirent Alejandra découvrait Dreamland et ses pouvoirs… et tentait de retrouver ce fameux Julio, ainsi elle s’endormit la nuit en pensant à ce dernier… mais visiblement la situation ne roulait pas dans le sens qu’avait imaginée Alejandra.

« Garce ! Tu pensais vraiment pouvoir me vaincre ? J’ai eu un an pour apprendre à maîtriser tout mes dons… et toi… »


Alejandra avait été beaucoup trop gourmande… Elle se pensait surpuissante à cause des récents évènements, mais finalement non. Elle s’était vulgairement voilée la face. Ainsi elle se retrouvait donc devant le malfrat qui avait quitté le pays sur ce monde onirique. « Tu pense que je vais… m’avouer vaincue aussi facilement ? » Dit Alejandra qui sentait la température de son corps commencer à changer, mais ce n’était pas assez contrairement a la nuit ou elle venait de découvrir l’existence de ce monde. Julio enfonça brutalement son pied au milieu du torse de la jeune femme afin de l’envoyer rouler un peu plus loin.

Alejandra n’avait clairement pas l’avantage sur cet adversaire, Julio avançait tandis que son bras se morphait pour former une importante lame d’acier. Une fois proche de la jeune femme, il attrapa cette dernière par la tignasse afin de redresser sa tête et placer lentement sa lame sous sa gorge, prêt à l’égorger. « Je t’avais prévenu… Je rendrais tout tes rêves totalement affreux. » Dit doucement l’homme prêt à égorger brutalement Alejandra, quand soudain Julio se fit emporter par une importante bourrasque qui entaillait bien brutalement son corps de tout les côtés.

« Meeeeerde ! C’est quoi ça… ! » Hurlait Julio qui finalement arrivait à se dégager, son corps et ses vêtements avaient été salement rongé, et lui même ne tenait presque plus debout… vu qu’il ne restait qu’un os à son pied. La vague commençait encore une fois à se mouver pour former cette fois une silhouette humaine très grande, un homme qui enfonçait son auriculaire dans son oreille en regardant donc le malfrat à ses pieds.

« Ma mère la timpe si je te fais pas passer la pire nuit de toute ta vie, t’es un vk toi aussi ? » Demanda donc cette voix masculine. Un homme en slip,une large chevelure blanche et de nombreux tatouages sur son corps avançait tranquillement afin de se placer entre le malfrat et la jeune femme dans son dos.

« T’es quoi toi… J’vais m’en prendre à toi aussi ! » Hurla donc Julio qui se propulsait d’une manière bien brutale en direction de ce voyageur qui venait de prendre la défense de Alejandra, il allait le transpercer avec sa lame quand soudain d’un simple mouvement, un vent violent venait de trancher le bras transformer en lame de Julio, ce dernier s’écroulait le sol en pissant le sang.


« Je vais être clément et te laisser une chance mon p’tit pote. Tire toi avant que je te bute. » Dit doucement le mystérieux voyageur qui venait de protéger la brésilienne. Julio comprenant rapidement la situation décidait donc de fuir lâchement, laissant alors tomber tout ses plans.


« P’fiouh… Casse couilles ces bâtards de vk. » Dit donc l’homme avec la chevelure blanche, se retourna doucement en direction de Alejandra, il tendait sa main à la jeune femme pour l’aider à se relever.

«  Merci… j’imagine. » Dit doucement la policière en toisant alors d’un regard assez neutre l’homme devant elle. « T’es nouvelle j’imagine, ou soit t’es une voyageuse sans pouvoir. Peu importe… T’aurai pas croisé dans l’coin un mec avec une ombre vivante ? Et un type avec des lunettes de soleil et des masques ? » Demanda calmement le voyageur du vent en se grattant sa grande crinière.

« Euh… non. Je viens juste d’arriver et... »

« Ah merde.. Je voulais monter un groupe avec eux… Mais visiblement ils ont disparu… peut-être mort. C’est dommage, y’avait une bonne alchimie entre nous... » Dit donc le type en se grattant le nez cette fois.


Alejandra ne comprenait pas vraiment la situation, mais elle tenait d’abord à remercier ce voyageur. « Merci de m’avoir sauvée, je pensais être assez forte pour l’affronter. Mais j’arrive à peine a activer mon pouvoir. » Râla Alejandra en tendant sa main en direction de ce mystérieux voyageur.

Au moment ou l’autre voyageur attrapa la main d’Alejandra, tentant de lui faire même un baise-main tel un charo. Il retira sa paluche en la secouant dans tout les sens. « Merde ! t’es brûlante wesh ! » Hurla donc l’albinos, Alejandra déposait doucement sa main sur l’une de ses joues afin de vérifier cela, mais rien.

« Tu dois être une contrôleuse du feu ! Un truc du genre ! JE TE VEUX DANS MON GROUPE MEUF ! » Hurlait donc le voyageur en souhaitant reprendre la main de la jeune femme, mais l’idée de se brûler encore une fois ne l’enjaillait pas vraiment.


« Hein… non, je ne préfère pas… du moins pas pour le moment, mais merci de m’avoir tiré de cette situation, je me présente Alejandra et... » Répliqua Alejandra, Reed qui masquait sa peine se contentait de garder un sourire presque forcé

« Tu peux m’appeler Roi, car c’est mon but. Mais sinon, Reed. » Dit le contrôleur de vent, souriant à pleine dents. « Meeh, t’es sûre que tu ne veux pas rentrer dans mon groupe… bon bah on peut traîner ensemble alors ? C’est chiant de se bala... » Alejandra venait de disparaître, laissant ce dernier tout seul.

La policière avait été réveillé par sa radio, lui ordonnant de revenir immédiatement à son bureau.

- Les nuits qui suivirent, Alejandra continuait l’exploration de ce monde souvent avec son camarade à la longue chevelure poursuivant sa quête de puissance pour pouvoir mettre à un terme aux activités de Julio.

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